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Un visiteur
3,5
Publiée le 28 octobre 2012
Un bon James Bond, qui utilise intelligemment cette liaison improbable entre Roger Moore et son homologue Russe, entre compétition, rancoeur et humour. Pour une fois, un second couteau vole également la vedette au méchant de service : l'inimitable Jaws et ses dents d'acier. Quelques trouvailles vraiment sympas (la voiture sous-marine), et un finish de bonne qualité permettent de passer un agréable moment avec l'agent 007.
Ce n'est pas le plus flamboyant des James Bond mais il tient la route. Le scénario est intéressant. On retrouve ce contexte de guerre froide qui nous avait un peu quitté depuis quelques épisodes. On découvre un personnage que l'on retrouvera : Requin.
Pour le troisième James Bond interprété par le suave Roger Moore, et le deuxième réalisé par Lewis Gilbert (qui avait déjà réalisé On ne vit que deux fois), l’espion anglais devait éviter une crise mondiale sur fond de sous-marins.
L’Espion qui m’aimait, qui n’est pas une adaptation du livre du même nom, se devait d’être un peu plus novateur que les deux premiers James Bond de Roger Moore. Malheureusement, le film ne réinvente encore rien, se contentant d’appliquer avec méthode ce qui marche dans les films de l’espion anglais sans pour autant arriver à un niveau d’On ne vit que deux fois, qui lui non plus ne réinventait absolument rien. La formule commence à s’éculer et ce n’est pas la fadasse Barbara Bach qui peut y remédier, ni même ce méchant plutôt médiocre et jamais menaçant. Heureusement, certaines scènes sont très réussies, celles avec Jaws, personnage mythique s’il en est et l’apparition de Q, toujours joué par le génial Desmond Llewellyn, la chanson-titre est vraiment efficace et les scènes d’action sont musclées.
Entre un score très médiocre, une réalisation pas forcément très efficace et des acteurs vraiment moyens, L’Espion qui m’aimait ne peut être considéré comme un bon cru. Mais il reste néanmoins un film sympathique et divertissant.
Un des meilleurs james bond, avec Goldfinger. Roger Moore en forme et tous les autres acteurs excellent. De l'action, de l'enchaînement, du rythme. Lewis Gilbert (le réalisateur) nous divertie agréablement avec sans doute un des films les plus culte dans la série des James Bond. Des scènes légendaires, spectaculaires, pittoresque et comique. Ca vaut le détour.
L'espion qui m'aimait : Je rends hommage a Richard Kiel alias le colossale Requins qui nous a quittés depuis peu : il a suffit d’un rôle pour rendre cette acteur mythique. Car, Cette dixième mission du célèbre agent secret James Bond est l’une des meilleurs de la série, et un des plus réussite avec le charismatique et amusant Roger Moore. Vraiment, ce 007 touche la perfection. Déjà grâce a sa réalisation qui est juste magistrale : du grand art. Tous les James Bond ne sont pas réalisés avec autant de génie et de soin. C'est-à-dire, une mise en scène inspirée et magnifiquement bien cadrée, qui met l’accent sur l’environnement et les paysages qui sont déjà d’entres de jeux superbes. Car oui, ce Bond nous fait bien voyagé et c’est assez dépaysant : entre les montages, les pyramides, le déserts, sous la mer… on est servit. Et en plus, il possède tout les ingrédients qui fondent la force de la série mais ils les maitrisés aussi. Déjà, l’aventure est rythmé à la perfection, aucune seconde de répit entre action et de ce coté la, c’est génial : combat, course poursuit mythique avec la Lotus Esprit, bonne utilisation des gadgets… Et il y a aussi une bonne part d’exotisme et d’humour dans celui la avec un James Bond qui a toujours une bonne reparti avec des phrases bien placés. Et surtout, on a le droit a un des seconds méchants les plus emblématiques de la série : Requins, le tueur aux dents d’acier (encore une fois : RIP a l’acteur). Sinon, les acteurs sont convaincants et la plupart charismatique, Roger Moore est à l’apogée de son rôle de James Bond. Et il forme un beau duo avec la trépidante Barbara Bach. Et pour finir, les musiques sont bonnes, efficaces et le thème du générique est excellent même si le générique est pas terrible. Donc voila, tous est dit, un épisode a ne surtout pas manquer car il y a de l’action, de l’humour, du suspense (avec Requins)… c’est que du bon.
L'espion qui m'aimait souffre de quelques défauts, déja par son age car il à un peu mal vieilli, ce qui le rend parfois très lents, dommage car l'esprit James Bond est totallement présent, Roger Moore reste en forme ( il à d'ailleurs déclaré que c'était le Bond dans lequel il à préféré tourner), sa relation avec une espionne était ce qui lui manquait, le méchant Stromberg manque est bien joué mais est plat (surtout à coté du grand charisme de Scaramanga dans le film précédent). On a droit a de grands décors, des gadgets amusants, et surtout, un des meilleurs méchants de la saga qui est Requin. Un peu ennuyeux, mais ressemblant parfaitement à un film de James Bond.
