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    The L Word
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    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 7 mai 2013
    Après m'être refait l'intégrale de la série, je ne peux dire qu'une chose : incroyable . On devient totalement accro à ce groupe de femmes, bien qu'elles soient toutes très différentes les unes des autres . Les personnages sont attachants et superbement bien interprétés . Cette fiction est un clin d’œil au monde des femmes, car chacune peut se retrouver dans au moins une des héroïnes .
    On a l'occasion de redécouvrir la sublissime Jennifer Beals, qui nous a fait danser dans "Flashdance" et de découvrir la surprenante Mia Kirshner . Je n'ai qu'un seul regret : être dans l'attente comme toutes les fans, suite à la déroutante sixième saison .. spoiler: Mais qui a tué Jenny Schecter ?


    Une de mes séries préférées, et la meilleure série lesbienne existant à ce jour .

    4,5/5
    VOSTTL
    VOSTTL

    94 abonnés 1 929 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 6
    4,5
    Publiée le 12 novembre 2014
    Sortie du rayon, Saison 6, deuxième diffusion après achat de la série, soit trois ans après ; c’est indéniable, après une immersion totale des 6 saisons à la suite, Ilene Chaiken a réussi son pari : intéresser la série aux hétérosexuels ; mieux : les toucher grâce à l’universalité des thèmes : adoption, homoparentalité, carriérisme, amours et j’en passe sûrement. Près d’un mois d’immersion en compagnie de Bette et Tina, « mon » fil rouge. La Saison 6 voit une Bette qui rit aux éclats et même se moque de Weazzy en imitant son rire gras ; comparées aux saisons précédentes, elle contrôle moins, se fait plus légère et accepte même l’idée de se faire entretenir par Tina à New York ! Que de progrès ! Là encore comme à l’image de Bette « The L word » donne de l’épaisseur à tous ses personnages au fil des saisons ; ils évoluent, ils s’assagissent, ils existent tout simplement. Bette semble heureuse et semble enfin avoir atteint une certaine sérénité, un certain équilibre, et ce, grâce à Tina ! Je ne suis pas objectif, j’ai toujours pensé toujours ressenti que le couple Bette et Tina est le fil rouge de la série. La série a désigné Jenny comme le fil conducteur. Il fallait un œil extérieur, entendez un personnage provenant du monde hétéro. Il fallait son œil curieux derrière une pallisade pour introduire le spectateur dans le monde lesbien. Le spectateur ne pouvait pas être propulsé sans un minimum de précaution. Alors l’idée d’Ilen Chaiken était de prendre la main des hétérosexuels et les amener à petits pas dans ce monde inconnu. Je le répète : pari réussi. Jenny qui introduit, Jenny qui clôture la série. Jenny si fragile, bousculée, basculée dans la Saison 1 se fera tour à tour irritante, auto-destructrice, méprisante, calculatrice, manipulatrice, destructrice, usurpatrice, débectante ! Pour moi, elle a toujours fait tache, elle n’avait pas sa place au sein de cette « amille » pour reprendre l’expression de Max.
    Maintenant, cette Saison 6 était-elle pour autant nécessaire ? Première question. Mais cette saison en pose d’autres. Pourquoi 8 épisodes ? Ça me donne l’impression d’une saison sur commande, pour « faire plaisir » (c’est mieux que rien, j’ai plaisir en effet de retrouver les personnages) mais il y a comme une frustration justement en raison du parti pris et des questions qui en résultent.
