Avis Orange Is the New Black

Orange Is The New Black a agit sur moi tel un coup de foudre ! J'ai de suite accroché au délire, il m'a aussi fallu très peu de temps pour m'entiché de ses protagonistes. Encore moins pour les aimés encore plus ! Ils et elles m'ont vite fait rire c'est sur. La suite, une succession de réussite, tout en maintenant le cap, l'histoire s'est poursuivis, Litchfield est devenu de plus en plus engagé et révolté ... Moi aussi. Certes les deux dernières saisons le sont peu être moins mais au final on s'en fiche complètement tellement la série à contribué ! Les départs on été difficiles à vivres, ils ont été nombreux, certains plus durs que d'autres ... spoiler: La mort de Poussey signe un véritable basculement dans la série. Plus rien ne sera plus jamais comme avant !
L’intelligence fait corps avec le message, la saison 5 est d'ailleurs selon moi le point culminant de la série. La ou tout est possible, ou la symbiose se fait entre rage et tristesse ... Il faut donc rendre hommage à toutes ces têtes et les cités, Merci à Piper, Taystee, Suzanne, Nicky, Gloria, Cindy, Joe, Dixon, Nathalie, Tamika, Blanca, Doggett, Luschek, Maria, Poussey, Sophia et consorts ... Oui, encore merci !

Voilà typiquement le genre de série avec laquelle il faut un peu insister lorsque l'on n'accroche pas forcément immédiatement. Après une première tentative infructueuse, j'ai remis le couvert et ai enchainé les sept saisons sans coupure ! Déjà, le fait d'apprendre que le scénario est autobiographique ajoute immédiatement un soupçon de je ne sais quoi qui attise l'intérêt. Et puis, après pas mal d'épisodes, après les premières saisons, on commence à véritablement s'attacher à certains personnages qui ont tous quelque chose à raconter, en témoignent d'ailleurs les flashbacks de chacune des protagonistes qui permettent notamment de mieux les cerner. Pas de démagogie ici, en revanche de l'humour, des scènes crues et des drames, notamment liés à l'univers carcéral exclusivement féminin dépeint ici. C'est drôle, choquant, dur et émouvant à la fois et le moins que l'on puisse dire est que les saisons sont assez inégales, on a tendance à décrocher parfois puis on est repris d'un coup, c'est très souvent l'ascenseur émotionnel avec OITNB, autre petit problème également, Piper, le personnage principal est assez insupportable, heureusement, le reste du casting prend rapidement une grande importance et surtout plus de place mais alors elle, elle n'a de cesse de prendre les mauvaises décisions, de se poser en victime, de pleurnicher etc. Au final, c'est une bonne série, avec de nombreux messages et elle vaut le coup qu'on s'y attarde même si ce n'est pas forcément évident dès le début.

