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JOjo akim
10 critiques
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Critique de la série
5,0
Publiée le 27 septembre 2017
Une splendide série sur les femmes et sur les secrets que l'on garde pour soi et qui s'alourdissent avec le temps... 5 actrices toutes aussi justes les unes que les autres ! Je recommande
Un casting cinq étoiles pour une excellente série. Malgré une petite baisse de rythme sur certains épisodes, on se passionne pour ces familles au premier abord parfaites. Au fil du temps les façades se fissurent, les masques tombent, les secrets enfouis profondément remontent à la surface. Tout ça autour d'un solide fil conducteur : "qui est le personnage qui va mourir, et pourquoi ?". C'est très accrocheur. Nicole Kidman est exceptionnelle. Alexander Skarsgard, Laura Dern et Reese Witherspoon incarnent à merveille des personnages hauts en couleurs. C'est excellent. Espérons que la suite le sera tout autant.
Ces dernières années sortent souvent des séries de qualité qui sont parfois (même souvent) considérées avant leurs diffusion ou dès le premier épisode comme étant des merveilles à voir à tout prix ou encore comme la série incontournable du moment "que si tu ne l'as pas vu t'es un gros loser vivant dans sa cage" cependant il y en a quasiment 1 par mois maintenant de telle série et finalement elles ne valent pas toutes la découverte tant vantée. Et dans le cas de Big Little Lies on tombe effectivement sur une bonne série quoique que je ne la trouve pas pour autant si épatante que cela. Rien à dire sur la mise en scène ni l'interprétation, l'univers est intéressant, l'histoire voire les histoires sont bonnes et il y a un côté intelligent et réaliste bien rendu. Après peut-être que je me lasse un peu des séries, j'ai un peu moins la patience de regarder une intrigue sur plusieurs épisodes (7 c'est peu tout de même). Big Little Lies est bien ficelé (on peut trouver le final un peu gros peut-être), c'est vraiment une série de qualité c'est juste que l'enthousiasme autour me semble un tantinet exagéré pour un produit finalement pas si marquant que cela (avec des actrices moins connues cette série aurait-elle eu autant d'impact ?).
Très bons moments de visionnage. Scénario intéressant et casting au top, avec des personnages profonds. Belle bande originale et aussi très beaux décors dans les environs de Monterey. Certains épisodes se répètent et le dénouement final est trop soudain à mon goût, peu expliqué, mais l'ensemble est bien.
"Big Little Lies" est donc une mini-série adaptée d'un livre réputé (que je n'ai pas encore lu...) et qui déroule en 7 courts épisodes de 45 minutes l'histoire de trois femmes confrontées à différents types de violence masculine : de là à qualifier la série de "féministe", il y a un grand pas que nombre de téléspectateurs franchissent allègrement, et ce d'autant que la dernière scène, scène idyllique de réconciliation générale devant l'océan qui a été omniprésent au long d'un récit se déroulant dans une ville côtière de Californie, idéalise un monde débarrassé des hommes. Car "Big Little Lies" a l'intelligence de traiter de trajets individuels forts sans tomber outre mesure dans la généralisation militante, et de ne jamais excuser ni justifier les névroses et les hystéries de ses beaux personnages féminins - tous magnifiquement interprétés, il faut le souligner... L'astuce narrative du récit convergeant vers un double mystère (Qui a été tué ? Par qui ?) qui a tout d'un McGuffin mais réserve une belle tension finale, permet de maintenir une formidable energie tout au long d'une narration qui pourrait sinon paraître un peu répétitive. Jean-Marc Vallée, réalisateur assez controversé, y livre sans doute son plus beau travail : l'hyper-esthétisation qui règne est ici parfaitement justifiée par la description d'un univers bourgeois aussi sophistiqué qu'horriblement mortífère (les commentaires haineux et mesquins des témoins interrogés par la police...), mais c'est surtout le sidérant travail sur le son et la musique qui impressionne. Bref voici encore une remarquable production HBO, qui continue à porter l'étendard d'une forme artistique qui domine désormais son époque... même si l'annonce inattendue d'une seconde saison refroidit quelque peu notre enthousiasme.
