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Votre avis sur Par suite d'un arrêt de travail... ?
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Deux types que tout oppose politiquement veulent tous deux d'aller à Rome et décident de faire le chemin ensemble dans la Mercedes de l'un d'eux. Marc (Patrick Timsit) travaille dans la direction générale d'une entreprise de fret. Il se rend à Rome pour négocier avec une entreprise italienne, avec l'intention de l'acheter et de booster sa carrière. Le voyage de Paris à Rome qui devait durer une nuit, prend un nouveau tournant lorsque la voiture est volée pendant une pause. À partir de là cela devient un road trip. C'est une sorte de comédie sociale qui n'en est pas une ça peut faire sourire une ou deux fois et cela dépend qui. Je suis sûr d'avoir oublié Par suite d'un arrêt de travail dans quelques heures...
Un road movie avec un duo de personnages intéressant mais un peu trop caricatural à mon goût. Les personnages auraient sûrement gagné à être moins extrêmes et à avoir, chacun, une personnalité plus complexe. Sinon, le thème de la grève comme point de départ du scénario est très intéressant surtout dans un pays comme le nôtre où il n'y a quasiment pas une semaine sans grève ! Certaines scènes sont très pertinentes et font réfléchir mais l'ensemble manque cependant de liant et de rythme. Il y avait tellement mieux à faire avec un sujet en or comme celui-ci.
Duo entre deux personnages que tout oppose, du moins en principe. Thème classique dont la réussite repose en grande partie sur le talent des deux comédiens. Ce petit film est sympathique, mais pas à la hauteur des grands classiques du genre. Patrick Timsit a tendance à en faire un peu trop, de sorte que si certaines séquences sont excellentes, d'autres sont moins crédible. Le côté social, avec le rappel des grandes grèves de 1995, est intéressant, mais la chute fort peu réaliste. Mais on a le droit de rêver...
Un film décevant et surtout assez peu crédible, avec un Charles Berling qui parle à la France entière (plus l'Italie), des protagonistes qui passent une rivière sans pont sans se mouiller, et des événements tous plus improbables les uns que les autres. Points positifs, les personnages sont plutôt bien joués, et le film agréable à suivre. Mais il aurait fallu ajouter un vrai scénario...
Caine78
La rencontre d'un mec très à gauche avec un mec très à droite un jour de grève... Sur le principe, pourquoi pas, encore faudrait-il que le reste suive. C'est poussif, laborieusement réalisé et sans grande inspiration dans son déroulement comme dans les différentes situations, donnant la part belle aux dialogues sans que ceux-ci ne débouchent sur quelque chose de vraiment concret ou profond. Dommage, on sent, par instants, la voie qu'aurait voulu donner Frédéric Andrei (le héros de « Diva ») à son histoire, mais cela reste bien trop fragile pour apprécier ce premier film globalement raté.
Un road movie un tout petit peu poussif par moments, mais non dénué de certaines très bonnes idées.
Un road movies un peu poussif, le personnage de Berling est pourtant intérrèssant, Timsit essaie d'apporter un peu de rythme, le film est sympathique mais assez décevant. On aimerait rire mais on s'ennuie un peu. Encore une petite comédie française sympathique de plus qui n'avait pas l'ambition de faire un bon film.
Drôle de film, pas inintéressant sans être réussi... Il vaut surtout pour son rappel des grandes manifs de 1995.
