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Note moyenne
4,1
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Votre avis sur Orange Is the New Black ?
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87 critiques
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25 critiques
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Véritable chef d'oeuvre à mon goût, cette série est le genre à voir et revoir pour comprendre chaque détails. Les personnages sont touchants et attachants, très souvent merveilleusement bien joués, le scénario est profond et n'oublie rien: Des personnages réels, des situations à la fois drôles et dures, qui représentent justement la vie.
Pour ma part c'est le must au niveau des séries de ces derniers temps. Un bon équilibre, qui laisse une saveur enchanteresse en bouche et des étoiles pleins les yeux. Je conseille vivement!
Pour ma part c'est le must au niveau des séries de ces derniers temps. Un bon équilibre, qui laisse une saveur enchanteresse en bouche et des étoiles pleins les yeux. Je conseille vivement!
Bienvenue dans l'Amérique de Trump... L'image qui s'impose à moi en cette fin de saison 6 est celle de Diablo avec son bouquet de fleurs attendant fiévreusement la libération de Blanca en vain, libérée mais envoyée dans un bus vers l'enfer. Rien à faire de la guéguerre absolument ridicule des sœurs Carol/Barbara. Un bon point pour le match de kickball, je crois en l'effet fédérateur des sport co'. Et pour Suzanne et Nicky, absolument extraordinaires. Dégoûtée pour Taystee, mais là encore, c'est la logique. Pas assez blanche.
Au départ de la série, l'accrochage n'est pas si évident. Seulement, progressivement, le spectateur s'attache aux personnages hauts en couleur et à toutes les petites histoires entre ces femmes. Il y a des moments vraiment comiques comme la disparition du tournevis. Pas grand chose à voir avec la série Oz si ce n'est le milieu carcéral qui amplifie toutes les peurs, tous les attachements et toutes les attentes.
Cette saison surfe sur les sujets autour de la sexualité. C'est pas toujours très fin et le comique appuyé finit un peu par lasser. Ceci dit, se poursuivent les flashbacks sur la vie des taulières avec une grande diversité de cas. Certaines femmes sont en prison pour très peu de choses alors que d'autres ont commis des crimes de sang.
Dernière saison pour conclure sur ce que deviennent les femmes vues en saison 1. Pas de happy end générale, mais des sorts très variés pour les détenues et leurs gardiens. Pour Piper, on s'aperçoit que cela diverge de sa vie dans le monde réel, donc que la série n'est pas si autobiographique qu'annoncée au départ. Sans être hyper captivante, cette saison n'est cependant pas trop mal en terme de suspense.
La saison deux permet de mieux connaître les détenues ainsi que les gardiens. Il y a toutes sortes de filles, femmes, mères et grand mères dans cette prison. Et les matons ne sont pas forcément mieux que les prisonnières. Toutes ces vies nous sont racontées dans divers flashback qui donnent plus de profondeur à la série
Toute la saison tourne autour
spoiler:
de la mutinerie.
C'est pas mal au début et à la fin mais il y a un ventre mou pendant plusieurs épisodes, c'est à dire des longueurs qui font remplissage. Piper n'est pas au centre de la saison et c'est tant mieux parce que son personnage n'est pas le plus intéressant.
C'est pas mal au début et à la fin mais il y a un ventre mou pendant plusieurs épisodes, c'est à dire des longueurs qui font remplissage. Piper n'est pas au centre de la saison et c'est tant mieux parce que son personnage n'est pas le plus intéressant.
Il y a pas mal d'éléments qui me déplaisent dans cette saison 6 mais je l'ai visionnée très rapidement donc elle a toujours une grande force attractive. C'est tout ce qui tourne autour du procès de Taystee qui m'a surtout intéressée, même si le temps consacré à cet événement reste peu important. Ce qui me déplait, ce sont les exagérations de toute nature comme les jeux insensés des gardiens, la relation amoureuse entre Piper et Alex ou la lutte à mort ridicule entre les deux soeurs. Dommage que des personnages intéressants comme Sam aient disparu de la saison. L'ensemble est souvent caricatural mais la diversité des thèmes et des types de détenues sauve la saison.
Ce qu'on appelle une série légendaire, on a vécu avec les détenues toutes les étapes et les épreuves de leurs détentions. Chaque épisode durant les sept saisons y'avait un rebondissement qui change complètement la donne, un rythme soutenu qui nous a tenu en haleine ! Le casting est juste exceptionnel, les personnages attachants. Mention spéciale pour Taylor shilling (piper) Danielle brooks (teesty) que j'adore
L'Info Tout Court
Avec cette ultime saison, les scénaristes avaient alors un immense challenge : boucler en seulement 13 épisodes autant d’intrigues qu’il y a de détenues ou de personnels… Un défi laborieusement réalisé. A la fin du 13ème épisode, de nombreuses questions restent en suspens… Trop ambitieux, ce dernier baroud d’honneur d’Orange Is the New Black tente de mettre en place des nouvelles intrigues (plus ou moins réussies et plus ou moins répétitives), prenant ainsi des détours et perdant de vue l’objectif principal : conclure. Néanmoins la série est restée malgré tout fidèle à elle-même. Toujours aussi engagée, elle nous pousse à réfléchir – au-delà des conditions de détention – à la rédemption, à la justice et à la réinsertion. Tout un programme qui continue son petit bout de chemin dans nos têtes depuis 6 ans.
