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    Under The Dome
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    3,5
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    572 critiques spectateurs

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    Gwendoline L
    Gwendoline L

    32 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 31 août 2015
    La première saison était prometteuse, la deuxième aussi mais la troisième... que s'est-il passé dans la tête des scénaristes ? Plus que 2 épisodes avant le Final, ouf !
    tixou0
    tixou0

    708 abonnés 2 002 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 15 mai 2021
    La scène de ce psychodrame sous "dôme" (lequel rappelle le principe des "boules de neige" que collectionne Angie McAlister), est, sans surprise, quand on sait que le prolifique Stephen King en a dessiné la trame, dans un coin rural du Maine, son Etat de prédilection, une paisible bourgade fictive d'un peu plus de 2.000 âmes, "Chester's Mill".
    On peut surtout retenir de l'intrigue l'inspiration SF (Steven Spielberg à la production) - spoiler: en remarquant que la "menace alien" est traitée assez subtilement
    , mais on peut aussi y voir une parabole, entre filiation biblique (saison 1 surtout) et ravages de l'emprise sociale (saison 3), et même une "comédie dramatique" (les 3 saisons), sur l'aspect psychologique déterminant des relations entre figures principales. Il y a quand même quelques longueurs (39 épisodes, au total), et des péripéties simplement esquissées, des personnages abandonnés, ou artificiellement introduits - un peu gênant. "Fin ouverte", plutôt pas mal ficelée - puisque la saison 4 ne sera finalement pas tournée.
    L'ensemble, "Under the Dome", est divertissant, et le casting plutôt convaincant, avec un "leader" incontesté, "Big Jim" Rennie (le solide "second rôle" de cinéma et télévision, Dean Norris).
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la saison 3
    0,5
    Publiée le 5 octobre 2015
    A fuir à tous pris! Je me force a regarder la saison 3 pour connaitre la fin mais plus j'avance plus j'ai l'impression de perdre mon temps. Plein d'incohérences, de scènes inutiles ou d'autres scènes digne de Plus belle la vie (sans être méchant envers la série). Les personnages deviennent mous et sans saveur, seul Big Jim reste fidèle à lui même et presque le "plus" attachant de la série.
    J'espère que la fin relèvera un peu cette saison 3 nul et non distrayante.
    Tellement déçu moi qui avais tellement apprécier la première saison.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    0,5
    Publiée le 12 décembre 2015
    Je ne comprends pas pourquoi Under The Dome n'est pas classé dans le genre Horreur-épouvante, le jeu des acteurs semblent pourtant approprié.
    Zeplin
    Zeplin

    2 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,5
    Publiée le 26 septembre 2021
    Décevant... c'est le premier mot qui me vient à l'esprit quand je pense à cette série. C'est dommage, ça avait si bien commencé, mais ils ont voulus en faire trop. On a un peu l'impression qu'au bout d'un moment,même les scénaristes s'en foutent de leur série. Pourtant les acteurs sont bons et attachants, mais la série et truffée d'incohérence et de moment stupide. Comme par exemple quand Big Jim bois une bouteille d'alcool sans enlever le bouchon. La fin aussi est assez décevante: j'ai l'impression que les scénaristes n'avait plus d'idée et ont bâclé une fin pour dire de terminer la série. Dommage...
    Thierry C.
    Thierry C.

    27 abonnés 286 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 22 avril 2018
    Under the dome est une bonne série de science fiction. Inspiré d'un livre de Stephen King. Moi qui n'ai pas lu le bouquin j'ai aimé cette série même si la dernière saison s'essouffle un peu. Par contre la fin est décevante.
    Raphaël O
    Raphaël O

    150 abonnés 1 567 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 3
    2,0
    Publiée le 13 octobre 2015
    Cette troisième et ultime saison (ouf!), n'est finalement pas parvenu à se hisser à la hauteur de la première, pour cause des intrigues peu passionnantes voire ennuyeuses, de nombreuses incohérences (encore une fois) et des comédiens tout à fait antipathiques. Restent les mystères certes résolus mais qui ne peuvent pas faire tenir à eux seuls toute une série. C'est terminé et bon débarras !
    Chaîne 42
    Chaîne 42

    147 abonnés 3 095 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 28 avril 2021
    De la S.F. qui bénéficie d'une certaine promotion ce qui est souvent le gage que ce ne sera pas forcement un petit tour et puis terminé. Une idée intéressante avec un scénario et des personnages complexes. Le tout s'éloigne un peu de la S.F. mais reste plus original que d'autres séries fonctionnant un peu de la même façon.
    angélique v.
    angélique v.

