DE QUOI ÇA PARLE ?
Les Vampires existent. Ici, parmi nous. Aujourd’hui dans Paris, la famille de Martha Radescu vit clandestinement. Mais lorsque Doïna, 16 ans, se révèle vampire d’un nouveau genre, leur équilibre fragile explose. Mi-humaine mi-vampire, Doïna apprend à vivre avec sa double nature.
Vampires, une série créée par Benjamin Dupas, Isaure Pisani-Ferry et Anne Cissé
Avec Oulaya Amamra, Suzanne Clément, Aliocha Schneider, Kate Moran...
Disponible en intégralité (6 épisodes) sur Netflix.
À QUOI ÇA RESSEMBLE ?
QU'EN PENSE LA PRESSE ?
Le Figaro : "Le feuilleton supervisé par Benjamin Dupas est souvent une expérience sensorielle où les couleurs aveuglantes s’impriment sur la rétine. Le déchaînement d’énergie, d’abandon, pallie quelques rebondissements prévisibles. Cette série, dont la moitié des six épisodes tombent sous la barre des 40 minutes, montre en tout cas l’envie d’une génération de croquer la vie à pleines dents."
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Le Monde : "La violence du conflit qui oppose les deux tribus, l’enthousiasme avec lequel les auteurs font pulser le sang contribuent à tenir le taux d’adrénaline à un niveau respectable. Mais on peut frémir sans y croire. Cette croyance, c’est le travail des acteurs, et il faut convenir que le casting de Vampires est étonnant, on dirait qu’il a été pour l’essentiel réalisé sur la Croisette, lors des derniers festivals de Cannes."
4/5
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Le Parisien : "Les réalisateurs et scénaristes font au mieux, jouant avec les codes du vampirisme, proposant une action pleine de rebondissements et en prise avec l'actualité (des sans-papiers aux manipulations génétiques). De quoi faire mordre à l'appât un public allant des ados aux adultes friands de programmes sans temps mort."
4/5
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Première : "Vampires se distingue aussi en donnant le pouvoir aux femmes. (...) Une variante rafraîchissante des classiques histoires de buveurs de sang, sans les canines qui s'allongent. Mais cette approche troublante patine lorsqu'elle s'aventure dans l'univers "teen". La partie lycéenne de Vampires n'évite pas certains clichés et s'enlise dans quelques séquences bavardes, aux dialogues pénibles."
3/5
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Vanity Fair : "Par son format et son intrigue, Vampires a tout pour plaire à un public friand de ce genre de contenu. (...) Mais la série se retrouve coincée dans un entre-deux, entre une vraie volonté de proposer quelque chose de frais et nouveau, de quasi-transgressif, et un héritage trop lourd à porter ; celui des centaines de séries formatées qui ont fait la gloire – et le déclin – du genre."
3/5
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Brain Damaged : "Les 6 épisodes de Vampires évitent certains clichés mais ils contiennent tout de même des éléments sur les vampires auxquels tout le monde s’attend, surtout avec une adolescente au cœur de l’histoire."
2.5/5
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Ouest France : "Dans le cas de Vampires, la multitude de personnages et de thèmes abordés rend la compréhension de l’ensemble difficile. Dommage, pour une série si rock’n’roll et à l’esthétique si soignée."
2.5/5
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Télérama : "En rejetant en partie les codes du genre, Vampires s'enferme aussi dans un récit qui manque légèrement d'ampleur et repose sur des personnages inégalement inspirants et des interprètes inégalement inspirés."
2.5/5
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Les Inrockuptibles : "Vampires" brille plus grâce à son casting exceptionnel que par les clichés et les raccourcis propres à certaines tentatives françaises venues de Netflix, donnant à certains moments l’impression de n’avoir pas assez maturé. Elle n’arrive pas non plus à tirer vraiment parti visuellement de son univers horrifique et too much, à base de sang et de paysages urbains pop."
2.5/5
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De Buffy à Vampires sur Netflix : pourquoi ces créatures nous rendent accro ? [PODCAST]