Découvrir "Print the legend" sur Netflix
Comment devient-on le nouveau Steve Jobs ? Ils ont été biberonnés aux publications de l’homme à la pomme, ont bricolé jour et nuit dans leur sous-sol les futures inventions de demain, puis ont pris la voie de l’ingénierie informatique, fondant petit à petit leur propre micro-entreprise.
A l’instar de Makerbot Industries, start-up à taille humaine créée en 2009 par Adam Mayer, Zach "Hoeken" Smith et Bre Pettis. Ils n’étaient que trois dans un garage : ils ont fini à plus de 250 dans des locaux new-yorkais avant de se faire racheter pour 400 millions de dollars par Stratasys, une société concurrente.
Dans Print the legend, défilent ainsi plusieurs destins d’entreprise (Formlabs, 3D Systems…) devant la caméra des apprentis réalisateurs Luis Lopez et Clay Tweel, laissant apparaître deux catégories d’hommes.
D’un côté, les fébriles à la montée en puissance de leur entreprise familiale. Et de l’autre, ceux, comme le charismatique et presque sympathique Bre Pettis, qui n’hésitent pas à piétiner les valeurs fondamentales de l’entreprise telles que la démocratisation de leur révolution pour s’imposer face aux géants du marché. Le prix est cher à payer puisqu’il inclût le licenciement de tous ceux qui ralentissent la locomotive. Amis de longue date ou pas.
Mais comme toute invention révolutionnaire, l’impression 3D a connu des dérives, portées principalement par l’étudiant texan Colin Wilson, un anarchiste qui a fait de l’impression 3D son cheval de Troie en imprimant pour la première fois des armes à feux en plastique.
Chacun à leur manière, Cody et les autres ne cherchent qu’une seule chose : entrer dans l’histoire et réaliser leur rêve américain, en se moquant de faire bonne impression.
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