Avis Parks and Recreation

Je ne suis pas un grand amateur du format série, cependant j'en aime bien quelques unes et c'est principalement des sitcom (sans rire enregistré, dieu merci). Si j'ai regardé ça c'était principalement parce que j'avais vu des memes sur le net avec la tête de Ron Swanson qui sortait de grosses conneries plus grosses que lui et que je trouvais assez drôles. Alors bon ça ne veut rien dire vu qu'ils en font aussi avec Big Bang Theory ou How I met your mother (jamais vu, ça a l'air nul), mais ça m'a motivé... et ce qui m'a poussé à franchir le cap, c'était clairement le fait que ça devait être à la base un spin off de the office. Et j'aime beaucoup the office US, dont je n'ai toujours pas vu la dernière saison...

Pour que ce genre de série fonctionne il faut avoir des personnages qui soient non seulement drôles, mais également attachants, ce qu'a raté pour moi Community étant donné que j'ai abandonné au milieu de la troisième saison... les personnages étant sacrifiés sur l'autel de la métaréférence... Et je trouve que Parks and Recreation y arrive tout aussi bien que the Office US.

Alors franchement j'ai failli arrêter après trois épisodes, c'était nul à chier cette première saison, mais je me suis forcé et finalement la seconde saison m'a fait plus rire à chaque épisode que toute la première saison réunie... et idem pour la troisième qui est la plus drôle de toutes. Alors vu que j'ai enchaîné tous les épisodes je ne sais plus vraiment quelle saison correspond à quel gag... mais je sais que j'étais mort de rire une fois par épisode au moins...

Après j'ai eu plus de mal avec les saison 4 et 5, trop axées sur les romances... tout le monde doit se marier, avec des gosses, avoir une vie normale... m'en tamponne, fais-moi rire femme ! Du coup le rythme est un peu plus lent et j'ai failli arrêter... ça recommence à devenir un peu plus drôle après, mais sans jamais atteindre la troisième saison... C'est ça que je déteste avec les séries, c'est inégal... Un film s'il est bon il est bon... une série c'est plus compliqué.

Mais en gros si j'ai adoré certains épisodes c'est avant tout pour les personnages de Ron Swanson et d'April... Sans doute car je suis un mélange des deux et qu'ils peuvent sortir le genre de phrases que je peux sortir. C'est eux qui sont les plus drôles, mais aussi les plus attachants... D'ailleurs c'est marrant comme le départ de Mark machin truc au tout début de la série, alors qu'il était un des personnage principal... ben on s'en branle en fait... d'ailleurs ça fait du bien à la série car on a viré le seul personnage un peu raisonnable du truc (bon il y a Ann, un peu et Ben par après).

Pour revenir sur les personnages attachants, ils en font un peu trop malheureusement autour de Ron et d'April... on a compris qu'ils avaient une âme... mais franchement le faire à chaque épisode ben ça tue un peu le personnage. Bon ce n'est jamais catastrophique, mais bon...

Chris Pratt est plus crédible lorsqu'il est gros au début... sa transformation fait un peu bizarre... mais c'est pas un personnage qui m'a fait beaucoup rire, bien que la sa romance soit plutôt bien amenée, mignonne et assez juste.
Par contre les Tom ou Donna... rien à foutre de ces personnages... je ne sais pas s'ils ont fait rire quelqu'un... mais pas moi... J'aime pas leur exubérance... Mais ça va un peu mieux avec le temps.
C'est pareil avec le running gag sur le prénom de Gary... boarf...

Ce qui me mettait en joie c'était clairement les sarcasmes, les petites piques, les réactions décalées d'April et Ron... et les romances bien traitées au début de la série... après ça commence vraiment à sortir de nulle part et à devenir trop. Tout ça juste pour qu'il y ait un happy end... ce qui fait que finalement la fin n'est pas aussi marquante qu'elle aurait pu l'être. J'aime les fins non résolues, un peu tristes... comme la vie...

Du coup j'ai dévoré la série, j'y ai pris grand plaisir, mais comme dit faut réussir à passer la première saison pas terrible, mais qui ne fait que 6 épisodes. Et honnêtement ils font un spin off sur Ron Swanson quand ils veulent...

