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Votre avis sur Ripley ?
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La beauté époustouflante de la photo en noir et blanc suffirait à elle seule pour recommander cette série. Chaque plan pourrait figurer dans une galerie d'art. La reconstitution des sixties est parfaite elle aussi. On peut certes s'étonner du choix d'un cinéaste de réaliser une troisième adaptation du roman de Patricia Highsmith après celles de René Clément et de Minghella. Disons d'emblée que cette oeuvre est très différente des deux autres. La psychologie et les relations des deux principaux personnages ne se ressemblent guère. Certes, la confrontation entre Andrew Scott et Johnny Flynn a moins de panache que celle entre Maurice Ronet et Alain Delon, mais elle reste fascinante. Quant à l'histoire, même si on la connait, on devine d'emblée qu'elle ne se déroulera pas tout à fait de la même façon. Un pari risqué mais réussi !
Le noir et blanc lui va à merveille.
Belle surprise que cette minisérie. J’ai été ébloui par l’esthétique des images. La photographie est incroyablement bien soignée, parfaitement cadrée, toujours à la recherche du meilleur effet artistique.
Les nombreux plans rapprochés avec flou d'arrière-plan et cet effet très contrasté du noir et blanc mais sans le moindre grain donne de l'intensité au contenu de chaque scène. La lumière et les scènes ombragées sont parfaitement maitrisées.
C'est très certainement filmé avec une caméra numérique car la fluidité des images est très impressionnante (on aimera ou pas)
Surprenant aussi : la richesse des accessoires, les détails dans tous les plans filmés. Prenez la peine de faire pause de temps en temps et vous verrez ! Tout est minutieusement pensé, réfléchi et disposé à la perfection pour obtenir le meilleur résultat esthétique et visuel.
La période à laquelle se déroule l'histoire aide aussi à la richesse visuelle puisque tout est d'époque, début 1960, et souvent très collector. Les images sont accompagnées d'une musique douce d'époque également et du plus bel effet. Le rythme étant posé, c'est une invitation au voyage dans le passé, à la rêverie, à la nostalgie, aux vacances en Italie aux bords de la méditerranée. Enfin, c'est surtout vrai pour les 4 premiers épisodes : l'histoire prenant une tournure plus sombre et franchement stressante par la suite.
Avec tout ça, l'histoire de Mr Ripley passe au second plan mais vous connaissez l'histoire. C'est une Xième adaptation et il n’y a rien à ajouter ou à découvrir de particulier si ce n'est que c'est parfaitement mis en scène. Tom Ripley est toujours un personnage inquiétant, énigmatique, complexe, spéculateur, manipulateur et usurpateur. Andrew Scott qui endosse le rôle de ce personnage fait une prestation remarquable.
J'ai malgré tout enlevé une demi étoile à ce petit bijou car le format série en 8 épisode est un rien trop long. Par moment, on perçoit une forme de longueur proportionnellement à ce qu'il y a à raconter. Un épisode ou deux en moins aurait été plus digeste.
Ma conclusion est que cette série est un régal pour les yeux, surtout si vous pratiquez un tant soit peu la photographie. A découvrir absolument car c'est un sans faute.
Belle surprise que cette minisérie. J’ai été ébloui par l’esthétique des images. La photographie est incroyablement bien soignée, parfaitement cadrée, toujours à la recherche du meilleur effet artistique.
Les nombreux plans rapprochés avec flou d'arrière-plan et cet effet très contrasté du noir et blanc mais sans le moindre grain donne de l'intensité au contenu de chaque scène. La lumière et les scènes ombragées sont parfaitement maitrisées.
C'est très certainement filmé avec une caméra numérique car la fluidité des images est très impressionnante (on aimera ou pas)
Surprenant aussi : la richesse des accessoires, les détails dans tous les plans filmés. Prenez la peine de faire pause de temps en temps et vous verrez ! Tout est minutieusement pensé, réfléchi et disposé à la perfection pour obtenir le meilleur résultat esthétique et visuel.
La période à laquelle se déroule l'histoire aide aussi à la richesse visuelle puisque tout est d'époque, début 1960, et souvent très collector. Les images sont accompagnées d'une musique douce d'époque également et du plus bel effet. Le rythme étant posé, c'est une invitation au voyage dans le passé, à la rêverie, à la nostalgie, aux vacances en Italie aux bords de la méditerranée. Enfin, c'est surtout vrai pour les 4 premiers épisodes : l'histoire prenant une tournure plus sombre et franchement stressante par la suite.
