Avis sur Cloverfield

Un très bon film de catastrophe. "Cloverfield" nous fait vivre une attaque d'un énorme monstre(expérience scientifique, alien, monstre marin?) du point de vue de la population, ce qui fait vrai mais qui donne parfois des maux de tête tellement sa bouge dans touts les sens. Le film est très court(1h21) mais on ne s'ennuie jamais, on est plongé dans l'ambiance. Les effets spéciaux sont pas mal, les acteurs aussi. Mais la vraie force de "Cloverfield" réside dans la réalisation. Quasiment toutes les attaques se font en hors-champs. Mais des fois, les attaques se font si vite qu'on ne voit presque rien. Du coup, on imagine constamment à quoi ressemble le monstre spoiler: mais on a quand même la réponse à la fin!

Le scénario par contre est ultra basique, il se résume à des amis qui font la fête quand tout a coup, le monstre commence à mettre la ville sans dessus dessous. S'ensuit ensuite la quête d'un des personnage principal pour retrouver la femme qu'il aime. Je vous le répète c'est très basique. Cela dit, "Cloverfield" reste un très bon divertissement très court et qui possède une très bonne ambiance. A voir!

L'éfficacité de Cloverfield vient de son procédé a savoir le mode caméra subjective cette maniére permet de mieux suivre nos trois protagonistes dans ce chaos comme-si on y était quoi, et de découvrir les événements en même temps qu'eux, j'adore c'est ultra efficace! A voir.

Quand "Godzilla" rencontre "Le projet Blair witch" ça donne "Cloverfield". Voila en gros, un bref résumé de ce qui vous attends. Bon il faut le dire, même si il est plutôt réussi, ce film n'est pas non plus une claque cinématographique ou une révolution comme beaucoup le disent, surtout par la promotion faite autour de sa sortie. Déjà il faut aimer les films en caméra subjective, ce qui est la grande mode en ce moment avec les "Rec" et autres "Paranormal activity". Si on est pas souler par ce genre de façon de faire un film ces temps-ci, celui-là fonctionne bien. On se sent toujours plus proche de l'action, un peu comme si on l'a vivait en direct ou comme si on regarder un docu-reportage, tout est fait pour qu'on ne s'y ennuie pas. Même si cela annule automatiquement tout effet de mise en scène "classique", il faut un certain savoir-faire et une certaine maîtrise pour donner un résultat qui tienne la route et je pense que Matt Reeves l'à eu ici. Les effets spéciaux, les effets catastrophes et autres trucages visuels sont également de qualités, tout comme l'horreur et la vision du monstre, plus souvent suggérer que montrer, rajoute un certain attrait, un certain charme. Mais bon les interprétations sont de biens piètres qualités, le scénario est souvent tiré par les cheveux (comme lors du crash de l'hélico auquel tout le monde survit miraculeusement...) et cousu de fil blanc, avec bien entendu d'héroïques scènes de bravoures à l'américaine et une romance quelque peu mièvre et bien inutile. Rien de bien excitant ou de bien original en somme. Et puis la caméra subjective offre toujours une part d'incohérence malgré celle d'ultra-réalisme qu'elle est censée vouloir apporter. En effet, qui s'encombrerait de tout filmer sans exception, même ce qu'il regarde à la télé, alors qu'il doit fuir et combatttre une créature féroce (comme dans la scène du métro où le vidéaste continue de tout filmer malgré une attaque) ? Sympa mais sans plus, à voir une fois pour passer le temps.

A mi-chemin entre Blair Witch Project et Godzilla, avec davantage de moyens financiers pour les effets spéciaux, Matt Reeves nous livre un spectaculaire film de monstres. On suit l’aventure des ces jeunes new-yorkais aisés caméra au poing, ce qui restitue une ambiance plutôt efficace mais demande une grosse attention. Toutefois, et malgré sa courte durée, le film souffre de longueurs car il est difficile de maintenir un rythme effréné dans ce genre particulier de film.

Tout comme sa caméra, Cloverfield secoue méchamment. Implacable, esthétique et immersif, il s'inscrit comme un modèle du genre.

Les mystères qu'entouraient "Cloverfield" à l'èpoque ètaient devenus top secret! Après visionnage, le mystère "Cloverfield" se lève enfin et le film se montre bien loin de n'être qu'un coup commercial! Entièrement tournè camèra à l'èpaule, Matt Reeves a dècidè de nous faire suivre l'histoire de l'intèrieur! Ce sont les hèros qui filment avec une camèra vidèo les èvènements! La camèra tremble, bouge un peu dans tous les sens avec un procèdè qui nous place donc forcèment au coeur de la catastrophe, aux côtès des protagonistes où l'on reconnaîtra une certaine Odette Annable! Les effets spèciaux sont convaincants et le monstre, aussi incroyable que le film! On retiendra quelques sèquences chocs comme la tête coupèe de la statue de la libertè qui deboule en pleine rue et la gueule du monstre filmè en gros plan à Central Park! Frissons garantis même si on n'a fait mieux depuis...

