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    L'espion qui m'aimait
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    237 critiques spectateurs

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    Simplement Loïc
    Simplement Loïc

    12 abonnés 103 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 octobre 2024
    Que dire.. J'ai juste beaucoup trop aimé ! Le duo d'espion fonctionne a merveille et offre des moments à mourir de rire. L'intrigue fonctionne très bien et on est pris dedans dès les 1ère secondes. La mise en scène est juste géniale et propose autant des plans magnifiques que des scènes d'action rythmés!
    Encore une fois l'opening est convaincant. Pour finir les dialogues c'est du millésime 1977 vraiment un bonheur 😍
    Que j'ai adoré, merci pour ce moment ❤️
    Alasky
    Alasky

    348 abonnés 3 397 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 septembre 2024
    Un excellent épisode de la saga James Bond, avec à l'affiche le très charmant et charismatique duo Roger Moore/Barbara Bach, bien entourés. Quelques scènes mémorables notamment avec Requin, ou encore celles en Egypte et dans la demeure du grand méchant... Jouissif, je recommande !
    Tietie007
    Tietie007

    3 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mai 2024
    Un de mes Bond préférés, avec Curt Jurgens, en méchant convaincant et l'impressionnant Richard Kiel dans le rôle de "Requin".
    CONFITURE
    CONFITURE

    5 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 avril 2024
    Un des meilleurs James Bond, requin est incroyable, probablement le meilleur de Roger Moore.
    JSCooper
    JSCooper

    5 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 avril 2024
    Pour ce dixième opus de la saga, nous avons droit aux ingrédients habituels des "James Bond" en général ou de ceux avec Roger Moore: des scènes d'action réussies, des cascades, des lieux de tournage autour du globe, des gadgets, des Bond Girls, de l'humour. Le scénario et la réalisation sont eux aussi dans la veine habituelle.
    Dans ce volet, peu ou pas de points faibles, si ce n'est quelques raccourcis, incohérences ou plutôt bizzareries scénaristiques.
    Au final un divertissement efficace qui ne ravira pas que les inconditionnels de 007.
    Shawn777
    Shawn777

    584 abonnés 3 469 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 novembre 2023
    Après "On ne vit que deux fois", Lewis Gilbert revient en 1977 à la réalisation de cette dixième mission de l'agent 007, pour la troisième fois interprété par Roger Moore, et je dois dire que ce n'est pas franchement une réussite ! Pourtant, le film ne manque pas d'idées originales dont deux qui resteront particulièrement cultes ! La première, James Bond doit cette fois faire équipe avec un agent du KGB (d'ailleurs brillamment introduite dans une scène qui surprend les spectateurs en reversant les codes) qui deviendra donc la James Bond Girl mais du coup bien moins potiche et inutile que les autres (même si c'est tout de même James Bond qui fait la majeure partie du taff quand même). C'est une très bonne surprise car si l'agent britannique est toujours accompagné, il ne l'est jamais d'un agent (mis à part dans "Bons baisers de Russie" mais elle était particulièrement débile) et même si Bond reste donc le héros du film, on peut quand même parler de duo, ce qui nous change un peu des précédents films. Le deuxième élément culte n'est pas l'antagoniste qui n'a aucun charisme puisqu'il n'est qu'un semblant de Blofeld (le film n'avait pas les droits de mentionner SPECTRE) mais son homme de main, Requin (Jaws en VO) avec ses fameuses dents en acier et sa mâchoire immense capable de tuer et manger à peu près tout et n’importe quoi. Antagoniste tellement populaire et original qu'il reviendra d'ailleurs dans "Moonraker". Un antagoniste qui n'hésite, de plus, jamais à user d'une violence assez crue pour tuer ses victimes (en leur mordant le cou à la manière d'un vampire par exemple), ce qui change des énièmes échanges de coups de feu. Malheureusement, il s'agit d'un des épisodes les plus faibles de la saga et notamment en terme d'action puisqu'il ne s'y passe presque jamais rien ! Ce qui est d'autant plus dommage que le réalisateur avait réussi à faire quelque-chose de très intéressant et de divertissant avec "On ne vit que deux fois" (on retrouve d'ailleurs un peu sa patte dans les décors du méchant et notamment du monorail). Ici, plus l'histoire avance, plus on s'ennuie, ce qui est particulièrement frustrant avec la mise en place d'éléments aussi intéressants. On retiendra malgré tout la course poursuite en Lotus Esprit, particulièrement réussie. "L'Espion qui m'aimait" comporte donc de bonnes idées, malheureusement incorporées dans une histoire un peu fadasse.
    kibruk
    kibruk

