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Chris46
510 abonnés
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4,0
Publiée le 14 août 2016
Premier volet du dyptique " mesrine " . Le réalisateur jean François Richet a décider d'adapter la vie du célèbre gangster jaques mesrine sur grand écran en deux parties ( " Mesrine , l'instinct de mort " et " Mesrine , l'ennemi public numéro 1 " ) . Cette première partie intituler "l'instinct de mort " raconte le début du parcours criminel de Jacques mesrine du début des années 60 au début des années 70 ... Ce premier volet est très réussit . Jean François Richet signe un très bon film qui est un mélange de biopic , de thriller et de polar noir . La vie de ce criminelle est vraiment passionnante a suivre . Le scénario est très bien écrit et nous tient en haleine du début a la fin . Les scénaristes se sont énormément documenter pour coller au mieux a la réalité . Dans cette première partie le personnage de mesrine se cherche hésitant entre la criminalité qui lui apporterait la vie aisée dont il rêve avec la liberté de pouvoir faire ce qu'il veut sans contrainte et une vie normal avec un travail honnête et ses contraintes pour assurer une belle vie a sa femme et sa fille . C'est vraiment intéressant de voir les événements qui vont le pousser a choisir la voie du crime . Le casting est exceptionnel en commençant par Vincent cassel qui est tout simplement magistral et méconnaissable dans le rôle du célèbre gangster jaques mesrine ce personnage complexe . Un personnage qui devient attachant et qui peut paraître sympathique mais qui est également un homme très dangereux , immorale , égocentrique ,violent. , froid et sans pitié . Il donne tout son charisme au célèbre gangster et il nous offre une interprétation de dingue collant au mieux au personnage que ce soit dans ses gestes , sa façon de parler etc ... Ce qui fait qu'on y croit a fond . Les seconds rôles sont tous excellents également et très crédible dans leurs rôles que se soit gerard Depardieu excellent et méconnaissable dans le rôle d'un caïd , Cécile de France dans le rôle de la petite amie de mesrine ou encore gille lelouche qui joue un pote de jaques mesrine . La reconstitution des années 60 est excellente grâce a d'excellents costumes et décors et d' une très bonne mise en scène . L'ambiance du film est excellente . On est immerger a fond dans ce monde de gangsters sombre au cœur des années 60 . Le film a un ton très réaliste pour coller au mieux a la réalité et ce qui est bien c'est que rien n'a été censurer avec son lot de violence , d'injure et de sexe . Le film contient un très bon suspense . Les scènes d'action sont très bien mener et très réaliste . Sans oubliez quelques touches d'humour noir bienvenue .La bo est également très bonne et colle a merveille a l'ambiance du film. Une très bonne première partie . Après ce film on n'a qu'une envie c'est de dévorer au plus vite la seconde partie nommer " Mesrine , l'ennemi public numéro 1 " pour voir la suite du parcour criminelle de jaques mesrines devenu l'ennemi public numéro 1 dans les années 70 .
Une femme sort de un immeuble rue Belliard ,regardant avec attention les environs ,grimée ,à l 'affût du moindre mouvement suspect ,elle s'engage de manière suspicieuse vers l 'intersection de la rue du Poteau et celle des Poissonniers ..Une camionnette bleue est garée à quelques mètres ,mais reste invisible à ses yeux ...Elle est suivie par un homme vêtu d'une veste en cuir ,grimé lui aussi portant perruque et barbe postiche ..Il avance avec extrême vigilance quelques pas derrière la femme et disparaît à l 'intersection ..Une porte de garage s'ouvre ,et laisse apercevoir les phares d'une BMW 528i gris brun métallisé ,avec à son bord le même homme ..La voiture s'engage et s'immobilise devant le 35-37 de la rue Belliard ..La caméra se fragmente ,le couple sort du véhicule ,elle ,récupère des valises au domicile ,lui, attend devant un triporteur ..L'image découpée permet de visualiser tel un prisme les différentes scènes .Le couple remonte dans le véhicule