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Votre avis sur Mad Dog and Glory ?
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Je l’avais vu à sa sortie et incroyable je ne me rappelais plus de rien !
Pas même de la présence de Bill Murray en mafieux ! Je savais que Robert De Niro et Uma Thurman étaient de la partie.
Mais qui faisait quoi ?
Par contre, je dois avouer que j’avais un souvenir diffus d’une Uma Thurman dénudée.
spoiler: C’est bien dans ce film où elle se dénude
; elle est éclatante de talent et de beauté.
On voit un Robert De Niro peureux, pas à sa place dans la police où il est photographe de scènes de crime. Un quidam résigné comme tant d’autres.
Cette fois ci, il fait face à un mafieux mais l’amour qu’il porte pour Glory lui permettra de dépasser ses peurs.
Je comprends que le film peut dérouter, il mixe deux genres : la comédie sentimentale et le genre gangsters.
En ce qui me concerne, je trouve le glissement progressif, glissement à l’image du comportement de Frank Milo sous les traits de Bill Murray.
Au commencement, le jeu de Bill Murray est sur le ton de la comédie puis peu à peu le film bascule dans le genre gangsters. En soi, j’ai eu du mal à prendre au sérieux ce mafieux qui s'exerce au stand-up ! Et par voie de conséquences prendre au sérieux le film !
Un film surprenant pour son côté hybride, insaisissable et pour le couple Robert De Niro - Bill Murray à contre emploi.
En tout cas, j’ai passé un bon moment.
A voir en V.O… si vous voulez.
Pas même de la présence de Bill Murray en mafieux ! Je savais que Robert De Niro et Uma Thurman étaient de la partie.
Mais qui faisait quoi ?
Par contre, je dois avouer que j’avais un souvenir diffus d’une Uma Thurman dénudée.
spoiler: C’est bien dans ce film où elle se dénude
; elle est éclatante de talent et de beauté.
On voit un Robert De Niro peureux, pas à sa place dans la police où il est photographe de scènes de crime. Un quidam résigné comme tant d’autres.
Cette fois ci, il fait face à un mafieux mais l’amour qu’il porte pour Glory lui permettra de dépasser ses peurs.
Je comprends que le film peut dérouter, il mixe deux genres : la comédie sentimentale et le genre gangsters.
En ce qui me concerne, je trouve le glissement progressif, glissement à l’image du comportement de Frank Milo sous les traits de Bill Murray.
Au commencement, le jeu de Bill Murray est sur le ton de la comédie puis peu à peu le film bascule dans le genre gangsters. En soi, j’ai eu du mal à prendre au sérieux ce mafieux qui s'exerce au stand-up ! Et par voie de conséquences prendre au sérieux le film !
Un film surprenant pour son côté hybride, insaisissable et pour le couple Robert De Niro - Bill Murray à contre emploi.
En tout cas, j’ai passé un bon moment.
A voir en V.O… si vous voulez.
Un flic de pacotille, un mafieux de pacotille, une call girl de pacotille, bref vous avez compris le concept. Mais pour incarner ces loosers, on a le droit à la crème des crèmes, et des seconds rôles impeccables; comme David Caruso en flic petite teigne.
La jeune Uma Thurman, moue boudeuse et séductrice d'un De Niro emprunter.
Ici on joue avec les codes, sans les ridiculiser mais sans pour autant les sublimer; on s'en sert pour créer une comédie légère. On ne rie pas franchement, mais on a souvent le sourire facile face à tant de facétie, notamment dans la scène de crime où De Niro actionne le jukebox et chantonne "I'm just a Gigolo". Cocasse.
La jeune Uma Thurman, moue boudeuse et séductrice d'un De Niro emprunter.
Ici on joue avec les codes, sans les ridiculiser mais sans pour autant les sublimer; on s'en sert pour créer une comédie légère. On ne rie pas franchement, mais on a souvent le sourire facile face à tant de facétie, notamment dans la scène de crime où De Niro actionne le jukebox et chantonne "I'm just a Gigolo". Cocasse.
Produit par Martin Scorsese et réalisé par John Mc Naughton, "Mad Dog and Glory" est une comédie policière décalé et attachante qui suit un policier qui ne se trouve pas assez solide, corps et ame, qui a des complexes physiques, fait copain avec un humoriste ayant lien à la mafia et témoin de meurtres, jusqu'à avoir une femme lui appartenant va vers le personnage principal en étant d'abord un fardeau puis de tomber amoureux. John Mc Laughton, c'est le réalisateur qui a fait le surfureux et tordant "Sexcrimes" par la suite, mais ici, je trouve qu'il fait du bon travail au niveau de la mise en scène, ajoutant mème qu'on se croirait dans un long métrage de son producteur Martin Scorsese à ses débuts. Ce qui vaut sa réussite, c'est l'interprétation de Robert De Niro dans un role d'un type complexé qui va s'améliorer par la suite avec cette femme incarné par la jolie Uma Thurman, on a tendance a l'oublier aujourd'hui mais à l'époque, c'était un acteur bourré de talents. A ses cotés, il y a le parfois drole Bill Murray et dans les seconds roles un certain David Caruso ("Les experts"). Une oeuvre que je conseille.
