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Synopsis
Le cinéma de Guy Debord, associant images detournées et commentaires off, prolonge le refus critique du spectacle developpé par l'auteur dans ses livres et dans son activité au sein de l'Internationale situationniste.
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Bande-annonce
In girum imus nocte et consumimur igni Bande-annonce VF
16 613 vues
Critique Presse
Chronic'art.com
Fluctuat.net
Les Inrockuptibles
Libération
aVoir-aLire.com
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Bon je ne connais pas Guy Debord et je m'en cogne pas mal de sa vie, je ne savais même pas qu'il avait fait du "cinéma" (si on peut parler de cinéma tant c'est une négation de tout ce qui fait du cinéma un art) (vu que je ne sais pas qui c'est, logique, faut suivre un peu).
Et vu que je ne le connais pas, je suis méfiant, c'est-à-dire que je vais être critique, je ne vais pas me laisser embarquer dans toutes les conneries potentielles ...
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Un visiteur
5,0
Publiée le 29 septembre 2006
Un des films les plus incroyables jamais réalisé. A voir à tout prix. Debord, toujours sans aucune concession!
Attigus R. Rosh
194 abonnés
2 509 critiques
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0,5
Publiée le 14 novembre 2020
In girum imus nocte et consumimur igni est un film bien peu intéressant dans le fond et dont la forme est assez repoussoir.
Ce long-métrage a un format bien particulier : une série d'images assez déconnectées les unes des autres avec par-dessus une narration au ton incroyablement monotone (pour ne pas dire soporifique). Et histoire de combler le tout, les propos énoncés par la narration sont particulièrement ennuyeux et inintéressants. ...
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Un visiteur
0,5
Publiée le 29 septembre 2006
Honnêtement, au risque de déplaire à l'inteligentsia anarchiste parisienne, s'il en reste une, le film est décevant.
L'histoire d'une rébelion dont on ne saura jamais rien, le combat fumeux de quelques êtres supérieurs à la masse des classes moyennes (à laquelle j'appartiens, mais non, ce n'est pas parce que j'ai été dérangé dans mon amour propre que je n'ai pas aimé). Le film n'est pas bon, même si son caractère de témoignage ...
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" Nous pensons d'abord qu'il faut changer le monde. Nous voulons le changement le plus libérateur de la société et de la vie où nous nous trouvons enfermés. Nous savons que ce chantage est possible par des actions appropriées. " Guy Debord." Il est interdit d'interdire. " Jean Yanne" Ne travaillez jamais. " G. Debord
In Girum manifesto
C'est le dernier film de Guy Debord . S'il est fortement autobiographique (donc spectaculaire), Debord l'ouvre sur des images de spectateurs de cinéma ou d'employés dans des situations banales, renvoyant le public à prison quotidienne, dans une perspective situationniste. L'auteur revient sur les moments phares de sa vie, et s'inscrit en opposition à ses spectateurs en se montrant comme un modèle singulier, un exemple impossible à suivre.
Vous avez dit situationnisme ?
Plus exactement l'Internationale Situationniste (IS), dont Guy Debord est le fondateur et figure de proue au milieu des années 50. Le mouvement, constitué de théoriciens et d'expérimentateurs, prône le dépassement de la société de classes oppressive et la lutte contre l'idéologie de la modernité – en particulier de la société du spectacle et des loisirs. D'inspiration marxiste libertaire, l'IS a joué un rôle déterminant lors des révoltes de Mai
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