AlloCiné
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Votre avis sur Disco ?
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Le genre de comèdie qui ne cherche qu'une seule chose: divertir, tout comme le faisait "Camping" du même rèalisateur! Sortez donc vos plus belles boules à facettes, vos plus beaux costumes à paillettes et pantalons pattes d'eph'...le disco est de retour! Avec "Disco" Fabien Onteniente signe un film sympathique avec des acteurs qui s'en donnent à coeur joie! Le trio Franck Dubosc (has-been et ègale à lui-même), Samuel Le Bihan (qui se rèvèle être un formidable danseur) et Abbes Zahmani (attachant Neuneuil) est croustillant à souhait! Question ambiance, ça remue, et l'ensemble des comèdiens s'est bien coulè dans le moule disco-paillettes-soleil avec une Emmanuelle Bèart qui ètonne en professeur de danse! On rit, parfois même beaucoup, comme la scène du dîner en tête en tête entre Dubosc et Bèart dans un Buffalo Grill! Et puis "Disco", c'est aussi une B.O qui nous replonge dans une nostalgie colorèe, celle des 70's...
Je viens foutre le bordel dans ces notes faciles qui dégomment le film. J'y ai au contraire trouvé une double lecture intéressante. J'ai ri jaune et puis j'ai aussi ri simplement de bonnes blagues. L'histoire d'un gars pathétique qui vient se frotter à notre réalité peut être elle-même ringarde celle du cambouis, de la grève, des supermarchés et des superficiels.. À celle des bars, des émissions de TF1 ou consor. Qui ne s'échappe pas dans des chimères entre la pression de sa femme et celle des potes qui veulent normaliser les délires du samedi soir. Ce film est tout simplement à voir sans à priori.
Disco de Fabien Onteniente, sorti en 2008, est un film sympathique et drôle malgré une histoire qui se veut un peu facile par moments, on retrouve Franck Dubosc en pleine forme dans un nouveau rôle qui, encore une fois, sied très bien à son personnage. On notera aussi les bonnes prestations d'Emmanuelle Béart et de Samuel le Bihan.
Une comédie Française plutôt banale mais qui fait du bien et remplie pleinement son objectif premier: divertir.
Une comédie Française plutôt banale mais qui fait du bien et remplie pleinement son objectif premier: divertir.
De la merde en boîte, il n'y a pas d'autres mots. Tout sonne faux, Dubosc remportant haut la main la palme du ridicule. Film après film, ou plutôt bouse après bouse, il ressort toujours le même personnage : le beauf de base, adepte des blagues grasses et des fringues clownesques. Que vient faire Emmanuelle Beart dans ce naufrage ? Elle seule joue, elle seule crée de l'émotion, elle seule vaut le déplacement. Les dialogues sont à chier, on en vient presque à regretter "La septième compagnie". Qui les a écrit franchement ? Ils sont d'un fade... Au final c'est une sensation de gâchis, le sujet prétait bien à l'humour, il a été défoncé à coup de marteau, et dans le rôle du fossoyeur Fabien Onteniente.
Fabien Onteniente et Franck Dubosc était visiblement fait pour s'entendre. Car tout deux sont en parfaite symbiose dans un monde de beauf,ou le comique au raz des pâquerettes est roi. Il n'y a rien a attendre des personnages vu qu'ils sont écrits et développés avec les pieds,et ce n'est pas la réalisation d'un tocard comme Onteniente qui viendra les sortirent de là.
C'est beauf! Tellement que ça en devient méchamment moqueur envers ceux que ça voudraient défendre. En plus de ça, alors qu'on s'attendrait à une ambiance entraînant à coup de musique disco, le film manque de rythme. Un comble !
Deux ans après le terriblement mauvais Camping (que je n'ai même pas voulu voir en entier), Fabien Onteniente et Franck Dubosc récidivent avec Disco, une comédie has-been dont le comique repose sur le ringard, mais qui s'avère déjà plus sympathique que le précedent succès.