Avec tout ça, l'histoire de Mr Ripley passe au second plan mais vous connaissez l'histoire. C'est une Xième adaptation et il n’y a rien à ajouter ou à découvrir de particulier si ce n'est que c'est parfaitement mis en scène. Tom Ripley est toujours un personnage inquiétant, énigmatique, complexe, spéculateur, manipulateur et usurpateur. Andrew Scott qui endosse le rôle de ce personnage fait une prestation remarquable.
J'ai malgré tout enlevé une demi étoile à ce petit bijou car le format série en 8 épisode est un rien trop long. Par moment, on perçoit une forme de longueur proportionnellement à ce qu'il y a à raconter. Un épisode ou deux en moins aurait été plus digeste.
Ma conclusion est que cette série est un régal pour les yeux, surtout si vous pratiquez un tant soit peu la photographie. A découvrir absolument car c'est un sans faute.
Avec un peu de retard, j'ai terminé la série Ripley. Et ce final confirme tout ce que je disais ... A savoir, une des meilleurs série de 2024. Assurément. J'adore ce qu'ils font du perso de Tom (et de l'art de Caravage qui s'imprègne littéralement).
Je ne m'attendais pas à une telle fin pour la série (j'espère qu'ils ne vont pas céder a une S2. Même si ça serait tendant). Qui pour moi est parfait. Cette relecture de Mr Ripley est tout bonnement incroyable. La narration, le découpage, la photo. Tout a été pensé et maitriser. Avec la plus grande perfection.
Je la reverrai d'ici quelques mois avec plaisir. Car beaucoup de détails qu'on peut louper au 1er visionnage. Une lecture riche suivie d'une photo somptueuse. Et servi par casting impliqué. Dont Andrew Scott y est juste royal (tout en nuance).
Je ne m'attendais pas à une telle fin pour la série (j'espère qu'ils ne vont pas céder a une S2. Même si ça serait tendant). Qui pour moi est parfait. Cette relecture de Mr Ripley est tout bonnement incroyable. La narration, le découpage, la photo. Tout a été pensé et maitriser. Avec la plus grande perfection.
Je la reverrai d'ici quelques mois avec plaisir. Car beaucoup de détails qu'on peut louper au 1er visionnage. Une lecture riche suivie d'une photo somptueuse. Et servi par casting impliqué. Dont Andrew Scott y est juste royal (tout en nuance).
Chef d'œuvre télé, orson welles n'est pas loin
Époque citizen kane noir et blanc parfait cadrage impeccable
Merci Netflix pour une bonne série
Époque citizen kane noir et blanc parfait cadrage impeccable
Merci Netflix pour une bonne série
ffred
Nouvelle adaptation pour Mr Ripley, le roman de Patricia Higsmith, après le Plein Soleil de René Clément (1960) et Le talentueux Mr Ripley de Anthony Minghella (1999). Bien curieux de voir ce que cela allait donner sur une série en huit épisodes. D’entrée le rythme est lent, et le restera jusqu’au bout. Mais une ambiance oppressante se met en place immédiatement. Et ne fera que monter crescendo. A partir du troisième épisode, l’intrigue et le suspens décollent vraiment. Et l’on est curieux de voir comment tout cela va évoluer, même si on connait déjà la fin. Techniquement, c’est superbe. Le noir et blanc est sublime et amène vraiment quelque chose de plus. Les décors, les costumes, les maquillages, rien n’est laissé au hasard. Et bien sûr pour nous présenter tout cela, la mise est impeccable. Tout comme le casting. Andrew Scott est comme toujours parfait, il tient le tout sur ses épaules. Au final, une série réussie sur tous les plans et sur toute la ligne. Sans doute l’une des meilleures l’année. Une excellente surprise. Passionnant.
La réussite réside souvent dans la sobriété. On aurait pu craindre une enieme version fade de la vie de cet escroc mais cette série est une très bonne surprise. Le parti pris du noir et blanc donne une lumière sublime à une mise en scène très réussie. Les acteurs jouent juste dans une forme d'économie du verbe qui permet au spectateur de se laisser doucement emporter dans cette fuite en avant.
Mon Dieu que c'est beau! Chaque plan est une véritable oeuvre d'art et cela n'a rien à voir avec le simple choix du Noir & Blanc totalement approprié avec le contenu du film. C'est un sens du cadrage et des décors qui laisse sans voix. Peut-être que le ramage (l'histoire) aurait pu être plus à la hauteur du plumage mais on est tellement transporté dans une autre époque (avec un N&B sublimé par une technique 2024 en Dolby Vision) et l'acteur principal tellement charismatique que c'est plus que suffisant. Meilleure série Netflix.
