Attention, les paragraphes qui suivent contiennent des spoilers sur l'épisode de Demain nous appartient diffusé lundi soir sur TF1 ! Si vous ne voulez rien savoir, passez votre chemin !!
Lundi 29 juillet dans Demain nous appartient...
Victoire et Sandrine font face différemment au coma de leur mère
Grâce à l'intervention des pompiers et aux premiers soins prodigués par Victoire, Anne-Marie a pu être sauvée mais est toujours plongée dans le coma. Victoire explique à Sandrine que leur mère a fait un arrêt cardiaque suite à une réaction allergique. Elle s'en veut de ne pas être arrivée plus tôt et redoute qu'Anne-Marie ne sorte jamais de son coma ou garde de graves séquelles. Une issue que refuse d'envisager Sandrine qui est persuadée que leur mère a encore des choses à leur dire. En effet, d'après elle, elle en sait forcément plus qu'elle ne le dit sur la mort de Guillaume ou sur le meurtre de leur père. Des accusations qui agacent une fois de plus Victoire qui ne comprend pas l'acharnement de Sandrine envers leur mère.
En parallèle, Georges apprend à Aurore que les pompiers n'ont pas été appelés par Victoire mais par un homme qui aurait passé l'appel depuis la maison des Lazzari et a étouffé sa voix pour qu'on ne le reconnaisse pas. Les deux flics demandent donc à Victoire la permission d'inspecter la maison de ses parents et passent à deux doigts de tomber sur Francis Leconte, qui était en train d'effacer des empreintes et des preuves de sa présence. Les ayant entendu arriver, Leconte s'éclipse de la maison, et Georges et Aurore finissent par trouver une enveloppe remplie de grosses coupures. Ils en déduisent qu'un maître chanteur soutirait de l'argent aux Lazzari à cause de ce qu'ils savaient au sujet de la mort de Guillaume Delcourt. Victoire, quant à elle, est surprise par William en train de fouiller dans les placards de l'hôpital à la recherche d'antidépresseurs. Elle jure qu'il lui en reste mais qu'elle a simplement oublié la boîte chez elle, et William accepte de lui en prescrire de nouveaux à une seule condition : qu'elle aille voir une psy afin de tenter de découvrir ce qui se cache derrière ses acouphènes et la voix qu'elle entend. Bien qu'elle soit convaincue de ne pas avoir vécu de traumatisme durant l'enfance - après tout, Sandrine aurait dû en être témoin - Victoire accepte, puis se jette sur les antidépresseurs que Daunier finit par lui donner.
À l'hôpital, Sandrine confie à Morgane qu'elle hait sa mère. Morgane essaye de lui faire comprendre qu'il faudrait qu'elle trouve un entre-deux entre l'amour et la haine, mais Sandrine ne s'en sent pas capable et lui répond que sa mère ne mérite pas son respect. Mais Morgane lui assure que si Anne-Marie ne survit pas, elle s'en voudra de ne pas avoir tenté d'apaiser les choses. Morgane reçoit ensuite un coup de fil et quitte momentanément la chambre. L'occasion pour Sandrine de s'approcher de sa mère inconsciente et de lui dire qu'elle sait très bien pourquoi elle la déteste depuis toutes ces années. Sandrine jure qu'elle aurait pu mourir à cause de ce qu'Anne-Marie lui a fait et qu'elle l'a fait quand même, en connaissance de cause...
Jules trouve un nouveau moyen de faire payer Martin
Aurore surprend Jules en train de taguer "Constant assassin" sur l'une des voitures de police garées devant le commissariat. Martin explique à sa collègue qu'il connaît l'adolescent et prend les choses en main. Il arrête Jules, l'emmène dans son bureau, et essaye de lui faire comprendre qu'avec ce genre de bêtises il pourrait avoir des problèmes et hériter d'un casier, ce qui n'est pas rien. Martin lui demande ensuite de penser un peu à sa mère et de se demander comment elle réagirait s'il finissait en prison, et Jules s'énerve en l'entendant parler d'elle. Constant accepte ensuite de passer l'éponge pour cette fois mais Jules promet que ce n'est pas ce genre de gestes qui vont le faire changer d'avis sur lui et sur son histoire avec Virginie. Il jure à Constant qu'il n'arrivera jamais à remplacer son père et lui lance qu'il faut vraiment être un moins que rien pour sortir avec la femme de l'homme qu'on a tué.
Virginie, qui a surpris la fin de leur conversation à son arrivée au commissariat, essaye ensuite encore une fois de raisonner son fils, mais en vain. Elle a beau lui expliquer que Martin ne voulait pas tuer son père, qu'il regrette, et que Mickaël aurait pu se faire abattre par au moins 20 personnes au cours de sa carrière de truand, Jules ne retient qu'une chose : au final c'est bien Martin qui est responsable de sa mort et Virginie a quand même décidé de vivre une histoire avec lui.
Bart pousse Anna à remettre en question ses choix
Mathieu apprend à Anna qu'il a eu des nouvelles de son passeur et qu'il va pouvoir partir à Tanger dès ce soir. Une nouvelle qui prend Anna de court, d'autant plus que la journaliste réalise qu'elle n'est pas sûre d'avoir envie d'une vie où elle viendrait le voir de temps en temps et devrait à chaque fois lui faire ses adieux. Surtout que des voyages fréquents à Tanger éveilleraient les soupçons de Martin et de Flore. Sur un coup de tête, Anna décide donc de partir vivre à Tanger avec Mathieu. Après tout, Bart a 19 ans et n'a plus besoin d'elle. Rien ne la retient vraiment à Sète finalement. Mais plus tard, alors qu'elle prépare ses affaires, Bart vient prendre de ses nouvelles après avoir appris sa rupture avec Karim. Anna lui confie que ça n'allait plus entre eux depuis déjà un moment et prétend qu'elle va partir quelque temps pour se changer les idées. Bart lui demande de ne pas partir trop longtemps, car 17 ans c'est déjà bien assez long, et lui propose de l'accompagner à la paillote pour boire un verre.
Une fois à la plage, Bart avoue qu'il angoisse un peu à cause de son avenir professionnel et qu'il ne sait pas s'il a choisi la bonne filière. Anna lui explique alors que rien n'est figé, qu'il peut encore changer d'avis, et que l'important dans la vie c'est de ne pas rester enfermé dans une voie qui ne nous convient pas. Bart la remercie et ajoute qu'il a besoin d'elle dans sa vie. Car lorsqu'il va mal ou qu'il a besoin de conseils, Anna elle est la première personne à qui il a envie de parler. Touchée par ces mots, Anna semble réaliser qu'elle ne peut finalement pas quitter Sète et renonce à se rendre au port pour rejoindre Mathieu. Après l'avoir attendu, Mathieu finit donc par monter à bord du bateau en direction d'une nouvelle vie. Tout seul. Anna, quant à elle, rend visite à Marianne à l'hôpital pour lui raconter qu'elle a envisagé de partir avec Mathieu mais qu'elle n'a pas pu. Stupéfaite d'apprendre que le fugitif était toujours à Sète, Marianne peine à montrer de la compassion pour sa fille et décide de lui prescrire des anxiolytiques. Une réaction tout sauf maternelle qui attriste Anna, qui espérait parler à sa mère, et non au médecin, dans l'espoir d'être réconfortée.