Evidemment, le film se concentre uniquement sur le personnage de Didier Graindorge (ou Travolta si vous préfèrez), un gars au chomâge qui, pour son fils, va tenter de gagner un concours de danse avec son ancien groupe, les Bee Kings (Ha Ha Ha...) Un trio mal mis en valeur par l'omniprésence de Dubosc (ce qui peut devenir lassant, même si c'est la star du film), alors que Samuel Le Bihan et Abbes Zahmani tirent leur épingle du jeu. Quant à Emmanuelle Béart, elle sauve certaines scènes du film de par sa grâce plus efficace que jamais (même si on se demande ce qu'elle fout là), tandis que Gerard Depardieu s'enfonce de plus en plus dans la médiocrité.
La mise en scène, pas réellement novatrice ni même belle, parvient pourtant à équilibrer le scénario qui tient sur un post-it (bon, une page), bardé de fausses émotions (pauvre papa qui aime son gosse, pauvre veuve...), de gags lourds (mais pas aussi beaufs que dans Camping) et de scènes inutiles (Lalanne par exemple), tandis que quelques gags ou répliques parviennent à arracher un rictus ou au pire un sourire au spectateur, qui ressort alors de cette sympathique "récréation" comme d'une soirée karaoké : abasourdi par la musique, mais au final content d'avoir assisté à un phénomène parfois ridicule.
Evidemment, le film se concentre uniquement sur le personnage de Didier Graindorge (ou Travolta si vous préfèrez), un gars au chomâge qui, pour son fils, va tenter de gagner un concours de danse avec son ancien groupe, les Bee Kings (Ha Ha Ha...) Un trio mal mis en valeur par l'omniprésence de Dubosc (ce qui peut devenir lassant, même si c'est la star du film), alors que Samuel Le Bihan et Abbes Zahmani tirent leur épingle du jeu. Quant à Emmanuelle Béart, elle sauve certaines scènes du film de par sa grâce plus efficace que jamais (même si on se demande ce qu'elle fout là), tandis que Gerard Depardieu s'enfonce de plus en plus dans la médiocrité.
La mise en scène, pas réellement novatrice ni même belle, parvient pourtant à équilibrer le scénario qui tient sur un post-it (bon, une page), bardé de fausses émotions (pauvre papa qui aime son gosse, pauvre veuve...), de gags lourds (mais pas aussi beaufs que dans Camping) et de scènes inutiles (Lalanne par exemple), tandis que quelques gags ou répliques parviennent à arracher un rictus ou au pire un sourire au spectateur, qui ressort alors de cette sympathique "récréation" comme d'une soirée karaoké : abasourdi par la musique, mais au final content d'avoir assisté à un phénomène parfois ridicule.
Alexarod
Quand on en a un peu marre de faire des suites de Camping on change juste un peu le thème, on modifie le décor et on brode autour pour faire un genre de spin off. Par contre faut continuer à plaire au public cible, qui n’est pas très regardant ni exigent, donc on n’essaie pas d’améliorer la qualité ou de monter le niveau.
Du coup rien de nouveau, que du déjà vu mais pas de l’attendu (en tout cas pas de ma part). Sachant que les Français adorent la période disco on était certain de rameuter quelques péquenauds qui apprécient moins les tentes. Pour mettre toutes les chances de son côté on ajoute un tas de stars (Béart, Depardieu, FX Demaison, Nanty, Le Bihan) et des guests pour faire le buzz (Francis Lalanne, Annie Cordy, Julien Courbet et Jérôme Le Banneur) car de là à les appeler acteurs faut pas charrier. Faut dire qu’Onteniente devient bankable dans les productions françaises donc ça permet de se montrer. N’est-ce pas là une preuve que la beaufitude est devenue la norme ? Cela expliquerait l’importance de certains et les discours d’autres…
Rien qu’avec ça on sent que c’est n’importe quoi, alors avec des dialogues moisis, une histoire bricolée autour d’un thème porteur mais sans élaborer de scénario sérieux, aucune profondeur, une trame éculée semblable à Full Monty, un acting qui colle au genre (donc médiocre), un rythme aux fraises et pas mal de longueurs on ne risque pas d’atteindre des sommets. Tout au plus les musiques peuvent amener un peu de nostalgie, mais là encore la tendance boite de nuit de campagne (ou de camping) n’est jamais très loin donc la qualité s’éloigne toujours davantage.