David E. Kelley, papa d'Ally McBeal, et le réalisateur québécois Jean-Marc Vallée réunissent des grandes actrices dans cette mini-série tirée d'un best seller. En seulement 7 épisodes, on s'attache très facilement à ces femmes, aussi bien pour leurs qualités que pour leurs défauts. L'intrigue principale, qui semble être policière durant les premières minutes, se focalise sur leurs vies respectives et comment elles s'entremêlent via leurs rôles de mères. Jean-Marc Vallée met tout ceci en images de manière brillante. Chaque actrice défend parfaitement son personnage, les sortant des sentiers battus. Une excellente mini-série !
Entre desperate housewifes pour le casting et le pouvoir aux femmes dans la série et the affairnpour l’énigme centrale, big little lies trace ensuite son propre sillon pour nous offrir une belle mini série à la réalisation soignée et à la bande son adéquate. Quelques petits effets de style un peu inutile enlèvent un demi point à mon goût, mais l’ensemble se délecte avec grand plaisir. Une question ? Est ce vraiment utile de monter une saison 2 ? Réponse dans les prochaines semaines
Big Little Lies est une sacrément bonne surprise ! C'est surement l'ambition qu'avait Marc Cherry au moment du montage de la série "Desperate Housewives" : la vie quotidienne de femmes privilégiée et amies malgré des caractères très différents sous fond d'une mort sordide et inexpliquée (avant que ça devienne dès la saison 2 un "Feux de l'amour" complètement débile) Mais ici tout est juste, sobre, joliment mis en scène, (malgré quelques facilités musicales qui appuient un peu inutilement certaines scènes) assez chic et vraiment bien joué ! (Faut dire que Teri Hatcher ou Eva Longoria étaient vraiment cheap ) J'ai découvert Shailene Woodley, très attachante,et (re)découvert Nicole Kidman dont on a plaisir à voir qu'il reste une très bonne actrice sous les couches de botox qui enlaidissent son visage. Avalé en deux soirs, et très partagé sur une éventuelle saison 2 qui pourrait dénaturer la fin surprenante de cette saison.
Une série très forte qui met les femmes au coeur de son intrigue et de sa conclusion en en montrant de nombreuses différentes, aux personnalités complexes.
Un première saison très forte avec un casting exceptionnel qui tire parfaitement son jeu du talent de ses actrices et les met au premier plan. on est absorbé de bout en bout par les histoires personnelles et la grande histoire. Difficile d'envisager une deuxième saison mais la fin laisse la porte ouverte.
Perfection, quand tu nous tiens. Absolument rien à reprocher à cette série rigoureusement travaillée, dirigée, échafaudée et interprétée. Une série intelligente, qui a su rentrer dans la tête de ses personnages, tour à tour héroïnes et pestes, tout en finesse et cohérence, avec une approche juste et subtile, sans nous prendre pour des niais incapables de percevoir la complexité de la situation. Les actrices font un boulot phénoménal et s’approprient totalement leur costume de desperate housewives tourmentées. Ne soyons pas vaches, les acteurs aussi font la part belle à cette histoire essentiellement centrée sur des femmes. Un vrai bol d'air frais qui nous change des niaiseries habituelles, comme quoi on peut filmer des femmes sans être misogyne ni aveuglement féministe. Du cinéma (car on parle bien de ça à ce niveau) équilibré et réussi. Un plaisir.
Je défini cette série comme un «desperate housewives» version HBO, en d'autre terme en mieux ! Au delà d'un bon casting, cette série «girly» est dotée d'une belle intrigue qui parlera a tout le monde. L'histoire de trois femmes, de trois amitiés. Les personnages ne sont pas trop caricaturé et gagnent en profondeur au fil.des épisodes. Petit bémol, seulement 7 épisodes on veut savoir la suite des péripéties de cette petite ville américaine. Je recommande
il est des séries qui sortent du lot, et clairement celle-ci sort du lot. D'une finesse permanente, cette peinture corrosive de cette communauté portée par une distribution remarquable, fait mouche à chaque instant et emporte l'adhésion du spectateur de bout en bout. Violence conjugale, traumatisme à la suite d'un viol, répercussion sur les enfants, jalousie de classe sociale, tout ici sonne juste jusque dans les scènes de famille d'un naturel époustouflant. cette petite pépite est une véritable leçon de cinéma et le format resserré de 7 épisodes contribue à la force de l'histoire. une véritable pépite à ne pas manquer !