Djibril à la vingtaine, ses poches sont vides, sa copine vient d’avorter, sa mère est trop collante, et son père métis n'a jamais quitté l'Afrique pour le rencontrer. Il rêve de partir pour l'Afrique sur les traces de sa propre histoire, et de la nôtre. Ainsi commence sa déambulation inconsciente, des toits en tuiles aux routes asphaltées endommagées, des bars d'activistes aux petites salles qui ne ferment jamais, s'ouvrant à de nouvelles rencontres.