J'ai adoré ce film ! Un Godzilla version moderne hautement réussi. La façon dont le film est tourné est original, ainsi que la fin du film, car cela devient rare les films ou tout ne se finit pas en fin heureuse. Bref, à voir absolument

Cloverfield est le genre de film qui fait plaisir ! Un scénario en béton, une mise en scène soignée et pertinente, des acteurs inconnus mais parfait, une ambiance des grands films... Ce film montre 6 amis en train de faire une fête dans New York pour le départ d'un des leurs et qui vont voir leur ville attaqué par une créature gigantesque.
Tout cela sera montré à travers une caméra, dans le style Blair Witch, et l'ambiance s'en retrouve décuplé.
Bref : vous ne ferez plus la fête à New York sans y penser désormais !

M'a fait penser à ces peintres incapables de faire un portrait, mais barbouillant n'importe quoi en expliquant que ceux qui n'apprécient pas ses tableaux ne sont que des ignares et des réactionnaires.

Il paraît que cette chose va révolutionner le film catastrophe ! Allons voir ! Ça commence par un enchevêtrement d'images marquées "avril" et d'autres marquées "mai" auxquelles on ne comprend pas grand-chose. Ensuite on a droit à une fête en l'honneur d'un gus qui a trouvé un job au Japon. On se farcit 20 minutes de "fête" au cours de laquelle rien n'est fait pour accrocher le spectateur, les gens parlent tous en même temps, font allusions à des gens et à des choses qui nous dépassent. C'est filmé n'importe comment (volontairement paraît-il) pour donner un aspect caméscope. Le réalisateur n'a sans doute pas compris que le cinéma était une technique, un spectacle, parfois un art et qu'il possédait ses règles, l'une de ses règles étant (comme en littérature) d'éliminer tout (paroles, scènes, images) ce qui ne participe de près ou de loin à l'action, une autre règle étant que le réalisateur doit communiquer avec le spectateur et ne pas lui imposer un truc tout droit sorti de sa tête et qu'il est le seul à comprendre. Je regarde ma montre, me demandant quand le film va commencer. Ah ! ça y est : boum, une explosion, et c'est parti pour un quart d'heure de vues de cohues et de prétendues paniques dans la nuit de Manhattan. Là encore rien n'accroche le spectateur. Puis les autorités demandent à la foule de traverser le pont de Brooklyn. Il paraît qu'il s'effondre, mais c'est tellement bien réalisé qu'on ne voit rien... mais c'est vrai qu'à ce moment-là je commençais à avoir la tête comme un zeppelin.

Film pop-corn quasi idéal, le monstre a tout de même ses faiblesses. Trop court sur patte et légèrement chiffe molle, ça l'empêche pas de foutre les jetons, rugissant après une tripotée d'humanoïdes qui crient comme des Dindons et gloussent d'effroi. Les questions soulevées sont ici multiples: comment sauver sa dulcinée quand on n'est pas foutu de se sauver sois-même? Dieu existe-t-il vraiment? D'où vient la Bestiole? Contrairement à de nombreux films du genre, Cloverfield ne s'embarrasse pas d'explications foireuses et stupides, le Monstre EST et DETRUIT, c'est tout c'qui compte. Courir. Esquiver. Tourner au coin de la rue pour tenter de rejoindre le bon embranchement. Ne pas être au mauvais endroit, au mauvais moment. Se battre contre plus fort que soit, s'unir pour détruire, mais surtout, SURVIVRE. Et c'est là qu'on se rend compte à quel point on aime la vie. Et que les débiles qui en profitent pour piller le magasin d'électronique n'ont décidément rien compris. La bête est immortelle, elle est en chacun de nous, tout le pouvoir d'achat du monde ne pourra rien y changer. Les immeubles titubent au son des armes divines, les alarmes crachent leurs salves démoniaques, mais à quoi bon? Les rats grignotent les restes dont la bête ne veut plus, sous l'oeil pétillant de Dame Liberté mourante, fraîchement décapitée mais dont la prunelle rougeoie d'une lueur démente..

