C’est la série dont on a tous besoin. Celle qui nous parle d’espoir, même en temps de guerre. Depuis son arrivée sur Netflix, Toute la lumière que nous ne pouvons voir est un joli succès, trouvant logiquement sa place dans le top 10.
Cette série tournée en partie en France et portée par l’actrice solaire Aria Mia Loberti est l’adaptation du roman d’Anthony Doerr publié en 2014 et lauréat d’un prix Pulitzer. Le livre de 624 pages raconte l’ histoire de Marie-Laure Leblanc, une jeune Française aveugle réfugiée chez son oncle pendant la Seconde Guerre mondiale, et de Werner Pfennig (Louis Hoffman), un adolescent allemand véritable génie des transmissions radio. Grâce à un lien secret partagé, ils retrouvent foi en l'humanité et entrevoient une lueur d'espoir.
Adapté à l’écran par Steven Knight (Peaky Blinders) à l’écriture et Shawn Levy à la réalisation (Stranger Things), Toute la lumière que nous ne pouvons voir est bel et bien une mini-série, qui n’appelle pas à une saison 2, comme nous l’ont confirmé les deux hommes en interview :
“Nous devions au départ faire 6 épisodes mais nous nous sommes dit qu’il ne fallait pas étirer le livre en longueur. Et on peut vous confirmer d’ores et déjà qu’il n’y aura pas de suite”.
Attention, le paragraphe qui suit contient quelques spoilers. Il faut dire que le dernier épisode conclut l’intrigue d’une manière assez satisfaisante : Marie et Werner réussissent à se débarrasser de Von Rompel, l’officier qui voulait mettre la main sur l’Océan de flammes. L’adolescent allemand finira par se rendre à l’armée américaine, venue libérer Saint-Malo…