Un Véritable Ovni. Jenji Kohan et la chaine Netflix frappe trés fort avec cette adaptation autobiographique de Piper Kerman avec cette Dramédie Carcérale Provocante et Jubilatoire dont on devient rapidement Addictif. Pour Commencer la Réalisation est Sobre et Magnifiquement travaillé qui renforcent parfaitement l'univers Carcérale avec une ambiance Sombre et Mélancolique qui est accompagné d'une BO dynamique qui apportent énormément au récit. Ensuite le Concept est Audacieux et Foisonnant en nous montrant a travers son Héroïne Attachante et Émotif le milieu de l'univers de la Prison en compagnie des Détenues,des Gardiens,du Personnel Administratif,l'entourage des Prisonnières et des Bureaucrate dans un monde nuancé et coloré qui se différencie de la série mythique OZ en parvenant a nous tenir brillamment en haleine pendant les 13 Épisodes de ces Sept Saisons qui parvient a finir sur une note Douce Amère avec panache tout en abordant de nombreux Thématiques qui sont traiter avec une certaine subtilité comme le Féministe,la Politique,l’Homosexualité,le Système Judiciaire,les Relations Amoureuses,l'Injustice,la Rédemption,Le Pardon,l'Amitié,le Racisme,la Tolérance et plein d'autres sujets qui sans aborder sans tabous a travers un Rythme maitriser avec un véritable sens du tempo, Ajouter a cela une Succession de Séquences D'Anthologies qui arrive en un claquement de doigt a nous faire passer du Rire aux Larmes avec notamment son Humour Noir particulièrement Grinçant regorgeant de Répliques Ciselés et Savoureux en passant par un Suspense Palpitant qui nous saisit aux tripes a travers quelques Séquences Phares de la Série mais aussi une bonne dose de Violence sèche mais pas trop choquante ainsi que son lot de Scènes de Sexe particulièrement Sulfureuse et Explicites mais qui n'oublie pas pour autant de nous chambouler a travers une Émotion intensément puissante qui nous touchent droit au cœur avec ces moments Intimistes Intense et Poignantes qui contribue aux intrigues. Pour Finir le Casting est Flamboyant avec sa Galerie impressionnante de Personnages Hauts en Couleurs qui livrent une interprétation infaillible et authentique avec notamment l'actrice Taylor Schilling qui est excellente dans la peau de Piper Chapman qui une Détenue Humaniste,Déjanter et Attachante qui va progressivement s'affirmer au fil de la série, Autour de notre Héroïne on retrouve une poignée de Seconds Roles mémorables composer entre autres de Alex Vause la prisonnière aux relations complexes avec notre héroïne en passant par Nicky Nichols une détenue Sarcastique au sens de la répartie qui fusent en passant par la Rayonnante et Sympathique Lorna Morello qui est rejointe par la Charismatique Cuisinière et leadeuse Red qui dirige avec fermeté le quotidien son groupe de détenues dont les actrices Laura Prepon,Natasha Lyonne,Yael Stone et Kate Mulgrew qui sont grandiose dans leurs interprétations en passant également par toute le reste de la Distribution qui est au Diapason en étant composer respectivement de Uzo Aduba,Danielle Brooks,Adrienne C. Moore,Samira Wiley,Selenis Leyva,Taryn Manning,Dascha Polanco,Jessica Pimentel,Laura Gómez,Elizabeth Rodriguez,Lea DeLaria,Jackie Cruz,Alysia Reiner,Dale Soules,Michael J. Harney,Nick Sandow et Jason Biggs qui apportent leurs édifice a cette Distribution Remarquable soutenue par quelques Guest Stars appréciables qui viennent apporter du piment dans la prison de Litchfield. En Conclusion, Orange Is The New Black est assurément l'un de électrochocs du Petit Écran de la Décennie qui marque un tournant majeur dans l'univers des Séries Télé dont la Créatrice Jenji Kohan parvient avec panache a livrer une Comédie Dramatique a la fois Irrévérencieuse,Engagé,Irrésistible,Coloré,Bouleversant et Mélancolique qui rentre sans hésiter au rang des Séries Cultes des Années 2010 qui laisse une trace indélébile après visionnage dont on redemande volontiers.

L'émotion est de cesse en suspend ... Je n'étais pour autant pas des plus réceptifs au redémarrage de la série, j'entrevoyais déjà ce qui m'avais déplu au cours de la précédente saison. Mais voila, les détails passent, il reste l'essentiel. Cette histoire, ces femmes, ces hommes aussi, ils entrent dans nos vies autant que nous entrons dans les leurs. On retrouve quelques têtes, avec plaisir. On leurs dits tous au-revoir et merci. J'ai tant à dire et pourtant je ne parviens à ne rien écrire ...

Une série carcérale féminin d'une originalité exemplaire, que d'histoire superbe entre les personnages avec des actrices attachante inoubliable, un feuilleton à suivre sans addiction.

J'ai subi plusieurs épisodes de cette série simplement parce que ma femme l'adore, sinon je ne la regarde pas et je n'ai rien qui me pousserait à la regarder : Je n'ai jamais vu une série aussi nulle : du sexe, des peines de coeur, du sexe et encore du sexe, des gardiens tous filous, corrompus et obsédés sexuels dans une drôle de prison où toutes les détenues circulent librement et ou tout et n'importe quoi se passe. C'est Desperate housewives en prison, à ceci près que Desperate Housewives était une série encore passable, ce qui n'est pas le cas de celle-c!.
C'est nullissime et répétitif et finalement lassant : Sexe et grossièreté à gogo et c'est à peu près tout pour résumer cette série!

