De quoi ça parle ?
Années 1980, sur la côte californienne. Une femme au foyer dépressive retrouve l'énergie physique comme mentale grâce à la pratique en vogue de l'aérobic !
Physical, d’Annie Weisman avec Rose Byrne, Rory Scovel, Paul Sparks, Della Saba... Disponible sur Apple TV+ depuis le 18 juin.
Ce qu’en pense la presse
Selon Le Figaro
Pas une ligne de dialogue ni un mot de trop. Pas une séquence qui ne serve l’histoire. Pas un personnage inutile. Pas un comédien qui dépareille le reste du casting. Tout est réfléchi, troussé, pointu, aiguisé par une mise en scène qui emprunte au vintage sans oublier d’être contemporaine. 4,5/5
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Selon Le Monde
La voix off qui donne à entendre les soliloques haineux de Sheila est une des meilleures trouvailles de la série. Il y en a beaucoup d’autres, comme celle qui consiste à mettre en scène les crises de boulimie de la jeune femme comme un rituel tragi-comique, mélange de nudité new age et de fast-food. 4,5/5
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Selon The Wall Street Journal
Les téléspectateurs seront absorbés par l'histoire qui, après trois ou quatre épisodes, peut interpeller le téléspectateur comme un sac de hamburgers gratuits et une chambre de motel vide le feraient pour Sheila. 4/5
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Selon The Washington Post
La décision la plus intelligente de la série, outre le casting de Rose Byrne, est peut-être sa tendance à évoquer plutôt qu'à nourrir à la cuillère. 4/5
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Selon IndieWire
Au final, Physical est une véritable vitrine pour Byrne qui vous fera bondir dans tous les sens même si les histoires semblent un peu déséquilibrées. 4/5
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Selon Les Inrocks
Dans les années 1980, une Californienne découvre l’aérobic – tout en plongeant avec les spectateur.trice.s dans ses affres intérieures. Un pitch séduisant, mais un résultat mitigé. 3/5
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Selon Première
Indéniablement, Rose Byrne brille dans Physical, mais dans le genre, la série n'arrive pas encore au niveau de On Becoming a God in Central Florida (en 2019). 3/5
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Selon New York Times
Ce n'est pas un problème que Sheila soit une femme renfermée et peu aimable. Mais c'est un problème qu'à travers 10 épisodes, nous ne parvenions pas à comprendre pourquoi. 2/5
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Selon Télérama
L’emballage rétro, noyé sous une BO alignant les tubes d’époque, renforce l’impression de déjà-vu de la série. Annie Weisman ne semble pas avoir beaucoup à livrer en dehors du parcours de son héroïne, dont la petite voix intérieure engendre, au fil du temps, une dynamique comique bancale. 2/5
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Selon Variety
Les peines et les compulsions de Sheila sont réelles et parleront à beaucoup, mais elles ne disent rien de particulier à son sujet. 2/5
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