    La mort de Jenny était-elle nécessaire ? Fallait-il quitter nos personnages lesbiens de cette façon ? N’y avait-il pas mieux à imaginer ? Jenny reconnaît qu’elle gêne, elle aurait pu tout simplement partir. On aurait pu la chasser, la bannir. Il y avait matière dans les derniers épisodes de la série. Elle cumulait gaffes volontaires sur maladresses contrôlées. Pourquoi a-t-elle volé les bobines du film « Lez Girls » ? Tina qui faisait partie de celles qui la soutenaient (je n’ai pas compris pourquoi car tout le temps qu’elle préparait le film et pendant sa réalisation, Tina a dû constamment se battre contre les caprices de Jenny, contre son égocentrisme voire son narcissisme) ; il aurait été intéressant de réaliser leur confrontation. Pourquoi n’a-t-on pas aussi assisté à une confrontation entre Jenny et Shane laquelle avait retrouvé la lettre de Molly cachée par Jenny ? Là aussi, j’ai été surpris de sa relation avec Jenny. Accepter d’être son toutou pour retrouver son estime m’a paru exagéré et non conforme au caractère de Shane. Elle l’explique à Alice, mais comme Alice, je ne suis pas convaincu. Shane a eu un excès de faiblesse, elle s’est laissée prendre dans la toile de Jenny. Il est vrai que Shane est surprenante et des conneries elle en a fait, la plus grosse, c’est évidemment abandonner Carmen. Quid d’Adèle ?
    Huit épisodes : ça paraît court et cette fin qui veut rien nous dire a comme un goût de bâclée ! Qui avait intérêt à tuer Jenny ? Personne. Qui l’a tuée ? Personne. Rose Rollins dans le Bonus ne voit aucun personnage qui pourrait la tuer. Ilen Chaiken nous distille une intrigue... presque inutile dans cette saison dernière. En tout cas, Ilen Chaiken nous plante là sans réponse et le spectateur doit s’en contenter. Chacun doit avoir sa théorie, la mienne est simple : Jenny s’est suicidée. Elle a tout calculé, tout prémédité. Jenny par son suicide, non seulement conclut la série, mais par delà sa mort, se replace au centre des débats. Elle fout sa merde et c’est réussi car non seulement on parle d’elle, rien que d’elle mais sa mort semble effacer ses comportements malsains. Adieu Jenny et presque par sa faute, adieu « The L word » même si Ilen Chaiken laisse envisager dans le Bonus, qu’un jour on pourrait retrouver les personnages. J’en doute.
    La série est une réussite en terme de réalisation, metteurs en scène, femmes et hommes ont fait preuve de maîtrise, parfois d’originalité, grâce à des scenarii et des dialogues bien écrits, grâce à un montage parfois inventif. Los Angeles avait un caractère provincial ; il y avait de temps à autre des vues panoramiques de la cité, mais rarement j’ai senti une ville tentaculaire, stressante, étouffante, insécure. Un L.A filmé à la manière d’un Woody Allen, assez intime et surtout ensoleillé. Réussite grâce aux actrices toutes remarquables et impliquées. On peut y déceler dans leur interprétation dans leur incarnation une revendication, une lutte, un engagement. Evidemment, à savourer en VO.
    Pour conclure, le générique du début du dernier épisode : le « L » paraphe la fin de la série, comme une initiale au bas d’un document juridique. La signature de fin de contrat. Ce simple « L » a quelque chose de solennel. Quant au générique de fin, il fait référence au théâtre : le premier passage, les personnages défilent (au ralenti), graves, encore imprégnés de leur rôle, puis un deuxième passage, plus souriants, puis un troisième, par deux, par trois comme au théâtre ; on vient resaluer parce qu’il y a rappel, parce que c’est terminé, le rideau tombe définitivement.
    Bravo ! C’est une belle série, pleine d’émotions qui a nécessairement une résonnance pour chacun d’entre nous, hétéros ou homos. Pour apprécier cette série, il ne suffit pas d’être lesbienne, d’être homo, d’être femme. On peut être homme et hétéro à la condition d’avoir une part féminine, d’être animé d’un esprit ouvert, tolérant, un esprit épris de justice, remonté par la bêtise et la méchanceté des hommes et comme Bette, croire en l’art, lequel est « la nourriture de l’esprit ». Je promets de ne plus attendre six ans pour les retrouver ! En tout cas, cette immersion fait du bien à l’âme...
    Si je mets quatre étoiles et demi, c'est plus pour récompenser l'ensemble de la série à travers la Saison 6.
    VOSTTL
    VOSTTL

