De quoi ça parle ?
L'odyssée sanglante et burlesque de petits malfrats dans la jungle de Hollywood à travers trois histoires qui s'entremêlent.
Ca passe quand ?
Ce dimanche 10 mai à 20h45 sur France 4.
1/ Un film culte : Dès sa sortie en 1994, Pulp Fiction a reçu un accueil favorable de la part du public. Devenu depuis complètement culte, de nombreux hommages lui sont rendus dans la culture populaire du monde entier, de nombreux cinéphiles étant notamment capables de réciter des dialogues entiers du film, parmi lesquels le mythique discours prononcé par Samuel L. Jackson avant chaque mise à mort.
2/ Pour son casting : Pulp Fiction fait se croiser plusieurs histoires et met en parallèle le destin de divers personnages. Pour son deuxième long-métrage en tant que réalisateur, Quentin Tarantino a pu malgré tout bénéficier d'un casting XXL de stars parmi lesquelles Bruce Willis, John Travolta, Samuel L. Jackson, Uma Thurman, Harvey Keitel ou encore Christopher Walken. Tourner avec de grands noms hollywoodiens est depuis devenu une habitude pour lui.
3/ La patte Tarantino : Quentin Tarantino est un de ces cinéastes emblématique au style tellement particulier, qu'il est aisé d'identifier en quelques secondes l'un de ses films. Egalement scénariste, il est connu pour son humour parfois macabre, ses dialogues abondants et souvent cultes, ses nombreuses références cinématographiques ou encore son goût pour la violence extrême.
4/ Son influence dans le milieu : Choc cinématographique, Pulp Fiction a été une source d'inspiration pour beaucoup de cinéastes parmi lesquels Guy Ritchie, Matthew Vaughn ou encore Edgar Wright. Souvent imité, jamais égalé, Quentin Tarantino est depuis devenu une sorce de mythe sacrée dans l'industrie du cinéma et provoque l'événement à chaque sortie de ses films.
5/ Une B.O. géniale : Un film de Tarantino n'en serait pas vraiment un sans une B.O. mythique. Pulp Fiction ne fait pas exception à la règle et de nombreux titres sont restés dans les mémoires parmi lesquels Girl you'll be a woman soon, la musique du générique Miserlou ou encore le classique de Chuck Berry You never can tell.