    145 abonnés 2 547 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 décembre 2023
    J'aime bien "L'espion qui m'aimait", c'est peut-être même le James Bond que je préfère de tous ceux que j'ai vu. Après c'est vrai qu'il a quand même pris un sacré coup de vieux même si certains effets sont très réussis, c'est surtout le rythme des scènes d'action qui pique. Le scénario est ultra-simpliste, ceci dit il vaut mieux une histoire simple et bien menée qu'un truc faussement compliqué. "L'espion qui m'aimait" donne tout ce qu'on attend de la vision d'un 'vieux' James Bond.
    Docteur No
    Docteur No

    6 abonnés 58 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 novembre 2023
    "je marque pour la Grande-Bretagne" 007

    NOBODY DOES IT BETTER

    Après l'homme au pistolet d'or le duo Saltzman-Broccoli se sépare , ne reste plus que Broccoli au commande , immense challenge .

    Des sous-marins soviétiques et anglais disparaissent mystérieusement , Bond est envoyé en Egypte afin de suivre la piste d'un micro-film .

    JE VOUS EXPRIME MA PLUS PROFONDE GRATITUDE - STROMBERG

    spoiler: Le Bond Parfait de Roger Moore un humour bien présent mais à dose acceptable , des cascades impressionnantes du saut en parachute à la course poursuite en Sardaigne en finissant dans une grande bataille à l'intérieur d'un tanker- pétrolier .


    spoiler: Un méchant charismatique impitoyable avec plan de domination mondiale Karl Stromberg Curd Jurgens apparition de Jaws-Requin Richard Kiel . Des James Bond Girls charmantes de Caroline Munro-Naomi à Anya-Barbara Bach avec une robe sublime .


    spoiler: Un Roger Moore parfois émotif - allusion à son histoire avec Tracy de 1969 ainsi que lors d'une discussion avec Anya - les deux personnages sont liés par un évènement survenu lors du pré-génériqu
    e .

    spoiler: Des paysages somptueux de la Sardaigne à l'Egypte , les pyramides merveilleusement introduites par ailleurs
    .

    spoiler: Des décors fabuleux de l'Atlantis (base de Stromberg) jusqu'au pétrolier Liparus , côté gadget retour de la voiture avec la fameuse Lotus . [spoiler] La musique du film est NOBODY DOES IT BETTER une des meilleurs de la saga
    [/spoiler].

    "CE N'EST PAS UNE EXTORSION DE FOND QUE JE CHERCHE" - STROMBERG

    Un Bond parfait , un Bon et un Bon(d) moment de cinéma que dire de plus ? 100 % SATISFAIT DU FILM . Merci Moore , Gilbert et Broccoli pour ce bijoux Bondien .
    OMTR
    OMTR

    18 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 septembre 2023
    « spoiler: Eh bien, eh bien... un agent britannique amoureux d'une agente russe. Détente, en effet.
    »

    Une histoire inspirante de coopération anglo-soviétique pour révéler les manipulations d'un cerveau criminel qui veut raser New York et Moscou avec des missiles balistiques afin de régner sur son nouveau monde sous-marin.

    Roger Moore incarne 007 avec toujours autant de talent, et Barbara Bach dans le rôle de la major Anya Amasova "L'Espion qui m'aimait" est la "James Bond girl" dont le personnage est le plus développé de la série.

    Richard Kiel dans le rôle de "Jaws" est un second rôle captivant qui donne du mordant et Curd Jürgens honore le personnage de Karl Stromberg, un riche industriel, magnat du transport maritime, fondateur et PDG de la Stromberg Shipping Company et terroriste anarchiste.

    Le style de mise en scène de Lewis Gilbert et le montage de John Glen mettent en valeur à la fois les brillantes performances des acteurs et le superbe travail de direction artistique de Ken Adam.

    Enfin, une citation mémorable : « spoiler: Toutes ces plumes et il ne peut toujours pas voler !
    », qui pourrait bien être la réplique la plus drôle de James Bond à ce jour.

