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Synopsis
A Alger en 1993, alors que debute la guerre civile, les locataires de Mme Osmane doivent subir ses acces d'humeur. Son mari l'a abandonnee et la peur de perdre sa respectabilite la hante. L'ancienne maquisarde de la guerre d'independance s'acharne a controler les faits et gestes de sa maisonnee plutot que de lutter contre ses propres frustrations. Apprenant que sa fille est tombee amoureuse, la perspective de se retrouver seule va pousser cette femme encore tres desirable au paroxysme: le "harem" symbolique de Mme Osmane est sur le point de s'ecrouler.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Je n'ai jamais reussi a rentrer dans ce portrait "d'Algeroises sous le couvre feu" dixit l'affiche ,seul la grande Carmen Maura qui incarne le personnage central de Mme Osmane est parvenue ,par son rayonnement autant physique que verbal a capter un temps soit peu mon attention.Vouloir depasser l'image d'epinal que l'occident se fait de la condition feminine au Magreb ,en brossant le tableau de jeunes femmes emancipés ,sexy et au language sans ...
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manoj94
44 abonnés
642 critiques
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0,5
Publiée le 16 avril 2010
Une véritable déception. En effet, on assiste à un film sans queue, ni tête... L'histoire, traitant d'un sujet inédit, qui se devait d'être originale et intéressante, est malheureusement très ennuyeuse et ne provoque aucune étincelle chez le spectateur. Ce n'est pas du tout prenant, toutes les scènes sont lourdes de longueurs inutiles, les personnages ne sont pas attachants et les actrices surjouent en permanence... Toute cette ...
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selenie
6 181 abonnés
6 168 critiques
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1,0
Publiée le 10 janvier 2010
Après avori vu "Viva Laldjérie" et "Delice Paloma" je trouvais intéressant de voir le premier film de la réalisatrice. Il est clair qu'elle a un style de mise en scène bien à elle mais dans ce premier film il y a un défaut de taille l'intérêt. D'abord l'idée est bonne, une femme de tête a peur de vieillir et de rester seule elle tente de garder la tête haute en surveillant encore de plus près son petit monde. Mais jamais la cinéaste ...
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ebey
7 abonnés
12 critiques
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5,0
Publiée le 30 juin 2011
un film tendre, cynique et tragique. Haut en couleurs. Une actrice principale qui a su rentrer dans la peau d'une Algéroise pure souche et au charisme certain. Empli de ces seconds rôles auxquels on s'attache, portrait d'une tranche de cette société. Un film profondément humain. Clin d'oeil à la chanson de Biyouna et à la phrase de fin. A voir.
Pour Le harem de Mme Osmane, Nadir Mokneche a été lauréat du Grand Prix du Meilleur Scénariste 1998. Le harem… est son premier long métrage.
Femmes aux bord de la crise de nerfs…
« Ce côté hystérique des femmes dans mon film je l'ai voulu absolument, même si c'est casse-gueule, parce que c'est une réalité » commente Nadir Moknèche. « J'en sais quelque chose, moi qui n'ai été élevé que par des femmes et qui fuis leurs cris ! En France, on se représente toujours l'ensemble des femmes algériennes comme des victimes, des muettes qui portent un turban sur la tête et mangent des olives. Je prétends que c'est faux. Elles sont au
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Didier Haudepin, acteur et réalisateur, mais aussi producteur
Parmi les films produits par Didier Haudepin, outre Le harem de Mme Osmane : Personne ne m'aime, Regarde les hommes tomber L'autre côté de la mer.