J'ai trouvé assez habile dans la dernière saison la façon de traiter le féminisme en les envoyant un peu chier, parce que ok, l'héroïne est une femme indépendante et tout... mais ça ne veut pas dire qu'elle doit obéir à toutes les conneries racontées par ces hystériques... pour au contraire en tant que femme indépendante faire ce qu'elle veut elle.

L'émotion est assez bien gérée malgré tout, le départ de la saison 6 par exemple... Leslie en fait de trop, mais tu as Ron pour compenser... pas de tire-larme...
Le départ de Steve Carell avait été très bien géré également dans The Office.

On a plein de petits invités plutôt sympas et ça permet à la série d'avoir toujours un petit vent de fraîcheur avec de nouvelles têtes connues et sympathiques... sans pour autant que ça vienne alourdir le tout.

Excellente série . Si jusqu'à la saison 7, les effets comiques s'essoufflent un peu, les personnages continuent à nous séduire par leur traits de caractères très singuliers. Mention spéciale pour le personnage joué par Aubrey Plaza, ainsi que pour le duo de personnages Ann/Leslie. Une très belle aventure que cette série, qui nous fait partager la vie des habitants de Pawnee à travers une galerie de personnages particulièrement originaux et très attachants. Je recommande bien sûr !

Park and Recreation ressemble à l’excellent show The Office (même groupe NBC, même producteur Greg Daniels, même petite ville fictive, même principe d’interactions entre collègues et d’approche dans le style documentaire). Malheureusement, la série souffre d’un manque de charisme de ses acteurs. Si Nick Offerman, Aubray Plaza et Amy Poelher tiennent la route, le reste du casting peine à nous arracher un sourire. Tom Haverford, personnage too much en fait des tonnes. Andy Dwyer n’est tout simplement pas drôle et ce n’est pas l’arrivée des personnages incarnés par Rob Lowe et Adam Scott qui arrange les choses. Si le premier se démarque par un phrasé rapide, hyper descriptif et par un rapport au sport clairement maladif, le second n’apporte rien au divertissement (il remplace d’ailleurs Paul Schneider qui n’apportait rien non plus…). Reste quelques moments plutôt sympathiques mais trop rares pour en faire une bonne série. L’effet de surprise passé, on décroche et on oublie…

J'aurais voulu aimer Parks and Recreation, moi qui suis pourtant friand de ce genre de séries sur le travail. Mais je n'y suis pas parvenu. J'ai trouvé les personnages absurdes et antipathiques. Dans une série comme The Office, chacun avait son potentiel comique tout en restant relativement cohérent et plausible. Dans Parks and Recreation, la plupart des personnages ne font aucun sens ... On dirait que les scénaristes ont fait une liste de traits de personnalité et les ont assemblé aléatoirement. Certains tirent tout de même leur épingle du jeu : Ron Swanson (la virilité) et Tom Haverford (le swag, avec son ami Jean-Ralphéo). J'ai bien aimé les 2 premières saisons, qui se jouent habilement des lourdeurs gouvernementales et administratives (sous la direction de Swanson). Mais ensuite trop d'importance est donnée à Leslie Knoppe et à ses gamineries incohérentes qui me font rarement rire. Je ne peux m'empêcher de comparer Parks and Recreation à The Office, et là où le dernier faisait preuve de subtilité en développant des personnages plausibles et charmants, le premier surjoue de clichés absurdes. Il suffit par exemple de comparer Jerry (P&R) et Kevin (Office) qui sont pourtant des personnages semblables pour se rendre compte que P&R est loin en-dessous dans l'humour et la subtilité ... Mais j'aurais peut-être apprécié la série si elle avait été centrée sur Ron Swanson.

Un révélation en ce qui me concerne ! Je dois dire que cette série m'a comblé de bonheur, des comédiens formidables, des dialogues brillants, tout ce qu'il vous faut pour oublier des séries médiocres comme "Big Bang Theory". Chaque personnage possède une identité et un caractère sublimés par des interprétations géniales, d'ailleurs c'est dans cette série que l'on trouve le désormais célèbre Chris Pratt, qui livre une performance hallucinante. Bref ne perdez pas votre temps avec les niaiseries du Big Bang, cette série est juste un grand moment de bonheur. Tout comme "Mom" soit dit au passage. Je dois bien avouer que je ne comprends pas que cette série ne soit toujours pas distribuée en France (même si visiblement canal buse a acheté les droits, sept ans après ...). C'est vraiment regrettable. A mon sens Ron Swanson est un des personnage les plus marquant de la comédie US, un monument.