Film ou j'en attendais énormment vu que j'avais beaucoup aimé le premier film du réalisateur et aussi "sexcrime".... un trio d'acteur impecable je m'attendais un film policier d'auteur avec plein de rebondissement et c'est en fait une sorte de vaudeville ennuyeux comme pas possible....
Les acteur sauve un peu le film....
Les acteur sauve un peu le film....
Produite par Martin Scorsese, une comédie policière sympathique, qui brille plus pour son casting séduisant que pour son scénario qui s’essouffle rapidement malgré un début prometteur.
Superbe comédie policière dont l'originalité est que De Niro et Bill Murray sont tous deux à contre-emploi. Quant à Uma Thurman, elle est fondante. Moralité: être amoureux vous rend courageux.
John McNaughton réalise Mad dog and Glory en 1991 qui ne connaîtra un début d’exploitation en salles que deux ans plus tard. Pourtant, ce polar virant sciemment vers une comédie au ton volontiers ironique est pourvu d’un scénario sans temps mort et d’un beau casting regroupant Robert de Niro, Bill Murray, Uma Thurman et David Caruso dans les rôles principaux. A cela s’ajoutent la photographie de Robby Muller et la musique de Elmer Bernstein. Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com/2021/04/01/mad-dog-and-glory/
Le scénario est anecdotique, par contre quel plaisir de retrouver DeNiro et Murray face à face, dans une sorte d'inversion des rôles en plus : c'est Bill le mafieux et Robert le maladroit. La confrontation réserve quelques bonnes surprises et le film permet également de rencontrer une Uma Thurman toute jeunette et toute mimi.
gabdias
Un film atypique on part sur les bases d’un polar bien dense dans le New-York des nineties et on tombe dans une romance sur base de chantage au ton très léger. Déroutant car on s’attend à tout sauf à ce qu’on voit, Bob de Niro est génial est flic en peu benêt et peureux. Sorte de prémice avant l’heure de Mafia Blues, trio détonant pour bonne surprise.
Mad Dog and Glory résume ce qui ne va pas à Hollywood depuis de nombreuses années. Il essaie de faire des films de genre croisé qui plaisent à tout le monde. Robert DeNiro joue le rôle de Wayne Dobie un flic trop affable pour son propre bien et qui préfère être photographe . Il est flic dans une grande ville et après tant d'années il vient de comprendre qu'il préfère faire autre chose. J'étais aussi curieux (en plus de donner un nom percutant au film) de savoir pourquoi il s'appelle Mad Dog s'il est si doux. La raison de ce choix aurait pu expliquée quelque chose mais j'ai eu du mal à suivre car il changeait sans cesse de genre. La séquence d'ouverture crie que ce sera un thriller urbain violent, très violent il y a des passages après cela qui laissent entendre qu'il pourrait s'agir d'une comédie puis le film s'installe dans une comédie romantique. Les producteurs peuvent penser qu'ils font un film pour tout le monde mais si vous faites un film avec quelque chose pour tout le monde vous risquez fort de faire un film avec quelque chose pour personne...
C'est en regardant le très dérangeant Henry Portrait of a serial-killer que Martin Scorsese eut l'idée improbable de proposer le script de Mad Dog and Glory à son réalisateur John McNaughton. Sortant d'un cuisant échec commercial avec son second long-métrage The Borrower, McNaughton vit là l'occasion inespérée de travailler pour l'un de ses réalisateurs préférés et, par la même occasion, de sortir du circuit indépendant. C'est évidemment Scorsese qui pensa tout de suite à De Niro pour le rôle principal et ce dernier accepta sans problème, voyant en ce rôle le moyen de rompre momentanément avec son image d'éternel mafieux du 7ème art. C'est d'ailleurs De Niro qui proposa le rôle du caïd Milo à un acteur de pure comédie, l'inimitable Bill Murray. Quant à Uma Thurman, n'étant pas encore très connue à cette époque, elle décrocha le rôle lors d'une simple audition. Et John McNaughton de s'atteler alors au tournage du film le plus hollywoodien de sa carrière.
