Film fait pour une femme en plein divorce, clairement, mais je ne vois pas trop d'intérêt à ce film. On dépeint juste le portrait d'une américaine très riche en crise existentielle qui se retire dans des pays pauvres pour retrouver une ""simplicité"". C'est très cliché, et je n'y trouve pas vraiment de morale. Néanmoins, bon film de ménagère à regarder quand on s'ennuie.
J'adore ce film, il est très bien joué avec au casting une Julia Roberts rayonnante, et un Javier Bardem pleins de charme. Ce film est vraiment un de mes préférés, je me sens bien en le visionnant. Il est feel good. Ça fait du bien de visionner des films où il n'y a pas de violence, ni de meurtre ou de scènes obscènes. Juste un personnage qui réapprend a vivre en appréciant les choses simples a travers un parcours qui est de se pardonner et d'aimer la vie et le monde. Les paysages sont magnifiques et j'ai qu'une envie... Faire mes valises... Alors, attraversiamo
Ni un drame ni une comédie romantique, ce film ne saurait se définir dans un genre précis et c'est ce qui fait tout son charme. On y suit une jeune femme en pleine crise existentielle qui décide de tout plaquer pour partir se retrouver. Si le synopsis peut sembler un peu cliché, le film nous offre une douce parenthèse de plus de deux heures, entre plaisirs simples de la vie, questions spirituelles et quêtes de soi, portée par la charismatique Julia Roberts. Un moment savoureux.
Le parcours d’une renaissance. Un mariage foireux. Les doutes. Le divorce. Le sentiment d’échec. Jusque là…. Ça passe. Madame a les moyens alors se prend une année sabbatique pour voyager. Elle commence par 4 mois en Italie, elle mange, mange et bois, mange beaucoup, fait des rencontres sympas. Ensuite , destination l’Inde où elle loge dans une espèce de fraterie spirituelle qui voue un culte à une femme…elle dégringole. Nettoie les sols , les chiottes, il fait chaud , y’a du bruit, elle ne comprends rien aux séances de culte et se demande bien ce qu’elle fout là et nous avec. Elle y rencontre un vieux américain divorcé comme elle qui va l’aider amicalement à y voir plus clair…. Dialogues longs et fastidieux . Puis vient Bali. Là, j’ai rigolé. Elle loue une magnifique villa ( presque un an qu’elle est partie et financièrement tranquille !!) . Immédiatement ou presque elle rencontre des expatriés comme elle et se fait renverser par un étalon brésilien qui va immédiatement tomber amoureux d’elle . En plus il est riche, loyal et fidèle. Que demander au peuple ?!!! Ça n’arrive que dans les films ça !!….. déçue de cette fin de contes de fée loin de la réalité. Elle se remariera …. Et tout baignera .
Un film pour se détendre et surtout ne pas réfléchir. Je suis fan de Julia donc bien entendu je l'ai regardé plusieurs fois mais comme son titre l'indique il ne faut pas s'attendre à de l'action ni du suspens. Les paysages font rêver, le dialogue est très moyen mais on s'en fou ça nous distrait
Une femme voyage à travers le monde pour noyer sa solitude et se remettre de son divorce.
J'ai trouvé ça très long au démarrage ... Mais on voyage avec elle, on peut presque ressentir la chaleur des pays qu'elle visite. C'est long, lent ... Mais finalement c'est comme ça qu'on est censé ressentir l'apaisement émotionnel qu'elle est en train des vivre. Alors allons-y, je monte à bord et profite de la lenteur.
J'ai beaucoup aimé le traitement des images, la colorimétrie m'a beaucoup plue.
Aucun intérêt, on ne voit que des scènes de grande bouffe, rien d'intéressant, un scénario minimaliste malgré de bons acteurs qui ne sauvent pas ce film insipide qui ne m'a pas fait rire ou sourire une seule fois.
C'est souffreteux. Pas d'action, on est dans le monde des bisounours. "Tout le monde il est beau mais il faut que je fasse de l'introspective sur moi, vive le yoga". Téléfilm moyen. 2/5
Une jolie histoire de recherche de soi, empreint de spiritualité. Julia Roberts est rayonnante dans ce film, et on suit ses aventures avec plaisir. Le film a quelques longueurs dans les étapes de son parcours, mais on en ressort avec l'impression d'avoir partagé une partie de ce voyage avec tous ces personnages attachants
Le film parfait pour se remonter le moral et se faire gentiment rêver à une vie meilleure et pleine d'amour. Plein de clichés mais c'est doux, ça se laisse regarder avec plaisir et nunucherie.
Mange, Prie, Aime, c’est 2h25 de film où Julia Roberts nous balance ses problèmes et sa richesse à la tronche. Elle représente le stéréotype de la femme blanche riche qui peut se permettre de tout plaquer et de voyager des mois tout en profitant de la vie sans presque grossir ou se ruiner. Que rêver de mieux ? Pas grand-chose… Or, nous, les messieurs et mesdames tout le monde, nous ne pouvons nous permettre une telle aventure; et en tout cas pas avec les mêmes facilités. Pourtant qui n’a jamais rêvé de dire merde à tout pour se reconnecter avec son moi intérieur. Je parie n’importe qui lisant ces lignes… Et si le personnage de Julia Roberts reste courageuse – dans le sens où elle s’extirpe de sa vie toute tracée et de sa zone de confort – il n’en reste pas moins que son son courage est certainement facilité par l’argent de son compte en banque. Si elle veut vraiment rentrer, elle prend un billet de retour de dernière minute très cher et retrouve sa vie sans trop de problème. Pour quelqu’un de plus lambda, ce genre de voyage reste le projet d’une vie, celui auquel on réfléchit mûrement avant d’y investir toutes ses économies. Et c’est finalement tout ce que le film nous rappelle : si Mange, Prie, Aime est censé être inspirant, il me rappelle surtout que notre système capitaliste est bien injuste. Un peu dommage pour une histoire qui tente de prôner le retour à l’essentiel… Ce retour à l’essentiel semble un luxe que tout le monde ne peut malheureusement pas s’offrir. Pour s’extirper un temps du système capitaliste, il faut donc… de l’argent*. Un comble !
Mais viens je te parle de tout ça en détail sur crossovor.com et je t'explique même pourquoi, moi aussi, je suis privilégiée et mal placée pour être jalouse.
Un film estampillé "développement personnel" et qui ambitionne d'illustrer les atermoiements psychologiques d'une femme active occidentale. On a le droit de ne pas s'y reconnaître, voire même d'être agacé par la facilité du discours et des raccourcis psycho-cheaps en pleine carte postale. N'était-ce Julia Roberts et le sourire le plus magique d'Hollywood!
La première fois que j'ai vu le film, je l'ai beaucoup aimé ! L'histoire, les personnages, les paysages. Puis je l'ai vu une deuxième foi, et là grosse révélation ! On ne se concentre plus que uniquement ce qu'on voit mais sur ce qu'on doit y comprendre et c'est très beau, magnifique. Je le regarderai une troisième fois dans quelques mois car en plus d'apprécier de le regarder, il peut vous donner des leçons de vie et changer la façon de voir la vôtre.