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    L'espion qui m'aimait
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    237 critiques spectateurs

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    antoine y.
    antoine y.

    5 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 octobre 2020
    Sans somber non plus dans la catastrophe comme Quantum of solace par exemple, cet opus n'est clairement pas un superbe james bond pour autant, en effet il est tout simplement principalement issu de la réutilisation de deux anciens james bond ( bons baisers de russie, et " on ne vit que deux fois ) dont les scénarios ont été mixés et réarrangés afin de donner " l'espion qui m'aimait, cela reste quand meme regardable malgré tout et appréciable ce qui lui permet d'avoir la moyenne on notera au passage quand meme l'apparition d'un méchant iconique, à savoir requin !
    rocky6
    rocky6

    30 abonnés 1 719 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 octobre 2020
    Après le plus faible "l'homme au pistolet d'or", l'agent 007 revient dans un bien meilleur film. Avec un scénario mieux travaillé et surtout quelques belles trouvailles. La meilleure étant sans aucun doute l'arrivée de ce tueur géant à la mâchoire en acier surnommé "requin". Les affrontements entre Bond et ce tueur sont très bien mis en scène. Bref un des meilleurs films de l'ère Moore avec "Rien que pour vos yeux" et "Octopussy".
    Ricco92
    Ricco92

    224 abonnés 2 149 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 octobre 2020
    L’Espion qui m’aimait est généralement considéré comme le meilleur James Bond interprété par Roger Moore. Il faut reconnaître que la qualité est au rendez-vous de ce volet.
    Le film bénéficie d’une intrigue intéressante, n’ayant strictement rien à voir avec le roman d’origine à l’exception de la présence de Bond. Pour la première fois, on voit l’agent britannique obligé de collaborer avec une homologue russe. spoiler: Celle-ci est d’ailleurs présentée avant notre héros de la même manière que celui-ci, à savoir dans un lit après une relation amoureuse. En outre, le fait que Bond ait tué l’homme dont cette jeune femme était amoureuse apporte une touche supplémentaire dans la relation entre les deux personnages. On regrettera d’ailleurs que, dans la séquence finale, cette agent russe qui s’était promise de tuer Bond une fois la mission achevée change d’avis en une seconde sans que l’on comprenne réellement pourquoi.
    En effet, la relation entre ces deux personnages était pour une fois à cette époque un élément fort de l’intrigue spoiler: à tel point que l’intérêt du spectateur s’émousse un petit peu lorsque le duo est séparé dans la dernière partie reléguant le personnage d’Anya à celui du cliché de la jeune femme en détresse qui avait été évité jusque-là
    .
    En outre, dans la tradition de personnages comme Oddjob ou Trick-Track, le film bénéficie d’un homme de main du méchant très mémorable en la personne de Requin (ou, en V.O., Jaws, nom qui, tout comme la présence d’un requin mangeur d’homme, fait directement référence aux Dents de la mer de Spielberg qui avait connu un succès colossal deux ans plus tôt). Interprété par un Richard Kiel extrêmement impressionnant, ce tueur reste un des adversaires de Bond les plus marquants de la série. spoiler: Le personnage rencontra d’ailleurs un tel succès auprès du public des projections tests que la production décida de l’épargner à la fin (alors qu’il devait succomber à l’origine) et le fera même revenir en accentuant son aspect comique dans le volet suivant, Moonraker.

