Love and Monsters (niveau de danger : 3/5)
Un jeune homme tente de survivre dans un monde post-apocalyptique envahi par des monstres. Un expert lui enseigne comment les combattre…
Son nom, c’est Joel (Dylan O'Brien). Joel préfère rester enfermé dans son bunker à dessiner ou à cuisiner du minestrone, plutôt que d’affronter les créatures qui menacent son camp. Il faut dire que Joel est un looser qui reste figé de peur face à un monstre.
Mais par amour, il décide de quitter la tiédeur du bunker où il vit avec d’autres personnes depuis 7 ans pour rejoindre celle qu’il aime à plusieurs kilomètres de là. Depuis les retombées sur Terre d’un astéroïde explosé par un missile nucléaire, les animaux se sont transformés en kaijus amateurs de chair humaine.
Notre héros va ainsi se faire attaquer par des crapeaux gloutons, des sangsues géantes, et des crabes énervés. Mais un expert en survie joué par Michael Rooker va l’aider à se défendre dans ce milieu hostile. Muni d’un carnet et de ses crayons, Joel va écrire durant son périple le guide de survie ultime et devenir un mentor pour les survivants.
The Silence (niveau de danger : 4/5)
De terrifiantes créatures ont envahi la Terre, chassant leurs proies humaines au bruit. Pour leur échapper, les Andrews se réfugient dans un lieu isolé, mais découvrent un culte sinistre qui cherche à exploiter les sens sur aiguisés de leur fille Ally, sourde depuis ses 13 ans.
Vous avez aimé Sans un bruit ? Alors vous apprécierez peut-être le film Netflix The Silence, qui reprend les mêmes mécaniques. Pour survivre, il faut rester silencieux… Interdiction donc de tousser, d’éternuer et de marcher sur un sol gravillonneux sous peine de se faire attaquer par des créatures volantes (sorte de chauve-souris) qui ne rêvent que d’une chose : pomper votre sang.
Mais pour Stanley Tucci, Kiernan Shipka et les autres, leur survie sera plus compliquée puisqu’ils devront aussi affronter des personnes bien réelles.
Je suis une légende (niveau de danger : 3,5/5)
Robert Neville était un savant de haut niveau et de réputation mondiale, mais il en aurait fallu plus pour stopper les ravages de cet incurable et terrifiant virus d'origine humaine. Mystérieusement immunisé contre le mal, Neville est aujourd'hui le dernier homme à hanter les ruines de New York.
On ne parle pas de monstres à proprement parler dans Je suis une légende mais plutôt de mutants, ce qui n’enlève rien à la peur qu’ils provoquent chez nous et chez le personnage joué par Will Smith.
Mais niveau survie, Robert Neville place la barre assez haute en se débrouillant tout seul pendant plusieurs années - même s’il a pu compter sur son chien et quelques mannequins pour le soutenir moralement : il a barricadé sa maison, fait une réserve de denrées, transformer son sous-sol en labo, il sait fabriquer des pièges et a fait de New-York son terrain de jeu. Un modèle à suivre.
Bird Box (niveau de danger : 5/5)
Alors qu'une mystérieuse force décime la population mondiale, une seule chose est sûre : ceux qui ont gardé les yeux ouverts ont perdu la vie. Malgré la situation, Malorie trouve l'amour, l'espoir et un nouveau départ avant de tout voir s'envoler. Désormais, elle doit prendre la fuite avec ses deux enfants, suivre une rivière périlleuse jusqu'au seul endroit où ils peuvent encore se réfugier. Mais pour survivre, ils devront entreprendre ce voyage difficile les yeux bandés.
Survivre en pleine apocalypse en gardant les yeux ouverts est déjà bien assez difficile, alors imaginez devoir porter un bandeau sur les yeux ! C’est le principe de Bird Box, thriller d’épauvante-horreur sorti en 2018 sur Netflix. Ce film qui a rencontré un énorme succès à sa sortie a une particularité : on ne voit jamais les monstres qui vous poussent au suicide en un regard.
Dans le livre de Josh Malerman, les créatures sont dépeintes comme une sorte de présences mystérieuses qui se manifestent comme des petites bourrasques de vent et qui ont l'habileté de reproduire la voix humaine afin de rentrer dans la tête des victime.
Si l’on en croit les acteurs et l’équipe de prod, ces monstres ressemblent dans le film à des bébés démoniaques (dont voici les images). Effrayant… et drôle à la fois.
Godzilla la planète des monstres (niveau de danger : 3/5)
Confronté à un grave dilemme, l'équipage de l'Aratrum décide de retourner sur Terre où Haruo et ses coéquipiers font une surprenante découverte.
Quand on dit film de monstres, on pense directement au maître des Kaijus, Godzilla. La planète des monstres, produit par Netflix, se déroule plusieurs années après que le lézard géant et d’autres créatures telles qu’Hedorah ont pris le pouvoir de la Terre.
Les humains ont dû s’exiler dans l’espace pour survivre. Mais certains d’entre eux décident d’y revenir, bien décidés à combattre la bête qui a survécu à 150 attaques nucléaires.