    25 abonnés 103 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    1,5
    Publiée le 13 octobre 2015
    Comment bien résumer. En fait 4 mots suffisent : tout ça pour ça !

    Dommage comme d'habitude stephen king sait maintenir un suspense mais ne sait toujours pas finir une histoire
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile

    355 abonnés 1 372 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 18 février 2016
    Un seul mot d’ordre : servir la communauté ! Pour ceux qui ne l’auraient pas saisit, le message d’Under The Dome est une façon métaphorique de schématiser notre société par ces travers les plus fondamentaux et inconscients dans nos mœurs ; la ville concentrationnaire, les moutons lobotomisés, le despotisme inconscient, le contrôle des esprits… Bref, la science fiction est avant tout l’art de présenter la réalité sous sa forme la plus onirique et subtile. Cette série grandement marquée par l’empreinte de Stephen King, son créateur littéraire, regorge de menus détails, signes et symboles religieux : la fin du monde, le jugement dernier, les plaies, le fléau humain. Tout nous ramène à une seule et unique chose : l’instinct de survie. Que l’on croit ou non aux extra-terrestres est un autre discours, pourtant bien d’actualité. La trame globale se sert en l’occurrence de cette autre forme de vie pour monter les humains les uns contre les autres. Une sacrée pilule que voilà ! Entre l’implication pour le moins mystérieuse de l’armée et les magouilles intra-muros, bien des questions se soulèvent dès le départ. Tout repose donc sur une succession de personnages, respectivement construits autour d’énigmes et de secrets personnels. De lourds passés se devinent, tandis que les personnalités profondes se révèlent sous les dures lois de l’isolement. Les places de chaque entité se dévoilent peu à peu comme des évidences, à travers des personnages malheureusement trop stéréotypés à la sauce hollywoodienne. Dale "Barbie“ Barbara, Julia Shumway, "Big Jim“ Rennie, James "Junior“ Rennie, les principales figures emblématiques sont de vraies caricatures américaines pure souche. Entre le sauveur du monde, musculeux et inébranlable, la bimbo rousse, intrépide et dévouée, l’homme de pouvoir, véreux et influent, ou encore le gentil toutou qui ne sait jamais sur quel pied danser. Le confinement du dôme révèle autant le meilleur que le pire du genre humain. La dualité de l’entraide et de l’appât du gain. Quoi qu’il en soit, le concept est tout sauf inintéressant. C’est tout à fait ce que l’on vit au quotidien sans forcément le conscientiser. Mais il y a toujours un mais, un bémol de taille au milieu des bonnes idées. Hormis le degré qualitatif haché à coup de serpe au fil des trois saisons, on concentre nos espoirs en misant sur un twist final d’envergure, où toute cette succession d’événements, ces personnages, et cette enfilade de pourquoi trouveraient une solide cohésion. Mais à deux épisodes de la fin, on se dit que le manque de budget et peut être aussi d’inspiration a fait son œuvre. Les réponses que l’on attend se diluent dans un effroyable fouillis artistique, laissant au final une kyrielle de points fondamentaux en suspend. La déception est au bout du tunnel, et c’est bien dommage, car malgré la déshumanisation des personnages et les pertes successives (on peut aussi parler de génocide), on commençait à se raccrocher à quelque chose. Under The Dome est avant tout une série mitigée, avec son pesant de choses à prendre et de divertissement immodéré. 3/5
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    0,5
    Publiée le 6 septembre 2015
    Une merde sans nom ! .... . VB.
    Alexis D.
    Alexis D.

