Annabelle 2 : la Création du Mal de David F. Sandberg
Avec Anthony LaPaglia, Miranda Otto, Stephanie Sigman...
Le saviez-vous ? Annabelle 2 : La Création du mal est un prequel d'Annabelle, qui est lui-même un spin-off de Conjuring : Les Dossiers Warren (2013). Le producteur Peter Safran et James Wan ont choisi de faire une "origin story" à Annabelle et non une suite pour satisfaire les fans qui, après le premier film, voulaient en savoir plus sur la terrifiante poupée.
Avec Anthony Sonigo, Jimmy Labeeu, Tanguy Onakoy...
Le saviez-vous ? Rattrapage est le second long-métrage de Tristan Séguéla après 16 ans ou presque sorti en 2013. Une nouvelle fois, le réalisateur sonde les affres de l'adolescence dans une comédie déjantée. Si dans son premier film il racontait l'histoire d'une régression, Rattrapage fait suivre à son personnage principal une trajectoire inverse.
La Tour sombre de Nikolaj Arcel
Avec Idris Elba, Matthew McConaughey, Tom Taylor (IV)...
Le saviez-vous ? En 2014, la star de Breaking Bad Aaron Paul a révélé qu'il avait rencontré Ron Howard (le réalisateur pressenti à ce moment), pour incarner l'un des personnages principaux du film, celui d'Eddie Dean, junkie new-yorkais propulsé dans l'Entre-Deux-Mondes pour aider le héros. Finalement, le personnage n'apparait pas dans le film.
Que Dios Nos Perdone de Rodrigo Sorogoyen
Avec Antonio de la Torre, Roberto Álamo, Javier Pereira...
Le saviez-vous ? C'est en partie pour détourner les traditionnels codes du thriller que Rodrigo Sorogoyen a réalisé Que Dios Nos Perdone. Le metteur en scène explique : "Tout a déjà été fait dans le cinéma de genre. Le pervertir un peu me stimule et j’espère que cela a le même effet sur les spectateurs. 8 citas et Stockholm étaient des films qui suivaient des schémas pour mieux basculer dans des sentiers moins balisés dans leur seconde moitié. Ce principe est encore plus présent dans Que Dios Nos Perdone. C’est une sorte de motivation personnelle pour surprendre les gens… Même si je sais que je n’invente rien avec ces ruptures."
Avec Jamie Foxx, Michelle Monaghan, Dermot Mulroney...
Le saviez-vous ? C'est le grand maître de jeet kune do, kung fu Shaolin, taekwondo, karaté, kendo et boxe, Jeff Imada, qui a eu comme lourde tâche de chorégraphier les scènes de combat acrobatiques de Sleepless. Il a auparavant travaillé sur des films comme Fight Club ou Hanna.
Djam de Tony Gatlif
Avec Daphne Patakia, Simon Abkarian, Maryne Cayon...
Le saviez-vous ? Tony Gatlif explique comment il a trouvé sa comédienne principale, Daphné Patakia : "J’ai cherché très longtemps l’actrice qui allait jouer Djam. Six mois avant le tournage, je ne l’avais toujours pas trouvée. Elle ne devait pas être forcément belle mais devait impérativement parler grec et français. C’est mon assistante en Grèce qui m’a parlé de Daphné. Grecque par ses deux parents, élevée en Belgique elle parle parfaitement le français. Dès je l’ai rencontrée, les scènes du film ont commencé à prendre corps à travers elle. Je sentais qu’elle irait au bout, à fond. Daphné est née en Belgique et n’a jamais perdu sa culture de vue. Elle sait ce qu’est l’exil."
Une Vie Violente de Thierry de Peretti
Avec Jean Michelangeli, Henry-Noël Tabary, Cédric Appietto...
Le saviez-vous ? C'est la seconde fois que Thierry de Peretti présente un long-métrage à Cannes après Les Apaches, projeté à la Quinzaine des réalisateurs en 2013. Cette fois, le cinéaste était présent à la Semaine de la critique : "Je reviens avec un film dont la Corse, personnage principal, est le territoire physique et intérieur. Je reviens accompagné d’une troupe d’acteurs jeunes et neufs. C’est un film très personnel. La Semaine de la Critique montre chaque année les gestes de cinéma d’aujourd’hui. En faire partie cette année est très important pour moi", précise le metteur en scène.
Avec Fanny Ardant, Tewfik Jallab, Nadia Kaci...
Le saviez-vous ? Quand le personnage de Belmelok marche sur la rambarde de l’immeuble, avec en arrière-plan le Panthéon, la tour Eiffel, le minaret de la Grande Mosquée de Paris, on peut apercevoir un chat sur les toits. Il s'agit d'un subtil hommage du réalisateur Nadir Moknèche à un autre cinéaste, Chris Marker.
La Vie de Château de Modi Barry, Cédric Ido
Avec Jacky Ido, Tatiana Rojo, Jean-Baptiste Anoumon...
Le saviez-vous ? Côté références visuelles, Modi Barry et Cédric Ido citent les films de gangsters japonais des années 1970, en particulier ceux de Kinji Fukasaku, qui comportent peu de plans et de nombreux zooms. "Comme les caractères des personnages sont un peu forcés, un style très sobre au filmage nous semblait convenir. Ça nous permettait de contrôler un peu plus les couleurs et d’avoir une image un peu BD. On pensait notamment aux planches de Jano, dessinateur de Kebra chope les boules qui paraissait dans Métal Hurlant dans les années 80 et qui mariait ce côté chronique de la vie quotidienne avec une forte caractérisation des personnages", précise Barry.
Avec Fanny Valette, Amaury de Crayencour
Le saviez-vous ? La chambre est un personnage muet du film. Au début, elle est un espace pour adulte (voire adultère) et se transforme imperceptiblement en aire de jeux. Elle se métamorphose selon les émotions que vivent les personnages. Il y a également un autre élément de décors et qui est presque un personnage : le canal Saint-Martin. "Nous le voyons, ce qui est rare, dans sa nudité car nous avons profité de son vidage qui a lieu tous les quinze ans", précise Gorune Aprikian.