Le traditionnel caméo de Stan Lee, un petit rôle pour Bruce Campbell (acteur fétiche de Sam Raimi), un costume du super-héros Manta dessiné par Peter Parker ou encore une allusion à un certain Eddie Brock, alias Venom...
Comme tous les longs métrages adaptés des comics Marvel, Spider-Man (sorti en 2002 et désormais disponible sur Amazon Prime Video), regorge de petits détails cachés en tous genres. Mais si certains sont faciles à repérer, d'autres pourraient exiger l'utilisation d'une loupe ou d'une bonne paire de lunettes.
Ainsi - même s'il est difficile de s'en rendre compte sur la plupart des plans, et comme pour annoncer le destin exceptionnel de Peter Parker avant même qu'il ne soit mordu par une bestiole mutante - les motifs qui constituent le papier peint de sa chambre sont en réalité de petites toiles d'araignées.
Comme la productrice Laura Ziskin le révèle dans le commentaire audio du film, ces figures ont été réalisées par le chef décorateur Neil Spisak, qui a donc travaillé sur la trilogie de Sam Raimi mais aussi sur des longs métrages tels que Hancock, Volte/Face, le mythique Heat de Michael Mann, et plus récemment sur le survival Those Who Wish Me Dead avec Angelina Jolie, qui sortira prochainement.
Pratiquement invisible à l'oeil nu - à moins d'avoir développé le fameux sens de l'araignée - ce petit détail secrètement ajouté par Spisak apporte une dimension supplémentaire au personnage de Peter Parker, et prouve une nouvelle fois que rien n'a été laissé au hasard dans la première aventure de Spider-Man.
(Re)découvrez tous les autres détails cachés dans "Spider-Man"...