Attention, les paragraphes qui suivent contiennent des spoilers sur l'épisode d’Ici tout commence diffusé lundi soir sur TF1 ! Si vous préférez ne rien savoir, passez votre chemin.
Lundi 15 avril dans Ici tout commence...
La collaboration d’Anaïs et Meyer tourne court
À l’Institut, Salomé appréhende son interview avec la journaliste d’un magazine culinaire en ligne super côté, tandis qu’Anaïs stresse un peu à l’idée de faire sa proposition de menu à la cheffe Meyer. Teyssier, qui a entendu leur conversation, vient dire à Anaïs qu’il respecte sa décision et qu’il lui souhaite une bonne continuation. Une fois le directeur parti, Salomé suppose que sa meilleure amie doit être soulagée d’avoir eu sa bénédiction. Anaïs avoue toutefois qu’elle se sent triste de devoir mettre un terme à plein de choses si jamais sa collaboration avec Meyer fonctionne.
À l’Atelier, Anaïs travaille sur son plat autour du céleri-rave qu’elle compte proposer à Meyer. Elle demande à Leroy d’y goûter pour avoir son avis. Ce dernier la félicite car son plat possède une vraie personnalité et du caractère. Au même moment, David vient faire la surprise à son amie. En effet, il a fini sa cure de désintoxication, même s’il a encore un traitement et un suivi. Anaïs est ravie de le revoir.
Pendant ce temps, Teyssier a une réunion avec Olivia et Claire. Cette dernière en profite pour aborder à nouveau le sujet de son fils, qui peut encore bénéficier d’une libération provisoire avec son procès à condition qu’il trouve du travail. Claire suggère que Teyssier lui trouve une place au sein de la brigade du Double A. Mais le directeur refuse catégoriquement que Louis remette les pieds à l’Institut, d’autant plus que le conseil pédagogique a déjà voté contre.
Plus tard, Anaïs présente son plat de céleri-rave ainsi qu’un dessert autour du kaki à la cheffe Meyer. Après les avoir goûté, celle-ci déclare qu’ils sont trop fades. Le menu n’est pas au niveau de ses attentes. Si Anaïs propose de retravailler ses assiettes en fonction de ses retours, la cheffe Meyer préfère mettre carrément un terme à leur collaboration. Anaïs tombe de haut.
Elle se rend en cuisine, où Salomé est en train d’être filmée en plein service par la journaliste. Cette dernière ne tarit pas d’éloges sur le concept de restaurant sur-mesure de la jeune femme. Une fois la journaliste partie, Salomé s’enquiert de la situation d’Anaïs qui est bien obligée de lui avouer que la cheffe Meyer a mis fin à leur collaboration. Salomé propose à sa meilleure amie de lui changer les idées, mais Anaïs exprime son besoin d’être seule.
Dans le parc, Teyssier rejoint Anaïs. Il souligne qu’il s’est passé exactement la même chose entre la cheffe Meyer et son précédent collaborateur. Anaïs est dans l’incompréhension la plus totale car elle considère que Meyer aurait pu lui laisser l’opportunité d’améliorer son menu. Teyssier l’incite à se concentrer sur ses forces. Anaïs rétorque qu’elle n’est plus sûre de vouloir diriger le Double A. Elle s’est rendue compte qu’elle avait besoin de se challenger aux côtés de professionnels et non d’élèves.
Teyssier emmène alors Anaïs au domaine du Bleupré : future propriété de l’Institut que Teyssier envisage de transformer en hôtel d’application. Au rez-de-chaussée, il y aura un restaurant Auguste Armand de très haute gastronomie dont il propose le poste de cheffe à Anaïs. Celle-ci ne revient pas de la confiance qu’il lui porte. Teyssier lui demande toutefois de garder ce projet secret pour l’instant.
Plus tard, Teyssier rejoint Meyer au café du centre-ville. La cheffe a accepté de rejeter le menu d’Anaïs qu’elle trouvait pourtant très bien en échange de propositions de desserts de la part de Teyssier. Celui-ci doit également lui recommander un excellent chef pour son restaurant à Bordeaux. Le directeur de l’Institut a fait tout ça pour garder Anaïs auprès de lui. Meyer souligne qu’il a intérêt à ce que la jeune femme n’apprenne jamais leur accord…
Vic et Enzo sautent le pas
Après avoir passé un week-end de Saint-Valentin en retard, Hortense et Mehdi sont de retour à l’Institut, plus amoureux que jamais. Ils ont surmonté plusieurs épreuves, du décès du père d’Hortense à son flirt avec son premier amour Anthony, et ont réussi à se retrouver. Il n’est plus du tout question de divorce.
Pour son cours avec les Deuxième Année, Hortense leur demande de réaliser une assiette aphrodisiaque. Pas vraiment en phase avec la thématique à cause de son break avec Tom, Billie passe à côté de la consigne. Ce n’est pas le cas de Vic, qui réalise une assiette de crevettes thaï avec gingembre et épices. En la goûtant, Hortense est littéralement transportée d’extase. Elle attribue à sa sœur la note de 18/20.
À l’internat, Vic retrouve Enzo dans sa chambre afin de lui faire également goûter sa recette aphrodisiaque les yeux fermés. Elle lui raconte ensuite la note qu’elle a obtenu grâce à son assiette. Enzo est séduit par le charme et le talent de sa petite amie. Progressivement, le couple se rapproche…
Plus tard, Vic annonce fièrement à Hortense qu’elle a enfin fait l’amour avec Enzo. Sa grande sœur se réjouit pour elle. Vic avoue que sa recette aphrodisiaque n’y est pas pour rien.
Joachim s’occupe d’Elias
Alors que Clotilde et Joachim regardent les photos de leur mariage, Jérémy les interrompt afin de demander à sa mère de garder Elias pour la journée. En effet, Sabine doit se rendre à Paris en urgence pour deux jours et lui doit s’occuper de problèmes administratifs. Or, Clotilde a des cours toute la journée. C’est finalement Joachim qui se propose de garder le petit garçon.
Dans le parc, Joachim emmène Elias avec lui sur ses chantiers. Il essaye de l’occuper tant bien que mal, mais le garçon perd vite patience et ne rêve que de jouer à la console.
De retour chez lui, Joachim laisse donc Elias faire ce qu’il veut. Quand Jérémy rentre, Joachim s’est rendu compte qu’il avait menti car la mairie est fermée pour travaux. Jérémy avoue qu’il n’avait pas de problèmes administratifs, mais qu’il avait besoin de couper d’Elias avec qui les relations sont difficiles. Joachim souligne qu’il y a tout de même de l’espoir, comme pour eux deux.