Alors certes ça divertit un peu, d’où l’étoile, mais le rire n’est pas de qualité, comme l’ensemble du film. On me dira que c’est populaire et que je suis has been, je répondrais que c’est plutôt beauf (la signature du couple Onteniente-Dubosc) mais que comme beaucoup le sont ils ne s’en rendent pas compte. Apprécier le disco ou le camping est une chose, l’aborder et le vivre comme on le voit dans ce genre de production en est une autre, et encore une fois on peut faire rire avec des textes de qualité, mais ce n’est pas ici qu’on verra ça.
Du coup rien de nouveau, que du déjà vu mais pas de l’attendu (en tout cas pas de ma part). Sachant que les Français adorent la période disco on était certain de rameuter quelques péquenauds qui apprécient moins les tentes. Pour mettre toutes les chances de son côté on ajoute un tas de stars (Béart, Depardieu, FX Demaison, Nanty, Le Bihan) et des guests pour faire le buzz (Francis Lalanne, Annie Cordy, Julien Courbet et Jérôme Le Banneur) car de là à les appeler acteurs faut pas charrier. Faut dire qu’Onteniente devient bankable dans les productions françaises donc ça permet de se montrer. N’est-ce pas là une preuve que la beaufitude est devenue la norme ? Cela expliquerait l’importance de certains et les discours d’autres…
Rien qu’avec ça on sent que c’est n’importe quoi, alors avec des dialogues moisis, une histoire bricolée autour d’un thème porteur mais sans élaborer de scénario sérieux, aucune profondeur, une trame éculée semblable à Full Monty, un acting qui colle au genre (donc médiocre), un rythme aux fraises et pas mal de longueurs on ne risque pas d’atteindre des sommets. Tout au plus les musiques peuvent amener un peu de nostalgie, mais là encore la tendance boite de nuit de campagne (ou de camping) n’est jamais très loin donc la qualité s’éloigne toujours davantage.
Alors certes ça divertit un peu, d’où l’étoile, mais le rire n’est pas de qualité, comme l’ensemble du film. On me dira que c’est populaire et que je suis has been, je répondrais que c’est plutôt beauf (la signature du couple Onteniente-Dubosc) mais que comme beaucoup le sont ils ne s’en rendent pas compte. Apprécier le disco ou le camping est une chose, l’aborder et le vivre comme on le voit dans ce genre de production en est une autre, et encore une fois on peut faire rire avec des textes de qualité, mais ce n’est pas ici qu’on verra ça.
🎬 RENGER 📼
Après le succès de Camping (2006) où l’on faisait la rencontre de Patrick Chirac, joyeux beauf dans un camping du sud de la France, Fabien Onteniente récidive avec une nouvelle comédie populaire, où cette fois-ci, on retrouve Didier Travolta dans le nord de la France, au chômage mais grand fan de disco, lui qui faisait partie du groupe les Bee Kings dans les années 80, tente de le reformer afin de gagner un voyage auquel il pourra emmener son fils.
Comme cela était le cas dans son précédent film, on n’échappe pas à la salve de clichés et personnages caricaturaux, entre les riches gentils et méchants et les pauvres un peu simplets mais très gentils, Onteniente ne nous déçoit pas de ce côté là, puisqu’il n’innove pas, ne cherche pas à évoluer dans sa façon de mettre en scène une comédie populaire.