Cloverfield, le nom que des millions de spectateurs ont sur le bout de la langue depuis juillet 2007 suite à un teaser spectaculaire où l'on voyait la tête de la statue de la liberté échouer en pleine rue, le tout filmé par un simple amateur. Il s'en est suivi un buzz monstre matiné d'infos distillées au compte-gouttes. Les mois passent et enfin ce projet tenu top secret débarque sur nos écrans. Vu en avant-première, je n'irais pas par quatre chemins, Cloverfield est un chef d'oeuvre, un véritable coup de poing où j'en suis ressorti chaos, sur les rotules. Le concept est simple, il s'agit d'un film tourné caméra au poing relatant l'histoire d'un groupe d'amis qui tentent de fuir une terrible catastrophe. Il en ressort un film intense qui m'a totalement cloué au siège. Les personnages sont tous attachants, naturels, les effets spéciaux sont plus vrais que nature et la mise en scène permet une immersion totale. En gros, Cloverfield est une véritable expérience sensorielle que l'on vit et moi qui suis un fan de films du genre fin du monde, je peux dire que celui-ci tient tout simplement du fantasme tant il est absolument terrifiant, viscéral et propose des scènes de chaos cauchemardesques et d'autres plus bouleversantes, d'une très grande sensibilité. Bref après des mois d'attentes, Cloverfield se revèle être supérieure à tout ce que je m'étais imaginé et en cela je remercie Matt Reeves, JJ Abrams et tout le reste de l'équipe pour ce grand moment de cinéma qui d'emblée fait partie de mes films favoris. Amateurs de sensations fortes, courez-y !

Après un buzz énorme sur le net je me suis dit voilà peut-être un film catastrophe qui vaut la peine d'être vu. Je me suis dit ils vont nous balancer un truc original, puissant et flippant, mais hélas quatre fois hélas ! Le scénar on dirait un scénar de jeu vidéo, mission : sauver la belle en danger dans une autre partie de la ville en survivant à l'attaque de vilaines créatures ! Résultat un film qui bouge tout le temps, irréaliste, des personnages creux qui semblent ne pas se fatiguer, une caméra indestructible et à la batterie illimitée etc...
On regarde ce film où l'on ne ressent rien qui ressemble curieusement et furieusement... à un jeu vidéo ! Il faudrait que certains se rappellent que c'est du cinéma que l'on va voir dans les salles noires. On en attend de l'humour, une histoire intelligente, de l'action, de bons acteurs et ressentir des émotions, peur, joie, ivresse, ravissement. Certains veulent se convaincre que cette oeuvre est géniale et originale tant mieux pour eux ! Moi je n'y ai vu qu'un vide intersidéral et je me suis ennuyé à mourrir ! Mieux j'ai failli m'endormir dans les premières minutes, me "réveillant" après pour me rendre compte que j'aurais du dormir tout le long de ce navet !
Et le monstre quand on le voit, il ressemble à rien, design à chier, au moins Godzilla avait de la gueule ! Je passerai sur le fait qu'on ne sait pas d'où vient le monstre, ce qu'il veut etc.. Certains arguant qu'on devait se renseigner sur ce qu'on allait voir avant d'aller le voir ! Ben voyons et l'effet de surprise ? Je leur signale qu'avant il n'y avait pas le net, il n'y avait pas les forums et qu'on attendait d'avoir la surprise au cinoche ! Là pour le coup on doit être averti avant d'aller le voir ! Ce film donne la nausée au sens propre comme figuré, donc je vous le dis n'aller pas le voir vous économiserez du fric (pour votre place de cinéma et les médocs pour la nausée et/ou la migraine) !

Mystère à Manhattan... Me rappelle de la folie qu'avait engendrer ce film. Un des mégas Buzz de l'année 2008. Sous une production J.J. Abrams (Lost), fallait s'y attendre, le coté mystérieux planait à plein tube. Mystère d'une attaque terrorisme ? ou d'un virus ? Ou extra-terrestre ? ou autre... Réalisation en caméra DV, caméra à l'épaule. Ca bouge (trop parfois), mais Cloverfield à la curiosité de pas vous laisser de trop dans un risque de mal au coeur. C'est à voir jusqu'au bout avec son final qui lui peut laisser sur le carreau soit de plaisir d'y voir une suite ou de retourner en arrière et d'y analyser le tout du pourquoi. Cloverfield se joue également des codes épouvante-horreur et thriller. Puis on va terminer par le coup de coeur, qui n'est autre que l'actrice-mannequin Odette Yustman.

Un film complètement différent des autres films de catastrophe réalisé d'une façon originale. Le scénario est presque une copie de godzilla avec une belle tension. le casting joue pas mal leurs rôles même s'ils restent un peu neutre au niveau des émotion. Le fait que ce film soit entièrement filmé par une simple camera est vraiment une idée de génie car on entre bien dans la peau d'un personnage du film et cela donne même l'impression de vivre les événements comme si on était réellement là. Sans ajouter que cela nous donne des belles sensations de terreur comme si on jouait à un jeu vidéo. Belle qualité des effets spéciaux. Le début est un peu long et chiant. La durée est un peu trop court pour profiter un bon spectacle. Un film que je recommande si vous voulez vivre des situations dangereuses et l'idée de la camera est un vrai atout dans le cinéma à exploiter.