    94 abonnés 1 929 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    4,0
    Publiée le 23 septembre 2013
    Sept ans d’absence et je ressors du rayon la saison 1 « The L Word ». La première impression à l’issue de l’épisode 1 et 2 : « Pourquoi j’ai acheté le DVD ? » L’épisode n’a pas vieilli, alors ça vient de moi. Pourtant, voir Bette & Tina, couple solide et amoureux en quête de sperme pour avoir un enfant était sympa ; en tout cas, lors de sa première diffusion, j’étais tombé sous le charme et du couple et de l’épisode. Puis, la deuxième diffusion lors de l’achat du DVD, j’en avais conservé la même fraîcheur parce la série dans sa globalité était une réussite et j’étais empressé de retrouver ce petit monde qui m’était inconnu. Justement, le monde de ces deux premiers épisodes m’a paru futile, dérisoire, artificiel. J’étais plongé dans une réunion de famille où amis de la famille m’étaient étranger. Pourtant, je les connaissais, j’étais ravi de les retrouver, mais le charme était rompu, je ne savais plus quoi dire et leurs tracasseries quotidiennes m’indifféraient à quelques exceptions près. J’ai eu peur d’être complètement déçu. Alors, j’ai décidé de séjourner plus longtemps. En décidant de poursuivre la série, j’ai de suite plus apprécié Shane et son look, alors que j’avais attendu la fin de la saison 1 pour en comprendre tous ses travers, sa sensibilité ; j’ai retrouvé avec autant de plaisir Alice et Dana qui se comportent parfois comme des gamines ; par contre, si j’avais de suite aimé Bette et Tina, là, je suis resté à distance. Je l’avoue, je savais pour Bette. spoiler: J’étais conditionné et j’avais été tellement déçu de son comportement lors de la première diffusion.
    J’en avais gardé le même amour lors de la deuxième diffusion. Enfin, Jenny, je m’aperçois que je suis très partagé et ça continue. Elle m’irrite comme elle peut parfois m’adoucir. Son petit minois adulescent y est pour beaucoup. Parfois, comme Tim, j’ai envie de la propulser loin de ma vue, et parfois, la prendre dans mes bras. Elle est paumée, sensible, écorchée et pour toutes ses raisons, tantôt je mets de l’eau dans mon vin (je déteste le vin) tantôt, je mets du vin dans mon eau (je déteste toujours le vin, c’est dire si Jenny me perturbe !) Bien sûr, il y a les autres comme Tim sympa, trompé mais pas homophobe, Marina, redoutable, Kit, fragile, Robin si attentionnée et si vite partie. Si Shane et Jenny galèrent, il reste que tous les personnages évoluent dans un milieu aisé. On peut regretter qu’il n’y ait pas une pièce rapportée d’une classe plus ouvrière, car la charpentière qui séduit Bette semble être une artisane assez privilégiée. En acceptant cet univers parfois futile et artificiel, on s’aperçoit cependant que le monde « L » est un monde comme un autre ; elles souffrent (peut-être deux fois plus) que les hétéros et encore, parfois, les personnages ne veulent pas être comparés aux hétéros, ils se veulent des personnages à part entière. Les