Un huis clos dramatique, ahurissant et dérisoire. La dérision se déclinant à la fois dans le comique (la langue de bois perpétuellement décalée des personnages) et la tristesse : des jeunes gens perdus dans tous les sens du terme. Wakamatsu cède souvent à une sorte de pathos de romantisme jeuniste et suicidaire, dans « Sex Jack » il prend de la distance humoristique, sans pour autant se renier en traitant ses personnages par le ...
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