Tourner un film en 3D implique une révision des méthodes de travail. Paul W.S. Anderson n’en est pas à son premier film et pourtant il a dû s’adapter au matériel de prise de vues (deux caméras attachées ensemble), depuis l’écriture jusqu’à la postproduction. Notamment sur les travellings où il lui était impossible d’utiliser une steadycam en raison du poids des caméras. Cependant le réalisateur a trouvé la solution en installant le camérman sur un Segway.
Anderson a également été contraint de s’adapter lors du montage : "En temps normal nous faisons le montage du film, et ensuite nous le donnons aux effets visuels. Avec Resident Evil : Afterlife 3D, nous avons d’abord fait le montage des scènes d’action, nous les avons données aux effets visuels, et ensuite seulement nous avons monté tout le film."
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Clément Cusseau