Immanquable ! Une des premières séries Netflix et l'une des plus réussies ! Pour pleins de raisons diverses et variées que l'on connaît maintenant cette série est à voir absolument !

Une série qui démarre bien et qui perd en qualité au fur et à mesure des saisons. Autant dire que la dernière est vraiment au ras des paquerettes.

A qui s'adresse la série ? Dans cette ère du politiquement correct, peut-on demander qui est le public d'Orange is the New Black ? J'ai l'impression que sur Allociné on ne peut pas parler d'idéologie, pourtant beaucoup de séries et de films font passer des messages politiques et leurs convictions philosophiques. Peut-on parler seulement des costumes et des décors ? Orange is the New Black a ses côtés dogmatiques assez déplaisants, ses prises de positions, ses préjugés. La série blâme la société, la critique, et montre du doigt un système qu'elle trouve inégalitaire et raciste. On peut être d'accord avec les propos sur l'inefficacité de la protection du citoyen, sur les inégalités sociales, sur les privilèges de classes, et sur les complicités à tout niveau d'un système d'oppression. On trouve aussi les messages féministes, LGBTQ et raciaux. Libres à nous d'adhérer ou pas à ces messages très revendicatifs, pas toujours justes, souvent excessifs. Le problème est que la série se prend constamment au sérieux. Comme les auteurs pensent qu'ils sont dans le camp du bien, ils décrètent qu'on ne peut pas les critiquer. C'est ce qui se passe dans certains milieux américains avec une bonne dose de moralité. C'est assez contrariant.
L'autre aspect à ne pas négliger est quand même l'aspect comique de la série. Mais certains personnages censés être drôles ne font pas rires comme Emma Myles avec ses affligeantes et trop longues scènes soit-disant drôles avec son acolyte. C'est sans relief comique et assez pénible à supporter. D'autres personnages censés défendre leurs causes ne sont pas (malgré eux) sympathiques comme pour Lea DeLaria. Il faut voir comment elle traite mal le personnage joué par Beth Dover dans la saison 6. Chantage, extorsion d'argent, procès à la va-vite devant les autres prisonnières dans une ahurissante scène de lynchage (symbolique). C'est assez scandaleux et choquant.
Néanmoins malgré ces scénarios très moralisateurs, les dialogues sont parfois piquants. Le renouvellement d'intrigues est assez bien fait, et les situations tantôt pittoresques, tantôt absurdes. Pourtant on a quelquefois l'impression de voir une troupe de théâtre amateur avec des acteurs non professionnels pas convaincants, souvent exaspérants. Ce n'est pas toujours bien joué ou ils jouent faux. Par contre c'est un réel plaisir de voir les comédiennes, Danielle Brooks Uzo Aduba et Adrienne C. Moore qui sont vraiment excellentes,

Inspirée de l'histoire de Piper Kerman, elle-même impliquée dans le tournage, la série suit le quotidien d'une nouvelle incarcérée dans le système pénitentiaire américain. IL ne s'agit pas d'une version féminine de la série Oz, laquelle était quasi entièrement centrée sur la personnalité des criminels. Orange is the new black aborde à la fois le quotidien des détenues, leur parcours personnel avant et/ou après la détention mais aussi, et c'est la plus grosse différence avec OZ hormis le niveau de violence, la politique carcérale US. La série montre la combinaison compliquée entre établissement public et gestion privatisée. Le ton général est comico-dramatique, ce qui peut parfois dérouter. Personnellement, le personnage central, intéressant dans sa transformation au fil des mois, a commencé à m'irriter. J'ai davantage apprécié les personnages autour et j'ai pris plaisir à aller jusqu'au bout des 7 saisons.

