Le pire style du cinéma hollywoodien même si Marlène Dietrich bénéficie d'une lumière intéressante. Le scénario est gnan gnan et la réalisation laborieuse. Sainte Marlène et saint Charles priez pour nous, Amen!
Un visiteur
3,0
Publiée le 29 octobre 2018
L'histoire d'amour entre Dietrich et Boyer est d'une mièvrerie... Alors bien sur c'est de Selznick donc on en prend plein la vue : belles couleurs, gros moyens, belle photographie, et il y a aussi la beauté de Marlene qui a une superbe garde-robe dans ce film. C'est le point fort de ce jardin d'allah.