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Critique Spectateur
Un visiteur
3,0
Publiée le 11 mars 2013
Toujours dans le même domaine des alter-égo de la même manière que "C'est donc ton frère" ou le court-métrage "Les Bons Petits Diables", Laurel et Hardy se travestissent dans "Les joies du mariage" ou ils interprètent à la fois leur propre personnages, mais aussi le rôle de leurs femmes respectives. Toutefois, si le script de base paraissait génial, "Les Joies du mariage" est un Laurel et Hardy, certes toujours drôle grâce au génie ...
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