Les histoires de R.L. Stine continuent d'inspirer et de terroriser les foules. Après le succès surprise du film Chair de poule et sa suite, sortie en 2018, la plateforme Netflix propose Fear Street, une trilogie adaptée de trois romans de l'écrivain.
Trois films, tous réalisés par la cinéaste Leigh Janiak, dont les actions se déroulent au cours de trois périodes différentes avec pour décor une seule et même ville, Shadyside. Que les fans d'horreur se rassurent, le ton de ces Fear Street est loin de l'ambiance bon enfant des Chair de poule puisque les films ont reçu une classification R, soit interdits aux moins de 17 ans non accompagnés d'un adulte.
Fear Street Part 1: 1994, attendu pour le 2 juillet
De quoi ça parle ? À la suite d'une tragédie brutale à Shadyside, dans l'Ohio, un groupe d'adolescents rencontre accidentellement le mal ancien responsable d'une série de meurtres brutaux qui sévissent dans leur ville depuis plus de 300 ans.
La réalisatrice précise que le premier volet de cette trilogie s'inspirera des slashers iconiques des années 90, à commencer par Scream de Wes Craven. Au casting, les spectateurs retrouveront Maya Hawke, Olivia Scott Welch, Ashley Zukerman, Darrell Britt-Gibson, Jordana Spiro, ou encore Jordyn Dinatale.
Fear Street Part 2 : 1978, attendu pour le 9 juillet
De quoi ça parle ? Shadyside, 1978. L'école est finie et les activités du Camp Nightwing sont sur le point de commencer. Mais lorsqu'un autre " Shadysider " est possédé par l'envie de tuer, l'amusement se transforme en une lutte effroyable pour la survie...
De même que pour le film précédent, Leigh Janiak explique vouloir puiser dans les slashers des années 70 et 80, comme Vendredi 13, Les Griffes de la nuit ou encore Halloween, sorti en... 1978. Au casting, les spectateurs retrouveront, entre autres, Sadie Sink, Olivia Scott Welch, Chiara Aurelia, et Jordyn Dinatale.
Fear Street Part 3 : 1666, attendu pour le 16 juillet
De quoi ça parle ? Une ville coloniale est prise d'une chasse aux sorcières hystérique qui a des conséquences mortelles pour les siècles à venir, et c'est aux adolescents de 1994 d'essayer de mettre fin à la malédiction de leur ville, avant qu'il ne soit trop tard.
Dans cette partie historique, la réalisatrice précise avoir trouvé son inspiration dans le film de Terrence Malick, Le Nouveau Monde.