    4.7/5
    Topaze87
    Topaze87

    8 abonnés 407 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 septembre 2023
    Un bon James Bond qui bénéficie de magnifiques paysages variés, ainsi que de deux méchants emblématiques campés par Richard Kiel et Curd Jurgens.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 359 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 février 2023
    Pour son troisième James Bond, Roger Moore ne s'impose toujours pas comme le comédien indispensable au rôle. Néanmoins, "L'espion qui m'aimait" tient la route grâce à un rythme prenant, une intrigue qui nous fait voyager aux Bahamas, en Egypte, au Canada et en Sardaigne. La James Bond girl livre une prestation utile, non cantonnée à son physique. Enfin, le méchant de 2m20 est impressionnant, mais il n'était pas nécessaire de lui mettre des dents en acier pour montrer sa force.
    Kymani Alger
    Kymani Alger

    24 abonnés 546 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 septembre 2022
    très bon film james bond j'ai beaucoup aimé l'univers, le méchant, les gadgets et les effets spéciaux
    VOSTTL
    VOSTTL

    95 abonnés 1 937 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mai 2022
    Je le dis d’emblée, je ne suis pas très James Bond.
    Je n’ai vu que 4 James Bond au cinéma et suis ressorti à chaque fois peu emballé.
    A la téloche, l’espion 007 n’est donc pas ma priorité. Je peux même m’en passer.
    Puisque j’ai la possibilité de tous les voir, je vais me contraindre à parfaire ma culture 007.
    D’où une naïveté parfois volontaire et sincère.

    « L’Espion qui m’aimait »
    10ème opus que je n’avais encore jamais vu (8 sur 10) réalisé par Lewis Gilbert, celui-là même qui avait réalisé « On ne vit que deux fois ».
    On peut rapprocher les deux films : « On ne vit que deux fois » c’est un vaisseau mystérieux qui kidnappe une capsule US puis une capsule soviétique dans l’Espace même. Là, « L’espion qui m’aimait » spoiler: c’est un cargo mystérieux qui kidnappe un sous-marin US et soviétique puis un sous-marin de Sa Majesté la Reine d’Angleterre.


    L’invraisemblable et la mégalomanie sont de retour.

    Roger Moore porte toujours aussi bien le costume et l’uniforme.

    L’agent 007 impliqué dans le générique. Eh oui, il évolue au milieu de silhouettes féminines ombrées aux seins nus qui me ravissent toujours autant.

    Comparé à « L’homme au pistolet d’or », ce n’est pas une consolation ; « L’espion qui m’aimait » présente un scénario un peu plus captivant et cerise sur le gâteau, on y voit clairement un sein dans le récit !
    Quand je dis que la franchise évolue pas à pas.

    « Oh, James, les mots me manquent » dit une Girl pâmée dans le lit de 007.
    « Je me ferai un plaisir d’enrichir votre vocabulaire. » lui répond ce dernier.
    Savoureux.
    Puis, en un tourne main, le voilà habillé en tenue de ski poursuivi par des tueurs soviétiques. spoiler: La descente ne s’éternise pas, elle se conclut par un saut dans le vide en parachute.

    Assez spectaculaire parce que… inattendu.

    Le meilleur James Bond version Roger Moore jusqu’à présent.
    Il était temps.

    La mise en scène réserve de bonnes surprises.
    Ainsi, le spectateur que je suis s’est bien fait avoir sur l’identité de Triple X.
    Concernant la Lotus, Lewis Gilbert nous la présente par le regard d’Anya Amasova, la jolie Barbara Bach. De son point de vue, nous voyons Q expliquer à James Bond le fonctionnement de la Lotus. Seulement, comme Anya Amasova est en retrait, le spectateur n’entend rien.
    La bonne idée est d’amener le spectateur à découvrir les ressources de la Lotus dans l’action.
    On peut remarquer que ce James Bond/Roger Moore, en trois apparitions, ne roule pas en Aston Martin.

    Le méchant de service se nomme Karl Stromberg joué par Curt Jürgens. On ne parle pas de Blofeld. Mais la mégalomanie de Stromberg est tout aussi extravagante que Number One SPECTRE !
    A bien autopsier les ambitions démesurées de Stromberg, on peut y déceler une toute petite dimension écologique, oui, oui.
    A noter que Stromberg a un homme de main, spoiler: plutôt un homme à la mâchoire d’acier sous les traits du géant Richard Kiel appelé Jaws.

    Impressionnant mais assez lourd dans ses déplacements et mouvements.