A mi-chemin entre le polar mafieux et la comédie policière, Mad Dog and Glory dresse le portrait de Wayne Dobie (De Niro), un photographe légiste de la police criminelle de New York. Pleutre et timide, il est ironiquement surnommé Mad Dog par ses collègues pour son incapacité à faire face à la moindre situation de conflit. Un soir pourtant, il se trouve par hasard dans une supérette quand le gérant se fait braquer. Il s'interpose et sauve la vie d'un client qui s'avère être Frank Milo (Bill Murray), un parrain de la pègre qui en signe de reconnaissance lui manifeste sa prétendue amitié et lui présente une de ses gagneuses, une certaine Glory...
Ne tournons pas autour du pot, Mad Dog and Glory n'est rien de moins qu'une totale réussite dans son genre. Moins drôle qu'on pourrait le penser, le film s'articule autour de la rencontre, de l'amitié et du conflit entre un flic inoffensif et un caïd de la mafia. Car en lui présentant la belle Glory, Milo n'avait pas prévu que Wayne en tomberait éperdument amoureux au point de vouloir lui soustraire sa gagneuse. La reconnaissance d'un criminel a ses limites et le timide Wayne Dobie devra apprendre à faire face aux conflits. Robert De Niro brille comme toujours dans ce rôle à contre-emploi de flic effacé et sans envergure, très loin de ses rôles légendaires de terreur de la pègre italo-américaine. Face à lui, Bill Murray excelle dans le rôle inattendu d'un mafieux cynique et blasé. On retrouve avec plaisir les mimiques irrésistibles de l'acteur, sa gouaille inimitable et son expression indolente. Au centre du conflit, Uma Thurman, qui s'était jusqu'alors coltinée pas mal de seconds rôles (Les liaisons dangereuses, Sang chaud pour meurtre de sang froid, Jennifer 8), trouve ici un de ses premiers grands rôles, quelques mois avant d'exploser dans le Pulp Fiction de Tarantino. Le film vaut également pour la présence de David Caruso qui incarne ici un flic teigneux et pugnace, véritable contre-point du protagoniste tout en étant son meilleur allié. La scène en fin de métrage où il se met sur la gueule avec le bestiau Mike Starr qui joue le bras droit de Milo est juste jubilatoire.
Au final, John McNaughton signait un véritable petit bijou de comédie douce-amère à des lieues de la noirceur de ses précédents (et futurs) long-métrages. Tout aussi drôle qu'émouvant, Mad Dog and Glory est de ces films méconnus dont on ne soupçonne pas la réussite et qui méritent largement d'être (re)découverts.
A mi-chemin entre le polar mafieux et la comédie policière, Mad Dog and Glory dresse le portrait de Wayne Dobie (De Niro), un photographe légiste de la police criminelle de New York. Pleutre et timide, il est ironiquement surnommé Mad Dog par ses collègues pour son incapacité à faire face à la moindre situation de conflit. Un soir pourtant, il se trouve par hasard dans une supérette quand le gérant se fait braquer. Il s'interpose et sauve la vie d'un client qui s'avère être Frank Milo (Bill Murray), un parrain de la pègre qui en signe de reconnaissance lui manifeste sa prétendue amitié et lui présente une de ses gagneuses, une certaine Glory...
Ne tournons pas autour du pot, Mad Dog and Glory n'est rien de moins qu'une totale réussite dans son genre. Moins drôle qu'on pourrait le penser, le film s'articule autour de la rencontre, de l'amitié et du conflit entre un flic inoffensif et un caïd de la mafia. Car en lui présentant la belle Glory, Milo n'avait pas prévu que Wayne en tomberait éperdument amoureux au point de vouloir lui soustraire sa gagneuse. La reconnaissance d'un criminel a ses limites et le timide Wayne Dobie devra apprendre à faire face aux conflits. Robert De Niro brille comme toujours dans ce rôle à contre-emploi de flic effacé et sans envergure, très loin de ses rôles légendaires de terreur de la pègre italo-américaine. Face à lui, Bill Murray excelle dans le rôle inattendu d'un mafieux cynique et blasé. On retrouve avec plaisir les mimiques irrésistibles de l'acteur, sa gouaille inimitable et son expression indolente. Au centre du conflit, Uma Thurman, qui s'était jusqu'alors coltinée pas mal de seconds rôles (Les liaisons dangereuses, Sang chaud pour meurtre de sang froid, Jennifer 8), trouve ici un de ses premiers grands rôles, quelques mois avant d'exploser dans le Pulp Fiction de Tarantino. Le film vaut également pour la présence de David Caruso qui incarne ici un flic teigneux et pugnace, véritable contre-point du protagoniste tout en étant son meilleur allié. La scène en fin de métrage où il se met sur la gueule avec le bestiau Mike Starr qui joue le bras droit de Milo est juste jubilatoire.