    Pour ce qui est du personnage de Bond, on peut estimer que nous sommes encore dans une période de transition entre l’interprétation de Sean Connery et son incarnation par Roger Moore. En effet, le personnage, surtout au début, est encore assez sérieux spoiler: (on peut même être choqué par son attitude lorsqu’on le voit tuer de sang-froid Sandor qui venait de lui donner des informations)
    mais possède malgré tout l’humour si caractéristique de Roger Moore sans pour autant tomber dans l’aspect cartoonesque qui prendra beaucoup plus d’importance à partir de Moonraker.
    L’instauration véritable de l’univers de Roger Moore se fait également au niveau des gadgets à partir de L’Espion qui m’aimait. Effectivement, dès le pré-générique spoiler: et son bâton de ski-fusil
    , ils sont nettement multipliés et deviennent de plus en plus délirants spoiler: , le sommet étant atteint ici par la mémorable Lotus Esprit qui regorge de surprises (renforcées par le fait que sa présentation à Bond par Q est filmée de loin sans que le spectateur ne l’entende)
    .
    D’un point de vue purement cinématographique, on peut noter que Lewis Gilbert (de retour après On ne vit que deux fois, films possédant plusieurs éléments scénaristiques similaires) s’appuie sur une splendide photographie de Claude Renoir (qui se verra aidé rien moins que par Stalney Kubrick pour l’éclairage du supertanker) et par une musique, cette fois signée par Marvin Hamlisch, plus pop que celle de John Barry.
    L’Espion qui m’aimait se révèle donc être un des meilleurs, voire le meilleur, épisodes de l'ère Roger Moore mais aussi un des sommets de la série tout court. Une belle réussite sur toute la ligne.
    Flōrens PAB
    Flōrens PAB

    82 abonnés 614 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 septembre 2020
    A l'origine James Bond devait affronter son pire ennemi (Ernst Stavro Blofeld), mais sans les droits d'utilisation c'est un dénommé Karl Stromberg qui s'y colle dans le rôle de l'antagoniste, et les influences du SPECTRE se ressentent grandement dans le style du film : un méchant mégalomane, un QG gigantesque et un homme de main terrifiant et indestructible. Même la James Bond Girl est intéressante : c'est une variante de l'agent 007 mais russe (de quoi faire jaser à l'époque). Ça ajoute une nouvelle dynamique a l'ensemble et James Bond a enfin quelqu'un (d'intelligent) avec qui partager son aventure.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 178 abonnés 4 173 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 septembre 2020
    Pour ce troisième opus de l’ère Roger Moore dans le rôle du James Bond, l’acteur a définitivement pris ses marques en donnant à l’agent 007 la distinction, l’humour et la désinvolture qui sont la marque de son jeu. Inutile d’aller piétiner les plates-bandes de Sean Connery sur le registre de la virilité parfois brutale ou goujate dans lequel l’écossais est inimitable. La séparation du duo de producteurs Albert R. Broccoli et Harry Saltzman ayant mis du temps à être effective, la préproduction de « l’espion qui m’aimait » a pris du retard. Guy Hamilton qui était initialement prévu à la réalisation s’est retiré du projet, laissant la place au raffiné Lewis Gilbert qui avait dirigé le plus qu’honorable « Au service secret de sa majesté » en 1969. L’intrigue inspirée de « Motel 007 », le neuvième roman de la saga écrit par Ian Fleming, revient aux fondamentaux qui exigent que James Bond inscrive son action dans un contexte géopolitique gravement perturbé par un psychopathe voulant donner un nouveau sens à l’histoire du monde. C’est Richard Maibaum, scénariste historique de la saga qui est à l'écriture de l’adaptation. Il est secondé par Christopher Wood choisi par Lewis Gilbert afin de rester plus conforme à la vision initiale de Ian Fleming. Toutefois Albert Broccoli désormais seul producteur demande à ce qu’un méchant doté d’une mâchoire d’acier soit créé pour être tout au long du film dans les pattes du duo que l’agent 007 formera avec une homologue russe interprétée par Barbara Bach, ex-mannequin reconvertie actrice et future femme de Ringo Starr, le batteur des Beatles. Plus question en revanche de faire allusion à l’organisation SPECTRE et à son chef Blofeld, la production étant menacée de procès par Kevin McGlory, un producteur scénariste ayant été en relation à la fin des années des années 1950 avec Ian Fleming pour une adaptation avortée de son œuvre au cinéma. Se déroulant successivement en Egypte et en Sardaigne, « L’espion qui m’aimait » remplit parfaitement son cahier des charges avec un dosage parfait entre tous les atouts immuables de la saga. Il est souvent cité comme le meilleur épisode de la période Roger Moore. Ce titre peut lui être légitimement contesté par «L’homme au pistolet d’or». On retiendra l’excellente prestation de Barbara Bach et surtout l’atout majeur constitué par Richard Kiel, acteur américain mesurant 2,18m qui interprète avec toute la dérision requise « le Requin », homme de main du méchant (Curd Jürgens) qui ne lâchera jamais 007 et Anya Amasova (Barbara Bach), renaissant à chaque fois de ses cendres pour mordre à nouveau. Le record de recettes décroché par « Vivre et laisser mourir » sera largement battu. Roger Moore avait encore quelques belles années devant lui.
    Florentin Drugmand
    Florentin Drugmand