    A lui seul, il me persuade que les James Bond sont à prendre comme une BD.
    spoiler: Il achève ses proies en les mordant au cou comme le fait un vampire.

    Pourtant, sa force est telle qu’il peut broyer facilement tout ce qu’il enserre ou saisit.
    spoiler: Pourquoi s’embarrasser de mordre au cou ?!

    Quand il enserre James Bond, il peut lui briser les reins.
    Ben non !
    spoiler: Par exemple, en Egypte, il arrache le toit de la camionnette dans laquelle tentent de fuir 007 et Triple X. Au lieu de tendre la main pour décoller un des deux agents de leur siège, il s’en va arracher une aile !

    C’est pourquoi, il ne faut pas se poser de questions.
    Quand on commence comme moi à découvrir James Bond après 10 opus, je comprends qu’il faille se laisser aller et peu importe la logique !
    Du reste, il n’y a pas de logique dans l’univers bondien.
    Qu’on se le dise !
    Acceptant cette philosophie, James Bond se laisse regarder avec plaisir avec ses hauts et ses bas, ses défauts et ses qualités.

    J’ai apprécié le couple James Bond - Anya Amasova. Une association bienvenue et plaisante dans le cadre de la Guerre Froide.

    Ce qui m’amène à LA James Bond Girl : Anya Amasova. La seule du film.
    Il n’y en a pas deux ou trois comme dans les précédents volets, Anya Amasova est l’unique Girl.
    Le couple fonctionne bien.
    Depuis l’ère Roger Moore (et même depuis Sean Connery !), voilà une James Bond Girl qui a du répondant et qui se permet de jouer égal à égal avec son homologue britannique.
    spoiler: C’est elle qui montre un sein quand elle se douche dans la cabine de l’amiral de l’USS Wayne. Eh oui ! Ça reste chaste.


    Petite remarque : il arrive que notre agent 007 se montre sexiste quand une messagère de Stromberg vient se présenter : « Quelle ligne, quel châssis ! ».
    Parle-t-il du bateau ou de la femme en tenue légère taille mannequin ?!
    Le spectateur n’est pas dupe.
    Un brin raciste : spoiler: « Ah, ces constructions égyptiennes !» dit-il après s’être débarrassé de Jaws englouti sous des gravats.


    En ce qui me concerne, je ne suis ni choqué, ni indigné. Il suffit de prendre du recul, de contextualiser.
    Ce n’est pas méchant et c’est plaisant !
    Il serait maladroit de toujours juger l’esprit d’un récit d’hier à la lumière de nos jours où tout est précaution de langage totalitaire !