Parks and Recreation : une série avec une grande bouffée d'air frais ! On y rit, ce n'est pas redondant ! Le casting et les guests sont géniaux. Chaque épisode arrive à se différencier des autres en gardant la même énergie et le même univers !

Je n'ai regardé que le premier épisode... Donc cette série est drôle? eh bien l'humour américain n'a pas changé. On s'ennuie, on attend des vannes qui ne viennent jamais. Enfin bref, si vous voulez vous marrer allez plutôt voir le flambeau que cette purge qui donne envie de vomir à chaque mouvement de caméra.

Je cherchais une série à regarder. En général peu déçu par le top des séries de allocine. Mais tomber sur une telle nullité.... Ai tenu 3 épisodes.. Comment cette série peut-elle aussi bien classée dans le top ?????? Un vrai problème là. Pas un rictus, juste pénible à regarder ' histoire d' aucun intérêt. Je suis passé en VO me disant, cela vient du doublage... Non non c'est pareil... Rien à en tirer

C'est de loin ma série préférée!
Personnages charismatiques et ultra drôles tant ils jouent leur rôle à fond, tous.
Répliques hyper marrantes, le contexte est orginal, ça change!
Littéralement, j'aime tout et recommande pour tous ceux qui aiment les bonnes séries bien plaisantes ! :D

On aura traîné la patte et ralenti le temps avant d'entamer cette septième et dernière saison de "Parks and Recreation" ! Seulement voilà il fallait bien s'y mettre et regarder ces treize derniers épisodes avant de quitter nos chers amis de la ville de Pawnee, faisant certainement partie de la bande de personnages la plus attachante qu'on ait vu à la télévision depuis des années (cet attachement ne s'était pas fait ressentir depuis "Buffy contre les vampires"). En commençant donc cette saison, on sait que nous allons dire au revoir à des personnages que nous adorons et que nous connaissons si bien qu'on a l'impression qu'ils font partie de nos plus proches amis. Difficile de ne pas traverser ces épisodes sans avoir la larme à l’œil, celle-ci ayant tendance à estomper les rires. Ceux-ci sont pourtant nombreux, les scénaristes ne manquant pas d'idées pour une saison nous amenant en 2017, l'occasion de passer au crible quelques travers de notre société et de dénoncer un système laissant de moins en moins de place à l'anonymat. L'occasion aussi de relancer quelques enjeux pour une première partie de saison rythmée et franchement drôle tandis que la seconde se concentre sur le chemin que les personnages tracent et qui laissent entendre l'inévitable séparation. Après plusieurs saisons délirantes et hilarantes passées en compagnie de personnages incroyablement bien écrits et interprétés par des acteurs qui ne quitteront jamais notre esprit (Nick Offerman, on t'aime !), le temps des adieux est joliment préparé par les scénaristes jusque dans un double épisode final laissant entrevoir de beaux destins et laissant couler les larmes pour clore cette belle aventure de la plus belle des manières, en privilégiant avant tout les personnages et leurs relations. Ils ne le savent sûrement pas mais ils vont cruellement nous manquer...

Malgré son type de mise en scène façon documentaire (et donc caméra à l'épaule qui fait un peu mal au crâne), il est difficile de résister au charme qui se dégage de ces six premiers épisodes de "Parks and Recreation", nous plongeant dans le quotidien des employés du département des Parcs et Loisirs de la ville de Pawnee. Grâce à un humour bien particulier, parfois décalé, parfois pince-sans-rire, la série arrive à nous accrocher rapidement, sachant toujours nous surprendre dans les réactions de ses personnages. Après un ou deux épisodes de temps d'adaptation, il s'avère que le choix de mise en scène est totalement judicieux, collant à fond avec le sujet et permettant des apartés caméra hilarantes. Amy Poehler est d'ailleurs tout à fait irrésistible dans le rôle principal, débordante d'énergie et de naïveté qu'elle incarne à merveille. La suite se fait donc forcément attendre.