    8 abonnés 59 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 juin 2020
    J'ai adoré ce film qui diffère largement des propagande anti soviétique de l'époque ! En effet l'agent 007 propose une belle collaboration russo britannique qui ne diabolise pas l'URSS. De plus les images notamment en Egypte sont juste sublime. Enfin , j'ai bien aimé Barbara Bach, interprète de l'espionne russe qui ne tombe pas dans les bras de 007 instantanément et qui a une vraie histoire qui va au-delà du simple rôle de "la femme qui accompagne James bond"
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 624 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 avril 2020
    10 ans après « On ne vit que deux fois », ce film est guère inspiré même s’il s’en tire mieux que son modèle et il m’en coûte d’écrire cela tant, à mon avis, Sean Connery est un Bond supérieur à Roger Moore. Donc c’est ici le meilleur Bond de l’ère Moore, constat malgré tout peu reluisant car il surpasse le moins bon de Connery. Définitivement je suis peu adepte de ce Bond à l’humour british manquant de charisme, de froideur et surtout de mystère. Revenons à nos moutons, ce film en forme de remake qui n’offre que peu de nouveautés :
    - Fini la guerre froide : URSS et USA collabore contre les forces du mal
    - Repositionnement de la James Bond Girl : Barbara Bach en espionne soviétique est l’égale du misogyne Bond.
    En quoi est-il supérieur à son modèle ?
    - Un méchant, Jaws, qui restera dans les annales
    - Un pré générique dans les Alpes autrichiennes (tourné au Canada !!!) avec une course poursuite à ski époustouflante
    - Une base sous-marine secrète plus grandiose que le volcan en carton-pâte ; une base par contre au service d’un méchant terroriste écolo, paradoxalement prêt à envoyer une bombe nucléaire sur New-York et Moscou pour défendre sa cause !!!
    - Des gadgets dont la Lotus Esprit (snifff pas d’Aston Martin) et des scènes d’action de haute tenue.
    Mais de bonnes idées ne suffisent pas à faire un bon film… tout juste un honnête divertissement.
    tout-un-cinema.blogspot.com
    selenie
    selenie

    6 233 abonnés 6 183 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 avril 2020
    La première chose qui nous frappe reste la musique s'inspirant du classique saupoudré de disco ! La musique est clairement le maillon faible du film. A y regarder de plus près le scénario est proche de "On ne Vit que deux fois" (1967) mais à l'inspiration de "20000 Lieues sous les Mers". En prime le tueur culte Requin n'est pas pour rien dans le charme du film, un tueur original qui apporte autant de frayeur que d'humour ! On apprécie également l'agent Barbara Bach/Triple X, cette dernière étant incontestablement un des James Bond Girls les plus magnétique de la saga. Forcément, on attend les gadgets qui ne sont pas envahissants mais qui ont aujourd'hui leur place dans le best of de la saga avec la Lotus amphibie surtout, on peut préciser en prime que Bond est le premier à utiliser un jet-ski sur grand écran. Un bon moment.
    Site : Selenie
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 avril 2020
    James évolue dans un monde où les égyptiennes ne sont pas voilées, l'alcool coule à gogo dans les boîtes du Caire, les camions rentrent directement se garer dans des temples déserts. Les marchands sardes sont en slip de bain, on entend du MC Carney à chaque moment cool, le repaire du méchant est une grosse maquette en toc mais on s'en fout car à ce moment là seul le décolleté de Caroline Munro retient notre attention. Il fait beau, James est charmant, l'agent triple X délicieuse.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 avril 2020
    L'un de mes "James Bond" préféré, tout y est : une histoire bien construite, des scènes de poursuites bien orchestrées. Bref un vrai moment de plaisir,
    Hotinhere
    Hotinhere

