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Synopsis
Un hommage à la peinture d’Edward Hopper et à la vie quotidienne américaine des années 1930 aux années 1960, avec la mise en scène de treize de ses tableaux prenant vie et restituant le contexte social, politique et culturel de l’époque à travers le regard du personnage féminin, Shirley.
Personnage directement inspiré de Joséphine son épouse, un modèle unique et froid. La vision d’une réalité ordinaire, sans concession.
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Bande-annonce
Shirley, un voyage dans la peinture d'Edward Hopper Bande-annonce VO
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Voila qui nous change de tous les films habituels. Le film est très lent et statique. La caméra est plantée face au décor et ne bouge pas. Parfois un zoom et non un travelling car c'est bien un œil de peintre qui conduit le notre. Le parti pris du réalisateur est de nous raconter l'histoire d'une femme, Shirley, comédienne, à partir de 13 tableaux d'Edward Hopper. Un photographe, Richard Tuschman, avait déjà tenté l'expérience en ...
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Un visiteur
4,5
Publiée le 22 septembre 2014
Ce film n'est pas un biopic sur Hopper, ni même un documentaire sur son oeuvre mais bel et bien une fiction autour de ses toiles. L'exercice, ambitieux, est néanmoins très réussi, parfois spectaculaire tant le travail effectué dans la reconstruction des peintures à grande échelle (les lumières notamment) est titanesque.
Une belle surprise en somme, doublée d'une autre : celle d'entendre Fréhel ou Cora Vaucaire dans la BO de ce film ...
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Un visiteur
4,0
Publiée le 5 octobre 2014
Je ne sais pas si j'ai tout compris de l’œuvre de Hopper, mais une chose dont je suis sur, c'est que le cinéaste a su prendre cette étrange ambiance qui émane des tableaux du peintre. Il a su y apporter de l'avant et de l'après qui ne dénature pas un instant le moment figé du tableau.
Le mouvement, essence même de l'art cinématographique, la dynamique son, des musiques apportent un regard nouveau sur l’œuvre picturale. Ils ne ...
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Un visiteur
5,0
Publiée le 22 septembre 2014
Ce film est une merveille, une sorte de bijoux qu'on ne retrouve pas assez sur nos écrans. Le rythme à la fois lent et enivrant nous embarque profondément dans les abysses de la peinture hopperienne. Une manière très intéressante et innovante de concevoir la peinture au cinéma. La symbiose de ces différentes applications artistiques offre un cokctail détonnant et plein de surprise. Outre le caractère esthétique, le film propose une ...
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Le réalisateur Gustav Deutsch décida que Shriley serait une femme forte, charismatique et volontaire à cause de la foi qu'il pense que les gens avaient à cette époque aux Etats-Unis : la confiance en une égalité possible entre les personnes et notamment entre les hommes et les femmes.
Bande-annonce atypique
A la fin de la bande-annonce de Shirley : Visions of Reality, le spectateur est interpellé par la jeune femme de la peinture, qui le montre explicitement du doigt avant de dire : "Le conseil que je vous donne c’est de ne pas vous demander "pourquoi" ou "comment", mais de manger votre glace et d’en profiter tant qu’elle est dans votre assiette. Voilà ma philosophie." L'actrice brise ainsi le quatrième mur et inscrit le film dans le plaisir de la c
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Du cinéma à la peinture au cinéma
Gustav Deutsch décida de se pencher sur les oeuvres picturales d'Hopper en partie à cause de l'importante influence qu'exercèrent les films noirs des années 30 sur le peintre, mais aussi parce que l'artiste influença à son tour nombre de réalisateurs passés et contemporains tels Hitchcock, Jarmusch, Scorsese ou Wenders. L'oeuvre du peintre fait par ailleurs parfois directement référence au cinéma comme avec "Cinéma à New York" datant de 1939.