N'ayant pas réussi à gagner l'honneur dans les arènes, Juan Bautista va à Barcelone dans l'espoir de se faire un nom dans le chant et dans la tauromachie. L'imprésario Francisco Carbonell consent à lui donner sa chance à la condition qu'il arrive à séduire la belle Olimpia, la plus célèbre courtisane de la ville, en moins de trois jours.