clichés, les a priori ont la vie dure au même titre que pour les émigrés, les seniors, les handicapés etc... La série souligne de temps à autres que les personnages doivent être pris comme de simples êtres humains avant tout. Il y a un épisode où Bette invite son père au restaurant avec Tina pour lui annoncer qu’il va être grand-père. Tina précise que le sperme vient d’un donneur afro-américain. Le père s’en étonne et dit de mémoire : « C’est censé me faire plaisir... » et le voilà parti dans une diatribe assez violente en remontant exagérément sur ses ancêtres qui jouaient du tam-tam ! Tina veut qu’on la considère comme femme, pas comme homosexuelle ou femme d’une femme ; son propos a été maladroit, car inconsciemment, elle réduit son beau-père à une caste, celle-là même qu’elle combat en tant que femme d’une part et homosexuelle d’autre part. La faute aussi à Bette qui a voulu contrôler l’insémination en lui tenant le même discours. Tout ça pour plaire à son père. Si le propos de son père visait juste, il reste qu’il a été violent concernant leur orientation sexuelle. Refusant l’enfant car non biologique ! Des discours qu’on entend encore dès qu’il s’agit d’homosexualité alors que personne ne s’indigne chez les hétéros d’adopter un enfant du quart monde où pour le coup les origines paraissent vraiment très très éloignées ! J’ai pu lire que « The L word » en dit long sur l’Amérique de Bush, non, elle en dit long sur les mentalités des Hommes qui ont du mal à accepter, à évoluer. Il n’y a qu’à voir notre propre actualité du printemps dernier, Hollande n’est pas Bush à ce que je sache. Les artistes, les arts ont une longeur d’avance sur la société et participent activement et difficilement à son évolution, l’épisode 11 en est une belle illustration avec l’exposition « Provocation » » et l’investissement de Bette ; son émotion, dans un des épisodes précédents, où la mère Peabody lui montre une œuvre à son hôtel est contagieusement délicieuse. Alors, l’environnement privilégié était sans doute nécessaire pour accompagner ses filles et les comprendre. Si les personnages étaient toutes issues du monde ouvrier, l’art n’aurait-il pas eu sa place lequel est synonyme d’ouverture d’esprit ? Jenny écrit, Shane va coiffer des stars, Alice est journaliste, Marina est cultivée, Bette gère les affaires d’un musée d’art moderne... Non seulement, les personnages évoluent dans un univers festif, privilégié, mais baigne dans un environnement culturel, indispensable à l’épanouissement intellectuel et spirituel. L’art, l’argent sont-ils nécessaires comme véhicule à la tolérance ? Bref, la saison 1 est comme n’importe quelle série : inégale. Mais l’émotion est là et j’en suis ravi. Des sourires, des silences, des rictus parfois me font craquer. A savourer en VO. Enfin, le générique est une signature discrète est efficace. Dans "J'aime, j'aime pas", j’aime Alice, Dana, Tina, Tim, Shane, Bette, j’aime moins Jenny, Marina, je n'aime pas Tonya..
    nonos_675
    nonos_675