et se dirige vers le haut de la rue afin de s'engager rue du Ruisseau pour atteindre le Boulevard Ney et enfin Porte de Clignancourt ....L'image ne se découpe plus ..Jacques Mesrine et Sylvia JeanJacquot attendent derrière une camionnette le passage du feu rouge au feu vert ....Jean-François Richet démarre son récit avec beaucoup d 'intelligence ..Le cinéaste dresse le portrait du truand à travers la violence, pas seulement celle que il inflige à ses victimes, mais aussi celle qu’on peut lui infliger (en cellule d’isolement pour exemple) L’épisode Algérien fait office de scène fondatrice pour le personnage. De là, naît un désir d’émancipation et d’opposition face à l’autorité.. Revenant d'Algérie en 1959, Jacques Mesrine (Vincent Cassel) choisit de suivre son ami Paul (Gilles Lellouche) dans ses activités de cambriolage plutôt que de travailler honnêtement comme ses parents le souhaitaient..Après avoir exécuté quelques coups pour l'inquiétant Guido (Gérard Depardieu), le jeune homme se retrouve une première fois en prison. Mais rien ne saura jamais assagir ce chien fou, avide de liberté et de popularité, capable des pires violences pour faire respecter sa notion toute personnelle de l'honneur...L'instinct de Mort est une première partie ,complète ,réussie, filmée à l 'instar des oeuvres de Henri Verneuil .Très soignée ,très cadrée..Le Canada,,La Route 66 ,l 'Espagne ..Tout est représenté avec beaucoup de chaleur et esthétisme captivant ..Le parcours du truand de un pays à l 'autre avec pour compagnie Jeanne Schneider après sa séparation de Sofia (mère de ses enfants ) est l 'apogée de l 'oeuvre ..Le couple "Bonnie and Clyde "fonctionne parfaitement ..Cécile de France parvient à se créer un espace devant la machine "Cassel "..Celui-ci ,habite totalement son personnage ,sa prestation phénoménale reste l 'atout du métrage et atomise les interprétations de ses partenaires ...Jean-François Richet offre un très beau souffle à ses images et apporte une certaine nostalgie du septième art ..Le film ne dénonce pas ,et traite simplement son sujet comme celui-ci doit être traité sans partie prenante et c 'est en cela que réside sa grande réussite ...
Un film noir très évocateur de la vie du célèbre truand dans les années 60. La reconstitution est réussie, le scénario très documenté, le ton sombre et cruel et les acteurs sont relativement convaincants, Vincent Cassel, justement récompensé aux César, jubile allègrement en tête.
Mesrine : L'Instinct de mort est vraiment un très bon film qui ma bien surprise sur certains points . Premier surprise :Vincent Cassel qui joue mais admirablement bien , il a le rôle qui les colle a la peau , vraiment excellente interprétation : Bravo . Les autres acteurs sont très convaincant ( mention spécial a Geard Depardieu que j'ai adoré dans son rôle ) . Le scénario est captivant du début jusqu'à la fin , un scénario très bien écrit et une mise en scène efficace . Par contre petit pointe noir : je trouve que certains moment est pas assez approfondie ( long ) . Ce que j'ai adoré dans le film , c'est qu'il y a pas de censure ( violence , gros mots , sex , moment dans la prison ) : je trouve que sa rend bien le film noir . Rythmé , sombre , scénario captivant , excellent acteurs :voila ce qui vous attend dans ce film a voir absolument .
Le sujet était casse-gueule mais Richet réussit le pari. Vincent Cassel incarne Mesrine avec force et conviction, il est évident qu'il trouve en ce personnage un des plus grands rôles de sa carrière. Les décors sont superbes, la mise en scène superbe et les tous les seconds rôles sont excellents : Cécile de France méconnaissable, Depardieu en grande forme et Gilles Lellouche très bon lui aussi. Les scènes d'action sont virtuosement filmées. Il s'agit là sans aucun doute d'un des meilleurs films français de ces dernières années et on attend la suite avec impatience.
Super film. Captivant du début à la fin !! Hâte de voir la suite. Je le conseille fortement. Juste peut être à éviter les scènes de tortures, inutiles à montrer au cinéma. Film vraiment super !!!