1 semaine après l'avoir vu, on en parle encore chez moi
Vraiment une excellente série Netflix
Acteurs vraiment parfaits
Suspense incroyable, on a adoré
J'espère une suite
Vraiment une excellente série Netflix
Acteurs vraiment parfaits
Suspense incroyable, on a adoré
J'espère une suite
Surprise ! Des images en clair obscur splendides. Un suspense digne des meilleurs Hitchcock. Des acteurs et des dialogues justes … tant que Netflix nous offrira des series de qualité comme ce Ripley, je resterai abonné 🙂
crime et amitié , ombre et lumière , noir et blanc sublime un hommage magnifique au caravage et à l Italie .BRAVO
Sublime tant par le jeu des acteurs que par la qualité de l'image, du script et surtout de l'ambiance rétro soignée.
Le tout enveloppé d'une délicieuse poésie...
Le tout enveloppé d'une délicieuse poésie...
Un chef d'oeuvre.
Photographie d'une qualité extraordinaire, servie par une réalisation en totale maitrise de son sujet.
Les acteurs sont tous très subtils et joué avec la retenue qui colle à l'ensemble.
Un grand soin est apporté dans le détail de ce que nous avons sous les yeux : chaque objets et usages de l'époque y sont mis en perspective d'une superbe manière.
L'intrigue pourrait presque passer au second plan, mais on se prête au jeu de dupe initié par Tom.
Un véritable enchantement.
Photographie d'une qualité extraordinaire, servie par une réalisation en totale maitrise de son sujet.
Les acteurs sont tous très subtils et joué avec la retenue qui colle à l'ensemble.
Un grand soin est apporté dans le détail de ce que nous avons sous les yeux : chaque objets et usages de l'époque y sont mis en perspective d'une superbe manière.
L'intrigue pourrait presque passer au second plan, mais on se prête au jeu de dupe initié par Tom.
Un véritable enchantement.
Cette nouvelle adaptation du roman de Patricia Highsmith est sans doute la plus réussie grâce à une mise en scène Ô combien inspirée de Steve Zaillian .
On louera non seulement un casting épatant (Dakota Fanning, Maurizio Lombard…) mais aussi la performance d’Andrew Scott dans le rôle de Ripley, qui est ici au sommet de son art.
Le parti pris esthétique de tourner en noir et blanc s’impose naturellement comme si cela allait de soi.
Les cadrages sont particulièrement soignés. Quant au travail sur les
ombres et lumières, il transfigure les personnages et les lieux en leur donnant cette patine si propre aux film italiens des années 60, que même le carbone 14 ne saurait mieux dater.
La série nous fait visiter des lieux iconiques de l’Italie allant de la côte Amalfitaine avec son typique village d’Atrani en passant par une Rome filmée en de somptueux clichés et enfin nous dévoile une Venise idyllique.
J’avais en mémoire la version de René Clément (« Plein soleil ») dont les ressorts de l’intrigue fonctionnaient parfaitement grâce à la séduction irrésistible qu’exerçait alors Alain Delon sur tous les protagonistes ;
Ici c’est là, peut être que le bât blesse, car Andrew Scott n’a pas nécessairement le charme pour envouter ses victimes.
Non seulement il parait un peu fade mais aussi bien trop antipathique pour être susceptible de convaincre ne serait-ce qu’une seconde son ami de ne pas le foutre à la porte avec perte et fracas.
Du coup le début de l’histoire a du mal à convaincre d’autant plus que Tom Ripley par moments joue le plus sérieusement du monde les branquignols tel un personnage typique de « Fargo » …Mais au moins « Fargo » jouait la carte de la comédie…
Mais peu importe cette petite faiblesse, Regardez cette série pour sa mise en scène virtuose qui rend un vibrant hommage aux Fellini, Antonioni et autres Bolognini, voire Losey (Eva)…, mais également son formalisme esthétique, sa beauté académique et bien sûr le plaisir de retrouver enfin des acteurs dignes de ce nom.
Car oui, quand bien même Andrew Scott (Ripley) joue parfois les balourds, il n’en demeure pas moins qu’il compose ici un personnage trouble et fascinant, transcendé par la magie du noir et blanc et conforte sa place parmi les plus grands.
Cette série proche du chef d’œuvre restera dans les mémoires et trouvera une place méritée à côté de ses illustres prédécesseurs.