Après avoir visionné les 91 épisodes, il est temps de faire mon bilan pour cette série. Ce qui est sûr, c'est qu'elle nous pousse à la regarder et pourtant, nombreux sont ses défauts. Classée dans le genre comédie dramatique, elle utilise largement les exagérations et c'est souvent pénible. Le thème de la prison n'a rien de bien comique. C'est un monde de souffrances d'autant que certaines femmes sont vraiment là pour des délits mineurs. Alors, il me semble qu'en faire une comédie est de mauvais goût pour le moins. Ensuite, l'héroïne principale n'a aucun charisme. Elle est cultivée mais c'est une rêveuse immature, incapable de résister à ses pulsions. Elle enchaine les mauvais choix. Par ailleurs, la série abuse du thème de l'homosexualité. Cela finit par être lassant. Venons en maintenant aux qualités. Tout d'abord, les portraits variés des femmes donnent de l'intérêt avec les flashbacks sur leur vie avant la prison. La série dénonce de nombreuses pratiques violentes chez les gardiens mais aussi la privatisation qui n'a pour seul but que de dégager des bénéfices sur le dos des prisonnières. Elle dénonce aussi la politique de Trump en matière d'immigration avec la rétention des étrangères vivants depuis longtemps aux USA. Au final, très loin de la série OZ, mais suffisamment prenante toutefois.

Bon au départ, j étais pas chaud j avoue. Mais au final c est pas mal du tout. Une vision sans concession du milieu carcéral et de ses dérives. Une certaine psychologie et certains personnage attachant. Une touche d humour bien venue pour alléger l ensemble. Mais sans doute plus accessible a la gente feminime. J aurai pu donné une note plus haute sans l héroïne, car pour moi elle est vraiment agaçante peu crédible et souvent elle tombe comme un cheveux dans la soupe.

c'est terriblement bien interprété et même si on imagine le quotidien assez différent de cette fiction, on s'attache aux personnages.

Au début c'était vraiment pas mal mais c'est devenu vraiment naze dès la troisième saison. Dommage.

Plongeons dans l'univers captivant d'"Orange Is the New Black", une série qui, à travers les saisons, a su nous tenir en haleine par son audace narrative et sa richesse thématique. Chaque saison s'est construite sur le riche terreau de ses prédécesseurs, nous immergeant toujours plus profondément dans les complexités de la vie carcérale, tout en explorant la psyché humaine avec une acuité remarquable.

La première incursion dans l'univers de Litchfield nous a offert une mosaïque de personnages complexes, nous plongeant dans une exploration de thèmes tels que l'identité, la rédemption et la survie. Cette entrée en matière posait les fondements d'une série prometteuse, capable de mêler habilement humour et gravité.

Poursuivant sur cette lancée, les saisons suivantes ont approfondi ces thèmes, enrichissant leur traitement par de nouvelles perspectives et intrigues entrelacées, témoignant d'une volonté de peindre un tableau toujours plus nuancé de ses protagonistes. Chaque saison a semblé jouer sur un équilibre délicat, oscillant entre l'approfondissement des arcs narratifs existants et l'introduction de nouveaux éléments dynamiques.

Toutefois, comme souvent dans les longues narrations sérielles, certains passages ont semblé moins assurés, comme si la série cherchait par moments sa direction, oscillant entre différentes tonalités et thématiques. Ces moments d'incertitude n'ont toutefois pas entamé la substance fondamentale de la série, qui a su maintenir un engagement envers ses personnages et son public.

À mesure que la série progressait, on a pu observer une évolution notable dans le traitement de ses personnages et de ses intrigues. Là où les premières saisons plantaient le décor et définissaient les enjeux, les suivantes ont pris des risques, explorant des terrains moins familiers et poussant les personnages dans leurs derniers retranchements, révélant ainsi de nouvelles facettes de leur personnalité.

La conclusion de la série, sans révéler les détails spécifiques, a su capturer l'essence de ce voyage, offrant une résolution qui, tout en n'étant pas exempte de défauts, est restée fidèle à l'esprit de ses débuts. Elle a su boucler la boucle, en nous rappelant les thèmes et les personnages qui ont fait de cette série un phénomène culturel.

En somme, "Orange Is the New Black" s'est avérée être une série ambitieuse et profondément humaine, qui, malgré quelques irrégularités dans son parcours, a laissé une empreinte indélébile dans le paysage télévisuel. Elle demeure un témoignage poignant de la capacité de la fiction à explorer la condition humaine, avec toutes ses contradictions et sa beauté.