En mode veste à paillettes et pantalons patte d’eph, on suit avec peine et ennui, les tribulations de la bande à Dubosc. Car même le casting fait de la peine, à commencer par Franck Dubosc, égal à lui même, ainsi que toute la ribambelle de têtes d’affiche ou simples figurants, tels que Emmanuelle Béart, Samuel Le Bihan, Annie Cordy, Isabelle Nanty, François-Xavier Demaison, Jérôme Le Banner, Danielle Gilbert, Julien Courbet ou encore Francis Lalanne. Seul Gérard Depardieu parvient à nous extirper un sourire par-ci, par-là.
Certes, Disco est une gentille comédie franchouillarde, mais cela ne va pas plus loin. Au final, seule la musique est bonne à prendre, entre Boney M, les Earth, Wind & Fire, les Bee Gees et j’en passe, vous risquez d’attraper la fièvre du samedi soir !
Comme cela était le cas dans son précédent film, on n’échappe pas à la salve de clichés et personnages caricaturaux, entre les riches gentils et méchants et les pauvres un peu simplets mais très gentils, Onteniente ne nous déçoit pas de ce côté là, puisqu’il n’innove pas, ne cherche pas à évoluer dans sa façon de mettre en scène une comédie populaire.
En mode veste à paillettes et pantalons patte d’eph, on suit avec peine et ennui, les tribulations de la bande à Dubosc. Car même le casting fait de la peine, à commencer par Franck Dubosc, égal à lui même, ainsi que toute la ribambelle de têtes d’affiche ou simples figurants, tels que Emmanuelle Béart, Samuel Le Bihan, Annie Cordy, Isabelle Nanty, François-Xavier Demaison, Jérôme Le Banner, Danielle Gilbert, Julien Courbet ou encore Francis Lalanne. Seul Gérard Depardieu parvient à nous extirper un sourire par-ci, par-là.
Certes, Disco est une gentille comédie franchouillarde, mais cela ne va pas plus loin. Au final, seule la musique est bonne à prendre, entre Boney M, les Earth, Wind & Fire, les Bee Gees et j’en passe, vous risquez d’attraper la fièvre du samedi soir !
J'ai arrété avant la fin tellement ça n'ètait pas drole. Dubosc fait du Dubosc et a la longue c'est gonflant,toujours le meme registre de looser. Emmanuelle Béart ne s'est pas trouvé un quelconque talent comme par enchantement pour ce film....On s'ennuie.
Le film en trois mots : Beauf, ridicule, pathétique.
NeoLain
Il y à rien à faire, Fabien Onteniente est un réalisateur qui propose ce qui ce fait de plus mauvais dans le cinéma français. Ce soir c'est soirée non pas disco mais plein le dos ! Pour ma part un groupe de troisième âge est le seul vinyle qui pourrait sauver ce film. Mais aussi le seul public autour de la piste qui puisse s'extasier (est-ce bien le mot ? Pas tout à fait, mais bon mon disque est rayé...), Petit coup de nettoyage, je reprends ! Que dire des acteurs sous des dialogues très pauvre. Le pire est d'y voir aussi des inspirations très pales, qui sont pêcher de Saturday Night Fever, bravo de massacré ça, de pas loin une honte, ou, "vous manquez pas de culot"... Je garde une mémoire pour Samuel Le Bihan que j'apprécie et me demande pourquoi il est là dedans ? bref, passons. A présent je chante remboursé !!! remboursé !!!
Pas un un chef-d'oeuvre, mais le film m'a bien diverti. Le cote ringard m'a bien fait rire. On regrette un peu que le niveau de danse des acteurs ne soit pas d'un niveau suffisant...
j'avais j'adore ce film et j'adore le voir et revoir en dvd et quel plaisir de voir aussi annie cordy dans le role de la mére de franck dubosc
Franchement je n'ai pas ris une seconde, avec cette comédie poussive et sans imagination. Je n'aime pas Franck Dubosc en tant qu'acteur et comique.
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