Premier opus "L'instinc de mort"... D'après le livre écrit par Mesrine lui-même en prison. Superbes premières minutes, Vincent Cassel impressionnant de charisme, un film partagé entre intimisme et première violence. Un Gérard Depardieu qui me fait dire qu'il ne sait plus que faire des apparitons en guest-star, plus ou moins importantes en patriarche ou autres nababs (comme dans "Babylon A.D.)... Navrant... Cependant on ne peut que remarquer le travail et le sérieux qui a entouré le film. Le vrai soucis du film sont des partis pris litigieux notamment le fait de commencer le film par une scène particulièrement marquante de la guerre d'Algérie est dommageable car utilisée comme une excuse pour Mesrine... N'oublions pas qu'il n'était pas un enfant de coeur et que d'autres vétérans ne sont pas devenus pour autant des dangereux criminels. 17/20
Ce film sur la vie de Jacques Mesrine est génial, Vincent Cassel joue parfaitement bien son rôle de bandit, c'est le plus beau rôle de Vincent Cassel. Un Chef d'Oeuvre ce film, 5/5.
Vincent Cassel devient Jacques Mesrine le temps d'un film (enfin de deux), et le résultat est à la hauteur des espérances. Richet livre un pur film de gangster s'appuyant sur un scénario solide, une réalisation efficace et un casting à couper le souffle! Du grand cinéma français.
Une totale réussite de bout en bout !! La réalisation de JF Richet est juste parfaite, avec des plans fabuleux, de supers décors et un rythme qui nous scotche durant 2h, le tout aidé par une super BO qui rythme le film !! Le casting est incroyable ( Depardieu, Lellouches, C. De France , etc ...) !! Mais la palme revient bien évidemment à Vincent Cassel !! Il est incroyable, une justesse, un jeu parfait, une prestance inouïe !! Il crève l'écran et s'imprègne parfaitement du personnage !! A coup sûr le rôle de sa vie ......
S’il y a une chose à retenir de ce 1er épisode (qui retrace la vie de Mesrine de son engagement en Algérie à son escapade canadienne), c’est qu’il évite parfaitement le piège de l’apologie primaire du gangster qui n’est à aucun moment présenté comme un héros. Montré sous sa facette flamboyante (son charme, son romantisme, son sens de l’amitié…) mais aussi sous son côté obscur (sa violence, son racisme latent…), l’ancien ennemi public n° 1 est avait tout décrit comme un homme complexe en quête de reconnaissance, quelque soit les moyens (voire la scène de l’extradition au Québec). Une complexité parfaitement rendue par l’énorme Vincent Cassel qui nous livre une prestation époustouflante (et qui devrait rafler le César sans problème). L’acteur bouffe tellement l’écran que les personnages secondaires ont un peu de mal à exister que ce soit Gérard Depardieu en mentor, Gilles Lellouche en meilleur ami, Cécile de France et Elena Anaya en femmes du gangster ou encore Roy Dupuis en complice. En outre, j’attendais une mise en scène bien plus audacieuse de la part de Jean-François Richet qui s’est pourtant fait plaisir par moments (les fusillades, l’évasion de la prison canadienne…) mais qui, dans l’ensemble, ne fait pas preuve d’une originalité folle (il manque un montage plus péchu, une BO plus présente et surtout un cliffangher final pour allécher le spectateur). Reste que l’interprétation et la force du récit emporte le morceau et font de cet "Instinct de mort" un excellent film que la 2nde partie devrait cependant surpasser.
Un énième biopic certes mais pas sur n'importe qui. Mesrine, célèbre gangster qui tint en haleine la France des années 70, se considérant comme un Robin des bois des temps modernes, un gangster à l'ancienne avec des valeurs et un code d'honneur, ce qui a disparu aujourd'hui. Pour donner corps à ce personnage, le choix de Vincent Cassel est judicieux. Il en a le charisme mais aussi la fougue, la nervosité. Derrière la caméra, le toujours très efficace Jean-François Richet remis de son escapade américaine avec son Assaut sur le central 13. Autrement dit, on sait où l'on mettait les pieds ! Tout commence par la jeunesse de Mesrine et sa participation à la guerre d'Algérie. Assez ironiquement d'ailleurs dans le plan d'après, on a une intervention de De Gaulle qui vante l'occupation française dans ce pays. Puis de mauvaises fréquentations en mauvaises fréquentations, il accumulera les braquages, les prises d'otages et les séjours en prison. Pas une minute pour souffler, le long-métrage est passionnant et moi qui n'ait pas vécu à cette période, celle des années 60-70, j'ai appris évidemment pas mal de choses sur ce personnage : homme à femmes (se taper Florence Thomassin, Ludivine Sagnier, Cécile de France c'est pas mal), violent, préférant ses amis à ses fiancées, et de plus en plus conscient de ce qu'il devient à la fois politiquement et dans l'opinion publique et conscient de la manière dont les choses peuvent se terminer. Largement de quoi devenir l'ennemi public numéro 1, c'est justement le titre de la seconde partie du diptyque Mesrine.
