"Bernie", "Le Créateur", "Enfermés dehors", "Le Vilain" et aujourd'hui "9 mois ferme" : film par film, Albert Dupontel revient pour AlloCiné sur sa carrière de réalisateur. Sans langue de bois.
© Rezo Films
"J'avais une opprobe un peu prolétarienne, inconcsciente, en ayant débuté au music-hall... Mais j'avais envie de faire Bernie, j'avais écrit cette histoire, je voulais la raconter avec des petits moyens... Je voulais vraiment faire ce truc. Le film a plus marché qu'on ne l'imaginait, on en parle encore des années après. Donc, ça, c'est plutôt positif. C'était la première pierre de touche d'un édifice que j'espère le plus haut possible, un chemin qui s'est un peu relenti après Le Créateur.
"Bernie, c'était un petit film virulent, qui m'a donné confiance en moi, dans mon propos."
Déjà, dans Bernie, il y avait beaucoup de choses qui ont été réexploitées par la suite : un personnage qui revient de façon récurrente, et puis un univers qui part un peu en vrac... C'était un petit film virulent, qui m'a donné confiance en moi, dans mon propos. Et puis j'ai commencé à me débrouiller avec la caméra, avec la grammaire, avec les dialogues. Bernie était un film libre, fondateur de la suite, où je parle de personnages qui me touchent, avec une sorte de grand-guignol."
La bande-annonce de "Bernie" :
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