Il était entré à l'hôpital pour de simples contrôles, Michel Drucker y est finalement resté trois semaines. Début février, l'animateur star de la télévision française était en effet admis dans un centre hospitalier d'Ile-de-France pour subir une batterie de tests suite à ses graves problèmes cardiaques survenus en 2020. Cette année-là, il avait été opéré pour une endocardite infectieuse puis pour un triple pontage et pour une infection de la cicatrice. Mais ce séjour qui ne devait durer qu'une semaine en a finalement duré trois après la découverte d’éléments de récidives nécessitant de nouveaux soins.
Une hospitalisation longue et éprouvante
Que l'on se rassure, Michel Drucker va bien. C'est Stéphane Sitbon-Gomez, directeur des antennes et des programmes de France Télévisions qui en a fait la confidence auprès du Parisien : "Il est rentré chez lui. Il a besoin de se reposer après ces semaines d’hospitalisation éprouvantes. Mais il prépare déjà activement son retour." Pas encore prêt à lever le pied, l'animateur de 80 ans sera donc très prochainement de retour à l'antenne à la tête de son émission emblématique Vivement Dimanche diffusée chaque semaine en fin d'après-midi sur France 3.
Retour à l'antenne repoussé
Un retour qui devrait donc s'opérer vers la mi-avril, et non pas dès le mois de mars comme initialement prévu. En attendant, France Télé continuera de proposer des rediffusion d'ancien numéros de l'émission ou des retransmissions de courses cyclistes prévues de longue date comme le tour des Flandres ou Paris/Roubaix. Michel Drucker ne pourra pas non plus remonter sur scène tout de suite pour présenter son spectacle autobiographique De vous à moi avant septembre prochain.
Un miraculé
En 2020, Michel Drucker avait fait une grosse frayeur à tout le monde en restant hospitalisé près de trois mois à Paris pour de graves problèmes cardiaques. Il avait notamment été opéré du cœur pendant près de huit heures. "Mon cœur a été arrêté pendant quelques heures et branché à une machine. Là, j’ai réalisé avoir frôlé la catastrophe", confiait-il à l’époque au Parisien.