Si ça faisait petite histoire plaquée sur le résumé d'actualités télévisées en 2007 et rien de plus, aujourd'hui, l'eau a coulé sous les ponts de l'économie. C'est très regardable... Départ alerte, sans trop de bla-bla, vachard juste ce qu'il faut. Peut-être un peu trop de plain-pied dans nos réalités, avec son trajet voiture aussi barbant qu'un vrai. Il importe d'apprécier le tandem Berling/Timsit pour embarquer, d'accepter l'intrusion récurrente des mouvements sociaux, bref pouvoir entendre que "la grève est un droit" sans prétexter avoir quelque chose sur le gaz... User plus de deux fois du "comment t'as traversé, j'ai sauté" est une erreur par contre, tout comme le tube anglo-saxon du générique (entêtant et creux au possible alors que le reste de la bande-son est si fin !). Les deux compères au bout du rouleau finissent par accrocher, font rire et virer vers l'attendrissement le plus pur. Filmés hors manifestations tout en s'y frottant, ce sont aussi deux petits poucets perdus sans s'abreuver à la source féminine (toutes ces créatures croisées d'office offertes !). Comédie, oui et non... La lettre, le lien rugueux né des frictions et surtout Dominique Blanc en femme de tête relèvent le niveau sans dissiper l'amertume d'ensemble.
Sur fond de mouvement social national, ce film suit le périple de Paris à Rome de deux individus ayant une approche de la vie bien différente l'un de l'autre. Leur rencontre leur permet de confronter leurs idéaux dans des scènes assez légères teintées d'un humour désabusé. Bonne interprétation de Patrick Timsit et Charles Berling pour un road-movie plutôt bien dialogué. Une curiosité à découvrir.
L'histoire d'un travailleur à la petite semaine qui va rencontrer un salarié bien dans le moule capitaliste.
Pourquoi ça ne fonctionne pas ? Peut-être parce que Timsit ne fait jamais l'affaire, soit il est trop éteint et ne fait pas vrai, soit il est trop caricatural et est presque aussi détestable que Christian Clavier. Bref, comme Berling ne vaut pas beaucoup mieux dans ce film, le duo ne procure pas autant de plaisir que l'on attendait.
Car si le scénario est parfait dans le genre road movie caricatural sans trop de temps mort flagrant, l'opposition des deux protagonistes tourne court rapidement. Le peu de gags (ou l'absence de belles vues de notre beau pays, ou de la belle Italie) même si la photographie est d'un très bon niveau, fait qu'on n'est pas sous un charme accrocheur pour cette balade dans une France en grève.
Quant au gauchisme présumé du titre du film, il est très bien résumé dans la scène des fonds de pension, mais c'est trop tard, et c'est trop peu.
Il reste de beaux moments d'amitié virile et la fin donne un peu d'humanité dans un monde de brute, de là à penser à un bon film, il ne faut pas exagérer.
Pourquoi ça ne fonctionne pas ? Peut-être parce que Timsit ne fait jamais l'affaire, soit il est trop éteint et ne fait pas vrai, soit il est trop caricatural et est presque aussi détestable que Christian Clavier. Bref, comme Berling ne vaut pas beaucoup mieux dans ce film, le duo ne procure pas autant de plaisir que l'on attendait.
Car si le scénario est parfait dans le genre road movie caricatural sans trop de temps mort flagrant, l'opposition des deux protagonistes tourne court rapidement. Le peu de gags (ou l'absence de belles vues de notre beau pays, ou de la belle Italie) même si la photographie est d'un très bon niveau, fait qu'on n'est pas sous un charme accrocheur pour cette balade dans une France en grève.
Quant au gauchisme présumé du titre du film, il est très bien résumé dans la scène des fonds de pension, mais c'est trop tard, et c'est trop peu.
Il reste de beaux moments d'amitié virile et la fin donne un peu d'humanité dans un monde de brute, de là à penser à un bon film, il ne faut pas exagérer.
On a l'impression de voir "Date Limite" en bien moins drôle, et ce film fini bizarrement. Au delà du synopsis, il n'y avait rien de plus à raconter.
Heureusement qu'il y a la télécommande; grâce à elle j'ai pu suivre ce film très lent en zappant sur les autres chaines, et je pense que j'ai rien manqué
Un film laborieux et même ennuyeux malgré sa courte durée. Une comédie peu drôle sur fond social agité.
J’adore les films qui racontent un voyage et j’ai donc adoré ce film, interprété par un couple de comédiens en pleine forme, Patrick Timsit et Charles Berling. On rit beaucoup, les paysages français et italiens font rêver, les dialogues font mouche. Pourquoi se priver d’un tel régal?
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