Afin de retrouver 2 sous-marins nucléaires, James Bond se voit obligé de collaborer avec une charmante espionne russe sans savoir qu’il est responsable de la mort de son amant. Certains aspects du scénario rappellent de manière troublante On Ne Vit Que 2 Fois mais cela n’entache en rien la qualité de l’intrigue. Et pour cause, le film rempli largement ses quotas de courses poursuites, de jolies filles et de scènes d’actions mémorables. Et puis, cet épisode marque surtout l’entré en scène du méchant le plus charismatique de la saga: Requin!
L'Espion qui m'aimait laisse dubitatif. Il fut un temps où le film profitait de sa belle réputation auréolée de critiques fort élogieuses. Un succès justifié par son aspect grand spectacle totalement assumé. Toutefois, il ne faut pas nier la désuétude qui la frapper et ses nombreux défauts aujourd'hui aisément discernables. En effet, c'est un film à grand spectacle tout à fait innovant mais qui met un temps fou à démarrer. Les faux raccords et les défauts techniques en général sont nombreux et sautent aux yeux (exemple de Atlantis). Maintenant, il faut aussi reconnaître que l'Espion qui m'aimait est un James Bond atypique, très kitsch, trop peut-être, mais qui a au moins le fierté d'apporter une atmosphère stylisée tout à fait unique (costumes, musique). Les jeux de lumières et les magnifiques paysages y contribuent également. Malgré tout, le film fait grandement défaut sur la prestation des acteurs. Razzie Award pour Curd Jürgens qui est dans la sur-interprétation du début jusqu'à la fin du film. Roger Moore est le seul à proposer quelque chose d'intéressant... mais toujours et éperdument axé sur l'humour. Un film donc très drôle mais qui ne devait pas l'être. Pourquoi ? Parce que certaines scènes avaient au demeurant un potentiel incroyable pour provoquer chez le spectateur la peur, voir même l'angoisse. Il n'y a que la scène du train qui parvient pleinement à se résultat. Le film est aussi moyen pour ce qui est du scénario. Il part d'un postulat intéressant mais l'intrigue en général fait clairement figure de réchauffé. Il y a tout de même de bonnes scènes à retenir comme celle du spectacle aux pyramides qui a le mérite d'être originale et superbement réalisée. Et il y a aussi et surtout la scène où Anya promet à Bond de le tuer une fois la fin de la mission : une scène bien écrite, très "daltonienne" pour le coup (référence à l'acteur Timothy Dalton) et qui montre Roger Moore sous un autre jour. Il y a aussi l'affrontement entre Bond et Sandor représentatif de l'impartialité du héros mais pitoyablement gâché par ses monstrueux bruitages. Ensemble correct.
Mention spéciale pour la Lotus Esprit amphibie. Pour le reste, "L'espion qui m'aimait", par rapport au reste de la série, ne brille ni ne déteint. Action, raffinement et fantaisie sont de rigueur pour ce qui a du mal à s'affirmer comme autre chose qu'un épisode parmi d'autres d'une série qui a fait ses preuves. S'il ne mérite pas que l'on fasse un détour rien que pour lui, n'hésitez pas à le voir si vous l'avez sous la main, surtout si vous appréciez James Bond en général. Vous ne serez sans doute pas trop déçu.
Dixième épisode de la saga James Bond, L'Espion qui m'aimait débute largement mieux que ses congénères et nous propose enfin une histoire qui tient la route. Bons méchants, générique de qualité et collaboration de 007 avec une agent soviétique apportent ainsi quelques plus au film. Malheureusement, une fois la mission bien lancée et approchant la fin, la production tombe une nouvelle fois dans le grand n'importe quoi et nous montre un agent immortel, évitant toutes les balles, face à des ennemis plus malchanceux que stupides.
Sans aucun doute le meilleur James Bond que Roger Moore est interprété dans le rôle de l'agent double 007. On retrouve tout ce qu'on aime voir: action, belle voiture et jolie fille ainsi qu'un ennemi qui voudra redessiner la face du monde sans oubli le tueur a gage "Requin "
Cet épisode ne surpasse pas les autres opus, mais permet quand même de voir une des plus belles James Bond Girl, la fameuse voiture amphibie, et surtout l'incroyable Jaws, l'un des ennemis les plus classes de Bond. Au-delà de ça, le grand méchant n'est pas très présent, le scénario un peu simpliste, et les gadgets quasi-inexistants. Plus que 12!
Nous revoici en 1977, avec le troisième film de Sir Roger Moore en tant que James Bond. Cet opus est à mon sens le plus représentatif des films de 007, effet Moore compris. Sir R.M. est toujours égal à lui-même. Barbara Bach en JB girl est fort séduisante -et je peux vous assurer que j'étais bien loin d'être né lorsque ce film sortit ! L'intrigue est tout ce qu'il y a de plus Mooresque. Une menace d'envergure, un méchant diabolique et déjanté, des décors superbes et impressionants (la base d'Atlantis), des gadgets surprenants -la fameuse voiture amphibie ... L'espion qui m'aimait est LE James Bond type. C'est peut-être ce pourquoi je ne lui accorde "que" 3 étoiles et demi, peut être trop classique.