    107 abonnés 877 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 18 mars 2021
    "Under The Dome" est une excellente série dotée d'une intrigue plus que captivante et intéressante. Dans cette série, adaptée de Stephen King, une petite ville se retrouve prisonnière d’un étrange dôme translucide. Cette adaptation du roman de Stephen King, "Dome", sorti en 2009 aux Etats-Unis et en 2011 en France (éditions Albin Michel), a été lancée le lundi 24 juin 2013 sur CBS. Ses treize épisodes racontent comment Chester’s Mill, une charmante petite ville du Nord-Est américain, se retrouve soudainement prisonnière d’un immense dôme électromagnétique transparent… Ce n’est qu’une fois pris au piège que ses habitants découvrent les nombreux secrets et mystères qui dormaient derrière les tranquilles façades. Produite par Steven Spielberg, "Under The Dome" est chapeautée par Brian K. Vaughan, un ancien de "Lost". De fait, elle reprend certains éléments de la série fantastique. Son événement déclencheur paranormal, une cloche sortie de nulle part (elle semble ici tomber du ciel), sert de prétexte à développer une galerie de personnages pris aux pièges : un shérif (incarné par un ancien de "Lost", Jeff Fahey), un vendeur de voitures aux ambitions politiques (Dean Norris, le Hank de "Breaking Bad"), une jeune serveuse, un journaliste, ou encore un type aussi séduisant que dangereux, qui était de passage en ville pour des affaires louches. On se doute rapidement que tout le monde a quelque chose à cacher ou, pire, que les agissements de ces citoyens pas si modèles sont la cause de l’arrivée du Dôme. Les relations entre les personnages (affectives, professionnelles, familiales) sont toutes tendues par la présence fantastique du Dôme, qui entretient efficacement la tension. Evidemment, le 11 septembre n’est pas loin, dans cette histoire où chacun doit se serrer les coudes ("est-ce une attaque terroriste ou un geste de Dieu ?", questionne le concessionnaire politicien). Pour notre plaisir, ce petit monde va passer son temps à se faire la guerre. A l’image de sa catastrophe, improbable et, remarqueront les plus perspicaces, très proche de l’intrigue du film "Les Simpson", "Under The Dome" force un peu le trait, pousse un peu loin la richesse de sa galerie de personnages (on regrette notamment l’apparition d’un psychopathe, qui ajoute un côté slasher à un ensemble déjà chargé) mais contient tout ce qu’il faut pour faire un belle série d’été, au mystère amusant, aux effets spéciaux réussis, et aux personnages assez développés pour qu’on s’y attache. A une ou deux exceptions près, tous les acteurs sont très bons, du formidable Dean Norris à Mike Vogel en passant par Britt Robertson, jeune actrice toujours impeccable, mais rarement gâtée par le destin. "Under The Dome" devrait parfaitement combler notre manque de bonnes séries cet été. On doute que les douze petits épisodes suivants soient suffisants pour nous en lasser. D’ailleurs, CBS, qui pense tenir là un futur gros succès, a sous-entendu que cette série, en cas de grosses audiences, pourrait devenir une grosse série tout court… Bref, une série ludique, intrigante, parfaite pour l’été
    Scarlet Carson
    Scarlet Carson