    549 abonnés 4 957 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 mai 2022
    Dixième opus de la série, mais le premier tourné sur la base d'un scénar original, pas fou mais divertissant avec cascades, gadgets, humour et le redoutable Requin.
    youtube champions
    youtube champions

    45 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mars 2020
    L’espion qui m’aimait est le 10eme James Bond et le 3ème avec Roger Moore. Des sous marins nucléaires disparaissent sans laisser de traces. Les anglais et les russes envoient donc leurs meilleurs agents pour récupérer des plans au Caire. Ce James Bond est le 2ème de Lewis Gilbert, réalisateur de « On ne vit que 2 fois ». De ce fait, la trame principale est largement recyclée. En effet, dans « On ne vit que 2 fois », des fusées disparaissent mystérieusement et il y’a une énorme bataille à la fin dans une base gigantesque (ou on trouve d’ailleurs les mêmes modules de déplacement). Même si ce recyclage est fort voyant, on prend quand même plaisir à suivre l’histoire qui n’a pas finit de nous étonner (comme la référence à « Lawrence d’Arabie »). Les acteurs sont tous très bien. Roger Moore est toujours aussi charmant et flegmatique. Barbara Bach en Anya Amasova est parfaite et peut être une de les James Bond Girl préféré. Le méchant est hélas trop peu présent, ce qui ne le rend que peu effrayant. Du côté des cascades et des poursuites, elles sont de plus en plus impressionnantes et elles redoublent d’originalité (poursuite sous marine). En terme de mise en scène, quelques bonnes idées de placement de caméra sont utilisé . Le décor a la fin est sublime (l’intérieur du bateau a été entièrement fait). La musique, assurée par Marvin Hamlish, est entraînante et accompagne bien le film. La musique thème de Carly Simon est sublime.
    Rorechar
    Rorechar

    7 abonnés 815 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 février 2020
    Un James Bond qui est mythique, un des meilleurs de la saga et sans aucun doute le meilleur de l'ère Roger Moore. Bond fait face à l'impitoyable Stromberg qui a dérobé des sous-marins nucléaires soviétiques. 007 fait alors équipe avec une agent soviétique. Tout y est, ce bond nous fait rappeler l'organisation du SPECTRE, avec Stromberg dans sa station aquatique en forme de pieuvre. Par ailleurs il introduit le personnage mythique et charismatique, voir même de terrifiant, le fameux Requin à la mâchoire d'acier, qui semble quasiment indestructible. Aussi c'est dans ce Bond que l'on aperçoit la célèbre Lotus, qui se transforme en sous-marin, qui est devenue presque aussi célèbre que la DB 5. Roger Moore arrive même à nous faire oublier l'interprétation de Sean Connery, il ne le remplace pas, mais il se hisse à au niveau et fait qu'il s'approprie le rôle du célèbre espion. Un 10 ème classe et culte
    vivaBFG
    vivaBFG

    13 abonnés 1 291 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 janvier 2020
    Un bon james Bond, sans trop de cascades improbables. on y pressent le dégel des relations est - ouest, déjà bien commencées à l'époque; et on peut y voir l'ancêtre du jetski, soit le wetbike.
    A voir par les amateurs de Bond et d'espionnage
    Sébastien T.
    Sébastien T.

    4 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 février 2020
    Roger Moore toujours aussi mauvais, un scenario qui est quasi le copier coller de On ne vit que deux fois, mais avec des James Bond girls ultra sexys et des sous marins à la place des navettes spatiales. Bon ce film se regarde tout de même mais aucune surprise, aucun fait qui fera la légende de Bond, sauf Requin bien sûr ! Allez on va dire deux trucs positifs : le saut en ski au début et la voiture amphibie.
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