    20 abonnés 249 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    0,5
    Publiée le 18 février 2011
    Série totalement infecte!!! A éviter de toute urgence!!!
    Angélique B.
    Angélique B.

    4 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 11 mars 2020
    Vu, revu et encore revu et je m’en lasse pas! Cela aborde en priorité l’homosexualité mais pas que. Pleins d’histoires de ces femmes qu’on s’attache ou qu’on déteste très rapidement
    Florence L.
    Florence L.

    2 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 26 novembre 2019
    Enfin une magnifique série sur les femmes , sur ces femmes, beau drôle, touchant, sexy
    Pas mieux Un univers filmé avec délicatesse, mais aussi sex !!!
    Lauly D
    Lauly D

    3 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 5 mars 2020
    Le desperate lesbien...... J adore.... Un peu trop de baise (dixit) au lieu de sensualité peut être....
    Beaucoup d attachement aux personnages.... Ce que l ont attends surtout d une série. Les actrices sont géniales et très différentes. Le petit truc particulier * en 2004 à L. A on se croirai en 2020 en France... Mode tendance est égale..... 🤔 C est troublant.
    Nicolas C
    Nicolas C

    19 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 22 juillet 2013
    La saison 4 est de loin la meilleure. A regretter la disparition de certains personnages. Enfin du rythme, des personnages mieux écrit qui nous touchent par leur évolution. Avouez que ça stagne un peu dans les trois premières saisons.
    Cédric D
    Cédric D

    56 abonnés 303 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 14 février 2010
    C'est la serie , plonger dans le coeur de los angeles pour decouvrir une bande de copine , lesbienne qui vont vous faire decouvrir leur vie, a leur maniere.
    Entre une qui et travaille pour une radio , a l'autre qui et coiffeuse, une qui s'occupe d'art (interprete par jennifer beals flascdance), une qui et joueuse de tennis, une vrai bande de copine , que je vous conseille de decouvrir,

    Au niveau casting nous avons Pam grier , sublime ainsi que tout les autres Rachel Shelley,Mia Kirshner,Laurel Holloman.
    Je vous conseille d'ecoute l'album de la bande original de la saison 1 qui et tout simplement genial.
    6 saison de pure merveille.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 3 décembre 2012
    Série magique unique en son genre qui se penche sur la vie d'un groupe d'amies lesbiennes en évitant toute touche glauque. au contraire, un scenario solide, des personnages attachants et un décor pétillant et drôle. Vivement qu'une nouvelle série lesbienne de cette trempe refasse surface !!
    Anksuna_Moon
    Anksuna_Moon

    21 abonnés 57 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 23 juillet 2011
    Une série qui même après l'arrêt de sa production restera toujours à mon sens inégalable en terme d'originalité et de qualité! Pas besoin d'être gay pour aprécier L Word. Même si bien sur, le monde dans lequel évoluent les personnages est très féminin (il ya très peu de personnages masculins en réalité) on se rend compte très vite que les intrigues sentimentales n'ont rien de différent à celles des couples hétérosexuels. L'homosexualité est comme une toile de fond surlaquelle les thèmes de la fidélité, le désir, la maladie, la solitude, l'acceptation de soi, des autres et de leurs différences, restent les principaux sujets de ce show. Les heroïnes ont de la profondeur, viennent de milieux différents et sont à la fois très éloignées du stéréotype de la lesbienne "butch". Belles, drôles et charismatiques (le casting est excellent, Jennifer Beals qui incarne Beth, porte à merveille ses 40 ans par ailleurs!), elles partagent sur plusieurs saisons leurs peines et leurs fous rires dans un LA très glamour. En conclusion, un bijou de série, qui indéniablement nous fait regarder les choses d'un autre point de vue, nous débarrasse de certains préjugés, et ça c'est déjà pas mal non?
    Justine Dywicki
    Justine Dywicki

    19 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 11 novembre 2010
    ACCRO, dommage que la finale saison laisse encore planée quelque zone d'ombre et qu'elle fut si courte!
    Mais quoiqu'il en soit j'ai adoré cette série, à quand un film comme pour sex and the city??!
    BabsyDriver
    BabsyDriver

    80 abonnés 817 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 10 août 2010
    Dans ce beau mélodrame, Elia Kazan traite avec un grand sérieux l'adolescence, toujours édulcorée avant cette FIEVRE DANS LE SANG. Il y ajoute une situation sociale en perdition, à l'aube du crac boursier de 1929. On apprécie également les jeux opposés mais justes des jeunes Natalie Wood et Warren Beatty. Un petit classique simple, mais toujours juste.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    2,5
    Publiée le 30 juillet 2010
    une serie qui aborde sans tabou ni prejuger le theme de l'homosexualité feminine
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 28 novembre 2010
    Grandiose et Superbe série, qui montre aux Héterosexuels que le monde des lesbiennes n'est pas si différents que le leurs. Une série qui permettra à ces derniers de s'ôté de la tête l'image de la lesbienne typique genre camioneur !! Une série qui peut être vu par tous et par toute, une série où vous passerez des larmes, à la crise de fou rire !! A VOIR !!!!!!
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