    22 abonnés 132 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    1,0
    Publiée le 25 juillet 2013
    mouais....non. Je viens de finir le livre que j'ai adoré. Je me suis dit que j'allais commener la serie pour voir. J'ai été prevenue que c'était different, mais je ne pensais pas que c'était different à ce point la !
    on garde les noms des personnages, on garde le postulat de base. Et c'est tout.
    Je peux comprendre certaines choses, comme le fait qu'il y ait bcp d'absents, ok, il y a bcp de personnages dans ce livre, c'est impossible de tout mettre à l'ecran. Je peux aussi accepter que certaines familles soient regroupées (Joe et Angie, frère et soeurs j'ai un peu failli tomber de mon siège mais allé, soit) etc ... mais que l'on change la personnalité profonde d'un personnage, non je refuse. Barbie pour ne citer que lui, mais il est a des années lumière du hero du livre quoi. Et s'il n'y avait que lui. Junior en psycho-bisounours.... je reve. Certaines scenes trop violentes du livres ne seront pas dans cette serie ça me parait obligatoire mais il ne faut pas pousser. J'ai vu 3 episodes et j'ai décidé d'arreter, le scenario partant dans des directions debiles (il n'y a que Joe qui s'en sort bien et qui reste fidele un minimum à lui même) qui n'ont RIEN (mais rien quoi) à voir avec l'intrigue de base (en esperant qu'ils ne fassent pas durer la serie sur 135454 de saisons car ça fait de l'audience ... en transformant encore plus la serie en n'importe quoi).
    Je veux dire, je ne suis pas contre les modifications, je trouve ça même sympa de vouloir faire deux fins differentes d'ailleurs. Je sais qu'une serie est aussi obligée de raccourcir certains passage (comme ans Game of Thrones ou certaines scenes sont passées sous silences et ou des raccourcis heureux on été créer). Mais massacrer des personnages geniaux, je suis navrée, je n'y arrive pas. Changer radicalement un scenar, je n'y arrive pas non plus. Si je regarde une serie tiré d'un livre, je veux au moins retrouver ce que j'aime dedans.
    J'ai un ami qui n'a pas lu les livres, et qui trouve la serie sympa, sans plus. Je lui ai conseillé de lire les livres après, et de me dire ce qu'il en pense ensuite.
    Bref, pour moi ce sera non.
    Caine78
    Caine78

    6 790 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    2,0
    Publiée le 24 novembre 2015
    Adaptation de l'imposant roman de Stephen King, « Under the Dome » semblait être un bon compromis pour retranscrire au mieux les nombreux événements et personnages de l'intrigue. De ce point de vue là, la série est plutôt réussie, parvenant à exploiter correctement les différentes situations qu'un tel événement pourrait produire dans n'importe quelle ville, que ce soit d'un point de vue matériel ou humain. J'ai d'ailleurs trouvé les différentes réactions des uns et des autres presque toujours crédibles, personne n'étant totalement innocent ou coupable du début à la fin (à de rares exceptions près), le résultat sachant un minimum (notamment dans le dernier quart). Dommage que ces qualités réelles soient restreintes par une réalisation et un visuel totalement impersonnels, clairement conçus pour parler au plus large public possible sans réellement chercher à se montrer audacieux une seule fois. De plus, les personnages ont beau ne pas être trop fades, certains comédiens manquent clairement de volume (Britt Robertson en tête), heureusement rattrapés par un trio Mike Vogel - Rachelle Lefevre - Dean Norris, nettement plus consistant et talentueux. Après, si on est loin de la complexité et de la richesse de nombreuses séries contemporaines, au moins ne s'ennuie t-on pas, le sujet étant suffisamment séduisant et honnêtement traité pour nous faire passer quelques soirées agréables et sans prise de tête : c'est toujours ça de pris.
    Caine78
    Caine78

    6 790 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 2
    2,0
    Publiée le 16 août 2016
    Autant mes deux étoiles concernant la première saison étaient plus proches des trois, autant c'est exactement le contraire ici... Si cela reste un minimum efficace et agréable à suivre, les créateurs semblent (déjà) à court d'imagination et n'hésitent pas à lorgner vers le grotesque et des idées parfois franchement farfelues pour arriver à remplir ces treize épisodes au forceps. Alors c'est vrai que cela peut fonctionner de temps à autre, mais le grand n'importe quoi est rarement loin, et ce malgré un effort louable pour donner une nouvelle direction à certains personnages (notamment celui de Big Jim Rennie) ou aborder d'autres sujets telle la religion, ce n'est pas très convaincant, ni vraiment intéressant. En fait, je crois que si j'accorde cette deuxième étoile, c'est surtout pour la présence de la toujours sublime Rachelle Lefèvre, beauté vertigineuse d'un second volet qui l'est beaucoup moins... En espérant (sans trop y croire) que la troisième et dernière saison retrouvera un peu de la rigueur dont était composée les débuts de la série.
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