Après une première saison très courte qui permettait de nous plonger dans l'ambiance du département des Parcs et Loisirs de la ville de Pawnee, cette deuxième saison embraye très fort. L'univers nous est familiers, les personnages aussi et les voilà qu'ils peuvent se développer et s'épanouir devant nos yeux. Et c'est un véritable régal ! Tout dans "Parks and Recreation" est l'occasion d'une bonne tranche de rire et de délire mais si la série fonctionne aussi bien, c'est grâce à ses personnages. Loin des clichés et bien que chacun étant stéréotypé, leur psychologie est dense et très fouillée, les rendant terriblement attachants. Et c'est donc un véritable plaisir de partager une vingtaine d'épisodes avec eux, de vivre leur quotidien, de rire d'eux et de rire avec eux. Rythmée, très bien écrite et surtout brillamment interprétée par une galerie d'acteurs au génie comique assez dingue (Amy Poehler, Aziz Ansari et Nick Offerman sont irrésistibles), voilà bien une série fort réjouissante dont on aurait bien du mal à se passer une fois commencée.

Le service le plus attachant de la ville de Pawnee revient pour une troisième saison un peu plus courte mais toujours aussi réjouissante. Avec de nouveaux personnages arrivés en fin de saison 2 et prenant de l'importance au fil du récit (Adam Scott, très bon, Rob Lowe, particulièrement irrésistible) et des changements à venir dans la vie des autres personnages, la série nous réserve de belles surprises. Certes, on pourra lui reprocher, notamment dans le dernier épisode, d'ajouter des enjeux dramatiques sortant un peu de nulle part, simplement pour rajouter du piment à l'ensemble mais globalement la série est toujours aussi réussie, trouvant le juste équilibre entre sa fantaisie délirante et sa crédibilité des personnages et des situations. "Parks and Recreation" a beau se lancer dans des moments fous, elle n'oublie jamais ce qui fait le sel de la série : ses personnages. Ces personnages tous décalés, tous farfelus et tous terriblement attachants dont on attend énormément à chaque épisode sans jamais être déçus (Nick Offerman dans la peau de Ron Swanson remporte la palme) et qui transforment cette franche rigolade qu'est la série en quelque chose de beaucoup plus profond, avec son lot de scènes touchantes, qui en disent long sur ces personnages que l'on est déjà pressés de retrouver.

Série comique absolument géniale, avec un univers intéressant, un engagement politique constant, des persos attachants joués par des acteurs épatants et surtout, surtout, des barres de rire en stock ! Pourtant, le postulat de départ n'est pas très sexy, encore moins original (si ce n'est le cadre) mais ce petit groupe finira par grandir, mûrir, offrant quelques moments impayables. Alors certes, comme toutes les séries de networks, il y a bien quelques épisodes un peu faibles mais on trouve aussi des guests hilarants, des gags incroyables, une belle énergie, un savant dosage dans le portnawak et surtout, une belle cohérence finale, avec un vrai respect pour les personnages. De plus, la fin est parfaite alors oui, une série culte qui mérite le détour, et qui prolonge avec délice l'esprit de "The office".

Sept saisons (2009 à 2015, soit 125 épisodes). Série terminée.
Les péripéties des membres d’un service public de Parcs et Loisirs dans la petite ville imaginaire de Pawnee aux Etats-Unis. Il convient d’admettre qu’il est nécessaire de s’accrocher lors des premières minutes tant l’humour particulier et parfois lourdingue vient entrechoquer nos codes culturels. Cette galerie de personnages, tous plus extravagants les uns que les autres, nécessite un temps d’adaptation. Mais une fois sur les rails, on peut savourer l’énergie débordante de Leslie Knope (Amy Poehler) et ses différents acolytes. D’ailleurs, le format très court de chaque épisode (environ 20 minutes) permet de conserver un rythme soutenu et de proposer des intrigues plus ou moins réussies tout en échafaudant une histoire au long cours. Bref, un portrait caricatural mais sympathique de la culture des classes moyennes américaines.