Attention, les paragraphes qui suivent contiennent des spoilers sur l'épisode de Demain nous appartient diffusé lundi soir sur TF1 ! Si vous ne voulez rien savoir, ne lisez pas ce qui suit !
Lundi 14 novembre dans Demain nous appartient…
Anna est-elle liée à la disparition de Romy ?
Se sentant trahi par les mensonges à répétition de Karim, qui ne lui a pas dit où se trouvait Romy et ne lui a pas parlé de la relation qu'il avait entretenu avec elle par le passé, Martin décide de le suspendre et de lui retirer l'enquête. Seulement, cette fois-ci, Romy a vraiment disparu.
Martin et Lisa pensent que quelqu'un l'a localisée avant eux et l'a enlevée. Et, évidemment, vu le profil très "border" de Malik, qui exerçait une emprise psychologique sur sa femme, tout pointe vers lui. Mais des suppositions ne suffisent pas.
Heureusement, Georges fait une découverte intéressante : sur les images de vidéosurveillance de son hôtel, Malik peut être vu en train de sortir du coffre de sa voiture une valise qui paraît extrêmement lourde. Ces images datant de vendredi, jour de la disparition de Romy, Martin et Lisa en déduisent que le corps de la jeune femme pouvait très bien se trouver dans la valise et partent interpeler le frère de Karim.
En parallèle, Rayane apprend de la bouche de Karim que sa mère a disparu. Il accuse le coup car il la pensait en sécurité.
Interrogé par Martin, Malik assure que ses nombreux dossiers, récupérés chez Maître Novak, se trouvaient dans la valise. Et si rien n'a été retrouvé à son hôtel c'est parce qu'il a apporté ce matin-même les dossiers en question chez son nouvel avocat qui se trouve à Montpellier. Quant à la valise, il jure l'avoir jetée à Montpellier, dans la rue, près du cabinet.
Lisa, qui a contacté Maître Perraud, confirme à Martin que Malik Ben Allal a effectivement récupéré des dossiers au cabinet vendredi et qu'il les a bien placés dans une valise. Martin en conclut qu'ils font fausse route : la valise n'a rien à voir avec la disparition de Romy. Ils n'ont d'autre choix que de relâcher Malik, ils n'ont rien contre lui.
En fin de journée, Damien apprend à Martin qu'un téléphone a borné vendredi durant plus d'une heure près de l'appartement où se cachait Romy. Le téléphone d'une personne indirectement liée à l'enquête qui n'avait rien à faire là-bas : Anna Delcourt. Martin n'en revient pas.
Contre l’avis de Sara, Roxane poursuit son enquête
Alors qu'elle ponce la commode ancienne qu'elle a achetée pour la future chambre du bébé, Roxane remarque un symbole gravé sur le côté du meuble. Un symbole qui est certainement le poinçon du fabricant et qui pourrait bien relancer l'enquête de Roxane pour découvrir à qui appartient la clé qu'elle a trouvé quelques jours plus tôt et ce qu'elle ouvre.
En effet, alors qu'elle espérait que sa compagne oublie son obsession pour cette clé, Sara comprend rapidement que Roxane a replongé dans l'énigme et qu'elle a réussi à contacter un autre ancien propriétaire de la commode.
Roxane fait alors part de l'avancée de son "enquête" à Sara : elle est remontée jusqu'à une certaine Marie-Christine Gali, qui a acheté la commode avec son mari en 1952. Et est ensuite parvenue à identifier deux autres acheteurs, dont une femme qui aurait fait l'acquisition du meuble ancien aux alentours de 1993. Mais impossible d'arriver à la joindre. Roxane paraît très déçue.
Sara la réconforte et comprend enfin pourquoi sa compagne tient tant à résoudre cette énigme : c'est le mystère qui l'attire. Un mystère qui fait écho, d'une certaine manière, à l'aventure mystérieuse qui les attend avec leur bébé à naître.
Afin d'aider Roxane dans sa quête de vérité, Sara demande de l'aide à Damien. Celui-ci accepte et force sa collègue à admettre qu'elle s'est laissée prendre au jeu et qu'elle a, elle aussi, envie de savoir d'où vient cette clé.
Le soir venu, au dîner, Bart est obligé d'admettre qu'il est impressionné par Roxane, qui est parvenu à remonter l'histoire de la commode sur plusieurs décennies. Mais, comme elle, il est déçu que cela n'ait rien donné. C'est alors que Sara leur annonce une bonne nouvelle : Damien a découvert un logo au dos de la clé qui correspond à un fabricant de coffres-forts. Et les numéros revoient au modèle.
Cerise sur le gâteau : Damien a obtenu le listing de tous les gens qui possèdent un coffre-fort de cette marque et de ce modèle. Ils n'ont plus qu'à les retrouver.
Marianne prend la défense de Jordan
N'ayant pas cours ce matin, Jordan se rend au mas pour aider Judith. Mais sa petite amie est sur les nerfs : elle vient de recevoir un mail de la part de la mairie de Sète au sujet d'une soirée caritative qu'elle doit organiser. Et le nombre d'invités ne cesse de changer, passant de 100 à 200, puis à 150. Un vrai casse-tête.
Plus tard dans la matinée, Christelle Moreno débarque au mas pour acheter en urgences des huîtres pour son dîner de ce soir. Jordan lui explique qu'il ne s'occupe pas de la vente et que Judith est occupée. Il lui demande donc de patienter mais Christelle, qui est pressée, insiste, ce qui ne plaît guère à Jordan qui se montre quelque peu désagréable en retour. Très mécontente, Christelle Moreno quitte les lieux sans ses huîtres. Et Jordan a droit à une réprimande de la part de Judith qui essaye de lui faire comprendre que le client est roi.
Heureusement pour Jordan, Marianne, qui a croisé Christelle en arrivant au mas, prend la défense de Jordan : elle sait à quel point Madame Moreno peut se montrer insupportable. Pour Judith, cela n'excuse pas tout. Mais la connivence entre sa grand-mère et son petit ami ne manque en tout cas pas de l'amuser et de la surprendre.
Plus tard, à l'hôpital, Renaud annonce à Marianne qu'il a posé ses congés pour Noël et lui suggère de faire de même. Après tout, ils ont prévu de passer des vacances aux Maldives. Mais Marianne, qui a l'air ailleurs, lui répond qu'elle a envie d'être en famille et que les Maldives ne la tentent plus du tout. Elle n'est par contre pas opposée à quelques jours à Carcassonne ou à Collioure. Des destinations qui n'ont pas l'air de faire rêver Renaud.
Le soir venu, Marianne vient boire un verre au Spoon pour se détendre et tombe sur Jordan, qui révise ses cours de philo. Elle l'invite à se joindre à elle et lui fait part des projets de Renaud. Elle avoue qu'elle n'a pas du tout envie de passer ses vacances à se prélasser sur la plage. Mais elle ne sait pas trop comment le dire à Renaud et n'a pas envie de lui faire de la peine.
Jordan et Marianne en viennent à la conclusion qu'ils sont trop gentils et qu'ils ne savent pas s'affirmer. Et que lorsqu'ils y parviennent, ils passent pour des gens malpolis ou arrogants. Une fois de plus, ils sont sur la même longueur d'ondes.