    A voir en V.O pour… Jaws !!!
    Cyril Bureau
    Cyril Bureau

    6 abonnés 520 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 mai 2022
    Dixième mission pour le célèbre agent secret de sa majesté, James Bond. Pour cette dixième aventure James Bond doit faire équipe avec un agent des services secrets soviétique, Anya Amasova alias XXX, car en effet deux sous-marins, l’un britannique et l’autre soviétique, ont mystérieusement disparus. Les agents 007 et XXX doivent à tout prix retrouver ces deux sous-marins car tout deux transportaient des missiles nucléaires et si quelqu’un s’avérait a s’en servir, l’avenir de la planète serait menacé. Une aventure palpitante et explosive commence. L’Espion qui m’Aimait marque la troisième apparition de Roger Moore dans le rôle de l’espion 007 et dans son meilleur film de James Bond car en effet L’Espion qui m’Aimait est un chef d’œuvre du genre, le genre James Bond. C’est un chef d’œuvre car l’histoire est parfaite avec pour idée générale de sauver le monde, 007 a du pain sur la planche. L’histoire est menée sans temps mort et enchaine péripéties et morceaux de bravoure dans des scènes d’action explosives. Le spectateur ne sera certainement pas dessus car le film en possède plein: il y a d’abord une superbe séquence pré-générique dans des montagnes enneigées où Bond est poursuivit par des tueurs soviétiques dans une poursuite géniale et qui se clôt par le saut d’une immense falaise où 007 déploie son parachute à l’effigie de l’Union Jack, il y a également de nombreuses bagarres avec un grand méchant culte de la série, Requin, des bagarres dans des temples égyptiens, dans un train, et dans le repère du méchant. Ensuite le film nous propose une spectaculaire course poursuite à voiture avec 007 et XXX, où Bond conduit une Lotus Esprit et est poursuivie, dans l’ordre par une moto avec un missile qui détruit un camion, ensuite par des voitures où Requin tire sur eux, par un hélicoptère piloter par une sublime créature et la course finira sous l’eau car la Lotus Esprit a la particularité de se transformer en voiture sous-marine et nos deux héros seront poursuivies par des hommes grenouilles et par des engins aquatique. Enfin il y a le moment explosif du film, il s’agit de la bataille entre les hommes de Stromberg et les prisonniers que Bond a libérés dans son immense navire, le Liparus, qui sert à stocker les sous-marins volés. Nous avons un affrontement épique avec des explosions, des morts, des fusillades, et la destruction du Liparus, une longue séquence d’action jouissive et il y a aussi le face à face entre Bond et Stromberg, le combat entre Bond et Requin (encore!) et la destruction de l’Atlantis, la base de Stromberg. En résumé L’Espion qui m’Aimait est un film explosif et le premier Bond avec Roger Moore où les scènes d’action sont originales et inventives. Maintenant parlons des acteurs: Roger Moore est vraiment un excellent acteur et un excellent James Bond également, il s’est approprié le personnage et est sérieux tout en balançant des répliques cultes comme: « -Les femmes aux volants! », une fille: « -Mais James! J’ai besoin de toi! », lui: « -L’Angleterre aussi! » ou « -J’ai peut être mal jugé Stromberg, un homme qui possède un Dom Pérignon cuvée 53 n’est pas complètement mauvais. » et encore « -Quand on est en Egypte, il faut se livrer à une visite approfondie de ses trésors. », « -J’ai déjà mangé mais je crois que je n’ai pas eu de dessert » dit-il en embrassant une séduisante femme. Roger Moore est vraiment hilarant quand il dit des répliques de ce genre. Ensuite la Bond Girl, Anya Amasova alias XXX, jouée par la sublime Barbara Bach, une des plus belle James Bond Girl de la série, et enfin les méchants oui car il y en a deux méchants dans L’Espion qui m’Aimait, d’abord le principal, Karl Stromberg joué par le très bon Curd Jürgens, un des meilleurs méchant de la série et l’autre c’est bien sur l’homme de main Requin joué par l’immense Richard Kiel qui interprète ce tueur au dents d’acier redoutable qui ne dit pas un mot, le personnage le plus culte de la série qui a la particularité de s’en prendre plein la tronche, par exemple lors de la séquence dans le temple égyptien Requin soulève une grosse pierre et la laisse tomber… sur son pied et la douleur ce lis sur son visage de manière comique. L’Espion qui m’Aimait possède également une magnifique chanson de générique, Nobody Does it Better chantée par Carly Simons, une des plus belles chansons de la série, et le film fait également le clin d’œil au film de David Lean, Lawrence d’Arabie car quand Bond et Amasova sont dans le désert on peut entendre la musique de ce chef d’œuvre en fond musical, on sait pas ce que sa vient faire là mais c’est fun. L’Espion qui m’Aimait est sans doute un des meilleurs Bond de la série avec son intrigue excellente, ses scènes d’action démentes et ses personnages géniaux. L’hère Moore atteint son sommet.
    Roub E.
    Roub E.

    949 abonnés 4 994 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 mai 2022
    Premier Bond que j’ai vu quand j’étais gamin j’étais curieux de le redécouvrir des années (décennies) après. Je ne suis pas un grand fan de la période Roger Moore, mais celui ci est sûrement le plus réussi. D’ailleurs si on voulait un film type pour illustrer la saga de James Bond cet « espion qui m’aimait » serait parfait. Un côté dépaysant avec notamment l’Egypte, un méchant égocentrique qui menace de détruire la planète, des gadgets (notamment ici la Lotus sous marine), de la légèreté , des cascades impressionnantes (la course poursuite Lotus hélicoptère est une réussite, des décors impressionnants avec la typique base du méchant, une James Bond Girl intéressante à savoir ici une espionne russe qui est l’égale de Bond (jusqu’au final qui la transforme en femme à sauver et qui gâche le personnage) et en prime Jaws l’homme de main sûrement le plus connu de la saga. Dans les points faibles de ce film en revanche il y a une musique un peu kitsch quelques effets qui ont mal vieillis (surtout pour un film de 77) et un Roger Moore vraiment pas à l’aise pour « La Bagarre » malgré tout les efforts qui sont fait par le réalisateur pour dissimuler cet état de fait.
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