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Synopsis
Dans une ville de province indéterminée, le fils d'un notable complètement ivre écrase un ouvrier au petit matin. L'affaire est étouffée et un journaliste témoin de la scène, Michel Dolannes, se voit prié par son patron d'oublier ce qu'il a vu, le père du coupable étant un annonceur important. Las de mettre son honneur professionnel dans sa poche, "Mick" décide alors de fonder un journal digne de ce nom pour dénoncer les turpitudes des puissants, aidé par un copain du journal et une fantasque jeune femme russe qui a fui l'URSS. Mais on ne s'en prend pas impunément aux pouvoirs en place…
Quelle idée a eu Mocky de jouer lui-même dans le film alors qu'il ne sait pas faire ! Et c'est vraiment dommage même si dans la durée on fait avec. Sinon nous avons là une impressionne brochette d'acteurs qui font tous bien le taf. Le film repose sur une demi bonne idée S'il est réjouissant de voir les "puissants" tous impliqués dans magouilles et compagnie quelque soit leurs bords, l'image du journaliste "chevalier blanc" reste un peu ...
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soniadidierkmurgia
1 189 abonnés
4 177 critiques
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3,5
Publiée le 16 mars 2013
Sacré Mocky ! Ses films sont bancals et parfois si farfelus ou graveleux qu’ils n’ont ni queue ni tête. C’est sûr on aime ou on n'aime pas, pas de demi-mesure avec Mocky. Moi j’aime et je ne sais pas toujours pourquoi c’est bien ça qui est le pire. Ces films sont faits de bric et de broc, souvent mal joués principalement quand Mocky lui-même est de la partie et malgré tout ça Mocky retombe souvent sur ses pattes arrivant à ...
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this is my movies
706 abonnés
3 087 critiques
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3,5
Publiée le 17 août 2017
Véritable brûlot pamphlétaire signé par un Mocky plus enragé que jamais, qui s'empare d'un roman éponyme de McCoy, le cinéaste en colère signe un film qui vaut surtout pour ses dialogues certes pas très subtils mais diablement efficace, jamais avare en formules qui claquent et en bons mots décapants, le tout déclamé par une brochette d'acteurs absolument ahurissante : Carmet, Marielle, Galabru, Serrault, Constantin, Gélin, Lonsdale ...
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Nelly M.
96 abonnés
525 critiques
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4,0
Publiée le 8 août 2009
C'est un réel plaisir de suivre des monstres sacrés comme Francis Blanche, Michel Serrault, Galabru, Longsdale, etc. Les seventies en France sont bien retranscrites avec cette sexualité présentée du seul côté mâle dans la manière de ressentir, le donjuanisme qui fait pour le héros tomber ces dames comme des mouches (à grands renforts de Sylvia Kristel, stéréotype du "phallocrate" patenté), d'un bout à l'autre de l'échelle sociale, ...
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