RealPrime
3ème et une nouvelle fois assez désenchanté du scénario global, de l'ambiance et surtout de la direction prise. Rare sont les série qui, personnellement, régresse en qualité et logique de récit au lieu de bien évidement, évoluée et monter en gamme. Ici nous sommes peu être face à la version féminine de "Prison Break" mais avec un très net recul,
spoiler:
plus rien n'est cohérent. 13 épisodes tournés tel une colonie de vacance géante ou détenues et gardiens se permettent amitiés ou familiarités, une succession de flash-back sans raisons, sans cohérences et surtout, sans explications chronologiques sur les personnes concernées, en plus d'une durée parfois insultante. Notre casting principal menant sa vie ou chaque "gang", s'il est toutefois nécessaire d'employer un tel terme, montrent bien leur hostilités communes mais, aucune vulgarités, aucune provoque pour 0 tensions. Une initiation religieuse totalement "WHAT !" survenue qui rend, pardon de le dire, complètement niaise l'intrigue tant le jeu des femmes devient celui d'une secte aliénée. Seul point crédible, le "trafic de culottes" ramenant une pointe de criminalité et encore. Puis ce final, qui aurait nettement dû provoquer une explosion visuelle, n'aura été qu'un bouquet final à l'incohérence de cette saison. Aucune réaction des gardes, des détenues qui ne veulent qu'une chose, aller se baignée et non s'évadée ??? Là ou Mickael Scofield et ses compères réalisaient de sublimes envolées tendues, on est là face à un bande de gamines joyeuse mais pas dans le bon sens du termes.
L'ultime plan est la touche finale menant assurément, mais sans vraiment le dire, à une saison 4 tout aussi incohérente. Sans moi.
L'ultime plan est la touche finale menant assurément, mais sans vraiment le dire, à une saison 4 tout aussi incohérente. Sans moi.
RealPrime
Une saison toujours si riche en épisode mais toujours si longue sur ces derniers. Il y à réellement depuis quelques années maintenant, une différence de longueur et de durée en passant du simple au double. Ici, entre un premier et dernier d'1h30 plus 50 min chacun, nous ne sommes plus en présence d'une série mais d'un long métrage XXL, ce qui n'est pas du tout bon en raison de la non évolution des personnages, d'échanges quotidiens toujours si nombreux ainsi et à mon grand regret, de flash-back toujours présent certes mais trop vite montrer. Il sera clairement bien qu'en saison 3, ces derniers soient nettement plus nombreux et long aussi bien pour mieux comprendre le passé respectif des détenues plutôt que de suivre d'interminables échanges et querelles rendant très sincèrement le programme aussi long que banal. Les mêmes échanges chez "Prison Break" étaient nettement plus corser et ponctuer de tension alors qu'ici, trop peu. L'unique surprise fut le retour très rapide de Pablo Schreiber aussitôt reparti. La relation hyper intéressante de nos tourtereaux prend un virage dangereux mais n'est pas plus exploitée. Quand à notre protagoniste blonde, le départ aussi surprenant de sa "copine" et les nouveautés côté famille furent l'unique piment inédit de la saison. Voilà donc, 13 long épisodes pour peu d'évolution, espérons la 3ème.
RealPrime
Il y eu "Prison Break", il y désormais à "Orange..." pour les femmes dans un récit dramatique certes mais avec nettement plus d'humour, de "poésie" et donc, moins de noirceur. Était-ce donc l'objectif de cette saison d'intro de mettre en valeur des passages plus doux, plus discret avec quand même leur lot de scènes percutante mettant bien en avant ce que les hommes de pénitence aiment penser, aiment faire et aiment regarder face à des femmes aussi jeunes qu'âgées au passé souvent plus simple qu'on ne pourrait le croire. Des flash-back instantanés très simple à suivre sur le passer et le devenir de chacune de ces femmes dont le destin fut de les envoyer aussi bien par leur volonté que contre leur grès derrière les barreaux. Un casting principal et secondaire sincère et percutant ou le duo désormais iconique Taylor Schilling / Laura Prepon marque d'abord par sa royale opposition avant de s'en remettre à leur sentiment retrouver. Un jeu intéressant. Dascha Polanco et Matt McGorry forment eux aussi ce second duo naissant des murs sombres et donnant vie à cette romance que j'avais rarement vu dans un programme de ce genre. La détenue aux yeux d'un très jeune agent que l'on pourrait tant croire comme sa proie facile avant d'être réellement sa proie sentimentale. Quant à Pablo Schreiber, il devient en l'espace de quelques épisodes l'homme à abattre tant sa vision perverse est cruelle et insupportable. Un personnage sans foi ni loi. Enfin, le grand retour de la star d'une saga "sexuelle" culte ayant terni, Jason Biggs pour une fois dans un rôle dramatique très convainquant ou son mental est bien malmener. On ne peut pas facilement oublier son rôle historique tant son charisme l'aura si bien suivi. Un premier récit très facile suivant toutes ces femmes dans un cadre de quasi non violence ou le relationnel est très bien montrer et développer, une saison 1 avec sa photo très ancrée et une très bonne direction globale. Nouvelle série culte à découvrir.
Pas mal comme fin de série mais pas nécessairement très utile, s'arrêter à la saison 6 aurait été tout à fait bien ! Mais cette saison en plus n'est pas hors sujet non plus, elle affine une bonne saison 6 en ajoutant quelques mort et maladies mentales en plus pour tenter de pimenter le tout.
Surprenante. Notamment au regard du nombre de saisons. J'ai débuté cette série lors de son clap de fin, sans avoir connaissance du déroulé ou de l'intrigue. Et on s'y prend facilement dans l'histoire. Les jeux d'acteurs sont bluffants pour certaines et rien ne se répète. On tomber parfois dans le cliché des séries "en milieu carcéral", mais cela reste envisagé autrement. Surprenante ! Et chapeau à Uzo Aduba (Suzanne) !