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Synopsis
Automne 1960. On célèbre le mariage de deux jeunes étudiants appartenant chacun à un mouvement politique différent. Pour le professeur Udagawa, qui fait le discours d'ouverture de la rentrée, c'est le symbole de la réconciliation de deux générations. Les invités étudiants et militants commentent ce point de vue, les générations et les avis se confrontent avec une hargne grandissante.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Dès les années 60, N. Oshima s’impose comme la grande figure de la nouvelle vague cinématographique japonaise, qui surfe sur le bouillonnement politique, la révolution des mœurs et l’invention formelle dans l’archipel de l’époque. « Nuit et brouillard », un de ses tous premiers films, porte pourtant la marque d’une désillusion radicale induite par l’échec de l’extrème-gauche japonaise, et la tentation nihiliste qui ...
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Un visiteur
2,0
Publiée le 16 août 2010
Une oeuvre politiquement engagée...
Peeping_Tom
8 abonnés
74 critiques
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5,0
Publiée le 31 mars 2014
La mise en scène de Nagisa Oshima est tout simplement sublime, son sujet, quoique dur, est complètement maîtrisé, sur la forme tant que sur le fond, ce film est génial.
gimliamideselfes
3 096 abonnés
3 969 critiques
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2,0
Publiée le 3 mai 2011
J'ai vraiment rien à dire sur ce film, l'idée de départ est très intéressante, pleins d'enjeux politiques, le traitement est plutôt pas mal du tout, en flash back, mais diable, je me suis rarement autant ennuyé que devant ce film… Que c'est long…
Fervent admirateur du cinéma européen de l'époque, Nagisa Oshima a intitulé son film "Nuit et Brouillard au Japon" en hommage au film d'Alain Resnais, Nuit et brouillard .
Parfum de scandale
Déstabilisés par les propos du film ainsi que par sa forme, les dirigeants de la Shochiku décidèrent de retirer le film de l'affiche au bout de 4 jours d'exploitation prétextant des troubles que pouvait causer le film (sa sortie coïncidait en effet avec l'assassinat du dirigeant du Parti Socialiste japonais, Inejiro Asamura). Une décision qui ne fut pas du goût du réalisateur qui décida alors de quitter définitivement la Shochiku pour monter sa p
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