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Synopsis
Dans la cour d’école d’un paisible village japonais, quatre fillettes sont témoins du meurtre d’Emili, leur camarade de classe. Sous le choc, aucune n’est capable de se souvenir de l’assassin. Asako, la mère d’Emili, désespérée de savoir le coupable en liberté, convie les quatre enfants chez elle pour les mettre en garde : si elles ne se rappellent pas du visage du tueur, elles devront faire pénitence toute leur vie. Quinze ans après, que sont-elles devenues ? Sae et Maki veulent se souvenir.
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Bande-annonce
Shokuzai - Celles qui voulaient se souvenir Teaser VO
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Très beau et tout en finesse, le réalisateur qui m était a ce jour inconnu signe une œuvre poétique possédant une grande force d attraction et qui en dépit d une certaine lenteur pas nécessairement gênante parvient à nous garder sur nos sièges. Très bon scénario malsain sans pour autant dépasser la ligne de la grande violence, le réal parvient a nous emporter deux heures durant dans son univers étrange mais extrêmement intéressant.
Robin M
70 abonnés
283 critiques
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3,5
Publiée le 28 mai 2013
Projeté lors du 15e Festival de Deauville
Le documentariste français Oliver Meyrou ironisait sur la place de la télévision dans l’art en disant « Le cinéma est un art, la télévision est un meuble ». Il met alors en place une frontière nette entre les deux supports oubliant les passerelles qui les lient : les Séries. Les réalisateurs sont de plus en plus nombreux à tenter l’aventure télévisuelle comme Scorsese (Broadwalk ...
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tixou0
697 abonnés
1 999 critiques
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3,5
Publiée le 12 juin 2013
Ce "Pénitence" ("Shokuzai) est dans cette 1ère partie (2 h) très "japonais". Je veux dire par là que le contexte, les caractères, les postures, la morale.... tout est déconcertant pour le non-nippon (surtout occidental). Cela étant, ce drame par tableaux (ici, un prologue et deux histoires) a tout d'un drame à l'antique, même si les obsessions et codes traditionnels sont bien celles de certains Japonais, et ceux qui perdurent dans le ...
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traversay1
3 567 abonnés
4 859 critiques
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4,0
Publiée le 2 juin 2013
A la sortie de Shokuzai-Celles qui voulaient se souvenir, on a hâte d'une seule chose. Voir si la seconde partie, parait-il plus réaliste, confirme l'impression que l'on a véritablement affaire à une oeuvre d'une force peu commune, dont le style épuré distille un malaise persistant. Sans doute que l'on perd au change avec deux films en lieu et place d'une série mais la nature du projet et son ambition sont bien et oh combien présentes. La ...
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Shokuzai est l'adaptation d'un best-seller écrit par la romancière Minato Kanae, ce qui a constitué un véritable défi pour le réalisateur Kiyoshi Kurosawa, qui a dû apprendre à composer avec une histoire déjà écrite : "J’ai surtout découvert, avec une certaine appréhension, le devoir de fidélité au contenu du best-seller que j’adaptais. Je n’étais pas sûr de savoir ni d’aimer le faire", explique-t-il, en poursuivant : "Il s’avère qu’autant en ter
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Rôles à contre-emploi
Les cinq comédiennes héroïnes de Shokuzai sont toutes très populaires au Japon grâce à leurs rôles dans des films ou séries télévisées ; quant à Kyôko Koizumi, elle est une chanteuse pop extrêmement médiatisée depuis son enfance. Kiyoshi Kurosawa leur a offert des rôles à contre-emploi qui pouvaient surprendre les fans : "Toutes ont été très enthousiastes à cette proposition. Peut-être parce que ces rôles leur permettaient de dépasser une frustra
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Question de titre
Shokuzai signifiant "pénitence" en japonais, Kiyoshi Kurosawa aurait volontiers changé de titre s'il en avait eu la possibilité. Il confie : "Ce titre original m’a en quelque sorte été imposé, puisque c’est celui du roman. Mais je ne l’ai pas du tout interprété sous l’angle de la religion. Plutôt comme quelque chose qui a effectivement à voir avec l’idée de destin". Le réalisateur avait en tête un autre titre, plus évocateur du sentiment de ses h
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