Premier volet du biopic sur Jacques Mesrine, Mesrine L'Instinct De Mort est une grande réussite. L'histoire est prenante dès les premières minutes et va monter crescendo au fil du temps. On va suivre une bonne partie de la vie de Mesrine ou chaque moment prend le temps de se mettre en place. On ne s'ennuie pas une seconde et tout s'enchaine naturellement malgré les années qui passent. Il y a beaucoup de moments de tentions, des fusillades réussi et surtout la vie de cette homme est quand même fascinante. Justement au niveau du casting on a le droit à un Vincent Cassel qui est véritablement Jacques Mesrine. Il vit totalement son personnage qui change souvent physiquement. Et que dire de Gérard Depardieu en Guido au look de mafieux ainsi que Gilles Lellouche, Roy Dupuis, Cécile de France et Elena Anaya qui tiennent tous très bien leur rôles. En plus la réalisation de Jean-François Richet est excellente tout comme les environnements qui nous plonge dans les années 60. Il en est de même pour la b.o. qui est géniale et qui donne une ambiance de polar et qui fait monter la pression lors des scènes clé. Cette première partie se fini à un moment important qui donne envie de voir le deuxième volume en espérant ne pas être déçu.
Les 2 films Mesrine narrent une grande partie de la vie du célèbre gangster des années 60/70 alias Jacques Mesrine. Le 1er film montre les débuts du banditisme de cet homme à la sortie de l'armée après la guerre d'Algérie. La tension monte crescendo et certains passages de sa vie sont assez impressionnants. Le film tient en haleine grâce avant tout à la prestation de Vincent Cassel qui tient ici probablement le meilleur rôle de sa carrière. Du début à la fin, le film montrera la montée en puissance de ce criminel dont l'honneur représente à ses yeux une grande importance. Bref : un film qui nous fait ressortir un instinct... de vie.
Déjà adapté pour la télévision, Mesrine a continué de fasciner et c’est d’ailleurs pour cela qu’un long-métrage pour le cinéma était d’actualité depuis déjà quelques années. Initialement, cela devait être Barbet Schroeder qui devait en prendre les commandes avec Benoît Magimel dans le rôle titre (!!!), finalement, après quelques désaccords, le projet étant toujours en cours, Thomas Langmann (le producteur) confie son film à Jean-Francois Richet (Assaut sur le central 13 - 2005) et Vincent Cassel dans le rôle du criminel hors norme. Si bien qu’au final, le réalisateur nous livre non pas un film, mais deux, sous la forme d’un diptyque sur Jacques Mesrine (un film en deux parties) : L'Instinct de mort & L'Ennemi public n°1. La première constatation que l’on peut faire, c’est que le réalisateur s’est grandement inspiré de ce qui avait déjà été fait de l’autre côté de l’Atlantique, à savoir, une mise en scène efficace, sans temps mort, avec une musique de fond en continu, ajoutez à cela, l’excellente idée d’avoir incorporé l’utilisation assez persistante du split screen (!!!) et vous obtenez un polar trépidant, où le changement de personnalité et la violence ont la première place au sein du film (on suit le parcourt de Mesrine, de ses débuts jusqu’à son « assassinat »). Un premier opus qui se veut plus bourrin mais très réfléchi, dans le sens où l’on entre dans la tête du criminel, face à un second opus, qui clôt ce biopic sous la forme d’une romance avec une légère touche d’humour qui n’est pas des plus désagréable ! Enfin, on pourra aussi saluer l’excellent casting dont Vincent Cassel, qui incarne Mesrine est tout bonnement parfait dans ce rôle (intonation de voix, changement physique, prise de poids, …), avec à ses côtés : Gérard Depardieu, Gilles Lellouche, Cécile de France, Roy Dupuis, Ludivine Sagnier, Gérard Lanvin, Samuel Le Bihan, Olivier Gourmet et sans oublier , Mathieu Amalric avec qui il forme un épatant duo avec Cassel !).