NB. Le peintre Le Caravage sera tel le Charon sur le Styx, celui qui conduira Ripley vers son sombre destin.
On louera non seulement un casting épatant (Dakota Fanning, Maurizio Lombard…) mais aussi la performance d’Andrew Scott dans le rôle de Ripley, qui est ici au sommet de son art.
Le parti pris esthétique de tourner en noir et blanc s’impose naturellement comme si cela allait de soi.
Les cadrages sont particulièrement soignés. Quant au travail sur les
ombres et lumières, il transfigure les personnages et les lieux en leur donnant cette patine si propre aux film italiens des années 60, que même le carbone 14 ne saurait mieux dater.
La série nous fait visiter des lieux iconiques de l’Italie allant de la côte Amalfitaine avec son typique village d’Atrani en passant par une Rome filmée en de somptueux clichés et enfin nous dévoile une Venise idyllique.
J’avais en mémoire la version de René Clément (« Plein soleil ») dont les ressorts de l’intrigue fonctionnaient parfaitement grâce à la séduction irrésistible qu’exerçait alors Alain Delon sur tous les protagonistes ;
Ici c’est là, peut être que le bât blesse, car Andrew Scott n’a pas nécessairement le charme pour envouter ses victimes.
Non seulement il parait un peu fade mais aussi bien trop antipathique pour être susceptible de convaincre ne serait-ce qu’une seconde son ami de ne pas le foutre à la porte avec perte et fracas.
Du coup le début de l’histoire a du mal à convaincre d’autant plus que Tom Ripley par moments joue le plus sérieusement du monde les branquignols tel un personnage typique de « Fargo » …Mais au moins « Fargo » jouait la carte de la comédie…
Mais peu importe cette petite faiblesse, Regardez cette série pour sa mise en scène virtuose qui rend un vibrant hommage aux Fellini, Antonioni et autres Bolognini, voire Losey (Eva)…, mais également son formalisme esthétique, sa beauté académique et bien sûr le plaisir de retrouver enfin des acteurs dignes de ce nom.
Car oui, quand bien même Andrew Scott (Ripley) joue parfois les balourds, il n’en demeure pas moins qu’il compose ici un personnage trouble et fascinant, transcendé par la magie du noir et blanc et conforte sa place parmi les plus grands.
Cette série proche du chef d’œuvre restera dans les mémoires et trouvera une place méritée à côté de ses illustres prédécesseurs.
NB. Le peintre Le Caravage sera tel le Charon sur le Styx, celui qui conduira Ripley vers son sombre destin.
J'avoue ne pas comprendre l'avalanche d'avis dithyrambiques sur cette série... Alors oui, la photographie est superbe, l'ambiance sonore impeccable, les acteurs parfaits.
Mais la photographie ne fait pas un film. J'en suis à l'épisode 5, je veux aller au bout parce que je suis têtu, mais qu'est-ce que je m'ennuie !
Visuellement, c'est vraiment très léché. Trop léché. Chaque plan est calculé pour que l'image de début et l'image de fin soient parfaites. J'ai l'impression de regarder un roman photo. Et ça, pour moi, ça ne passe pas. C'est froid, c'est statique, c'est lent, c'est long...
Je mets la note moyenne, parce qu'en mettre une mauvaise me semblerait injuste. Mais pas plus.
Mais la photographie ne fait pas un film. J'en suis à l'épisode 5, je veux aller au bout parce que je suis têtu, mais qu'est-ce que je m'ennuie !
Visuellement, c'est vraiment très léché. Trop léché. Chaque plan est calculé pour que l'image de début et l'image de fin soient parfaites. J'ai l'impression de regarder un roman photo. Et ça, pour moi, ça ne passe pas. C'est froid, c'est statique, c'est lent, c'est long...
Je mets la note moyenne, parce qu'en mettre une mauvaise me semblerait injuste. Mais pas plus.
Une belle esthétique ne suffira jamais à porter une série sur 8 épisodes.
Il n'y a rien à dire sur l'aspect technique : tout est parfaitement exécuté. Néanmoins, il manque quelque chose pour que la série soit géniale. Globalement, elle est même ennuyeuse par moments et peut-être eut-il fallu penser à tenir le public en haleine plutôt que l'éblouir par la beauté de chaque plan.
Il n'y a rien à dire sur l'aspect technique : tout est parfaitement exécuté. Néanmoins, il manque quelque chose pour que la série soit géniale. Globalement, elle est même ennuyeuse par moments et peut-être eut-il fallu penser à tenir le public en haleine plutôt que l'éblouir par la beauté de chaque plan.