Comment va Loana ? Une question que se posent de nombreux fans de l’ex-candidate de téléréalité, connue pour sa participation à l’émission Loft Story en 2001. Et pour cause, ces derniers mois, Loana a dû faire face à plusieurs événements traumatisants. En février 2024, sur le plateau de Touche pas à mon poste, cette dernière expliquait notamment avoir été victime de viol et d’agression sexuelle.
"C’est un soulagement pour sa mère"
Mais ce n’est pas tout. En avril 2024, un appel à témoins avait été lancé sur les réseaux sociaux par ses proches, qui restaient sans nouvelle d’elle depuis plusieurs jours. Après l’avoir retrouvée chez elle, Eryl Prayer, un de ses amis de longue date, avait ensuite expliqué qu’une enquête avait été ouverte pour "agression et séquestration", sans donner davantage de détails. Ce vendredi 14 juin 2024, ce dernier a donné des nouvelles de Loana dans les colonnes de Closer : "Elle va bien" a-t-il d’abord assuré avant de poursuivre : "Loana, qui refusait médecins et traitements, a accepté d’être prise en charge et soignée pour ses addictions. C’est un soulagement pour sa mère, Violette, qui est en maison de retraite et se sent impuissante, et pour moi, qui habite à plus de deux heures de trajet…". Si la jeune femme semble donc prendre un nouveau départ, elle ferait tout de même face à ses démons : "l’alcool et les médicaments" a avoué Eryl Prayer. "C’est une spirale infernale, le même schéma de destruction. Il y a trois mois, elle était hospitalisée parce qu’elle ne s’alimentait plus…" a-t-il raconté.
Loana serait suivie pour sa "bipolarité"
Selon lui, Loana aurait avant tout décidé de se faire soigner pour ses proches : "Il faut toujours que Loana frôle la catastrophe, qu’on aille au clash pour qu’elle accepte d’être soignée ! D’ailleurs, elle a consenti à être aidée, pas pour elle, mais parce qu’elle a compris que ce n’était plus tenable pour son entourage", a assuré son ami. Aujourd’hui, l’ex-candidate de téléréalité serait attentivement suivie par une clinique : "Elle est suivie dans une clinique pour son problème de bipolarité. C’est une structure assez souple, avec des sorties, elle a le droit de garder son smartphone et semble aller mieux. Mais à chaque fois qu’elle quitte l’unité de soins, elle rechute dans les mois qui suivent…" a-t-il regretté.