Au final, John McNaughton signait un véritable petit bijou de comédie douce-amère à des lieues de la noirceur de ses précédents (et futurs) long-métrages. Tout aussi drôle qu'émouvant, Mad Dog and Glory est de ces films méconnus dont on ne soupçonne pas la réussite et qui méritent largement d'être (re)découverts.
Un policier fait la connaissance d'un mafioso durant un braquage. Le film oscille entre la comédie, le policier et le romantique sans arriver vraiment la synthèse. L'histoire entre de Niro et Thurman est trop téléphonée (même si elle fut vraie dans la réalité). Seul le personnage de Bill Muray nous surprend. Quelque chose ne fonctionne pas dans ce film que l'on aimerait aimer plus. Dispensable
soniadidierkmurgia
"Mad Dog and Glory" de John McNaughton sorti sur les écrans en 1993, occupe avec quelques films comme "Jacknife" (David Jones en 1989), "Stanley et Iris" (Martin Ritt en 1990) ou encore "L'éveil" (Penny Marshall en 1990) une place à part dans la filmographie du Robert De Niro des grandes années (1973 à 1997) quand il était encore un acteur pleinement engagé dans son art. Avec des metteurs en scène sur leur fin de carrière ou au contraire en devenir, il s'affronte à des rôles hors de son champ d'action habituel, donnant à voir une sensibilité et une fragilité qu'il a moins travaillées chez Martin Scorsese, Francis Ford Coppola, Bernardo Bertolucci ou Michael Cimino. Le projet est bâti autour d'un scénario de Richard Price que De Niro connait bien pour avoir travaillé avec lui juste auparavant sur "La loi de la nuit" d'Irvin Winkler. Il s'inscrit dans l'univers policier dont les codes seront détournés pour approfondir une relation très spéciale entre un flic timoré chargé d'effectuer les photographies sur les scènes de crimes et un mafieux iconoclaste, comique de stand-up à ses heures dans son propre cabaret, interprété par le grand Bill Murray encore catalogué comme un simple acteur de comédie et dont le génie d'acteur qui pointe dans ce film sera reconnu après sa rencontre avec Wes Anderson sur "Rushmore" (1998). Au milieu de ce duo qui joue à cache-cache tout au long du film, s'intercale la toute jeune et ravissante Uma Thurman devenue l'enjeu d'une rivalité virile dont John McNaughton tire le meilleur parti pour alterner scènes à forte intensité dramatique, comique ou sentimentale. John McNaugthon est apparu dans la lumière sept ans plus tôt avec le très radical "Henry, portrait d'un serial killer", devenu très rapidement culte comme donnant avec "L'étrangleur de Boston" (1968) de Richard Fleischer, la vision la plus réaliste de la psyché tourmentée d'un serial killer. Il montre ici avec nuances et originalité que presque jamais personne ne correspond réellement aux clichés liés à son statut, sa profession ou aux apparences. New York remarquablement filmée par le chef opérateur néerlandais Robby Müller renforce l'impression d'entre deux mondes voulue par McNaughton. On remarquera aussi la prestation très tonique de David Caruso dont on aurait pu espérer qu'il mène une plus grande carrière sur grand écran. Idem pour John McNaughton dont le parcours à Hollywood s'étiolera assez vite sans raison apparente. Un film rempli de sensibilité que les fans de De Niro se doivent d'avoir vu.
Un film d'acteurs, certes mais aussi une excellente comédie plus ou moins policière avec un sujet très original et une interprétation au top. Bill Murray en parrain mafieux psychopathe est excellent, Robert de Niro en flic paumé est étonnant mais c'est surtout Uma Thurman qui crève l'écran de sa beauté et de son talent, et en plus elle n'est pas avare de ses charmes, ça nous change des scènes de plumard sen soutif ! Le développement est prévisible mais bien mené et le film se garde de tout moralisme à deux balles. C'est donc une excellente surprise
Audrey L
Un film au casting étincelant et jamais réitéré par la suite (une rare occasion pour les cinéphiles !) mais qui n'empêche pas un scénario parfois fainéant, se permettant des longueurs et une fin étonnamment facile. Les premières minutes laissaient pourtant présager d'une grande comédie enlevée et mêlée d'un délicieux policier. Malheureusement, on comprend bien vite que Murray et De Niro ne formeront pas le duo cocasse "buddy" qu'on attend, mais ne partageront que quelques rares séquences à l'écran. De même que Thurman n'est pas aussi palpitante que dans un Tarantino, cela va sans dire... Les dialogues qui pétillent de cynisme au début lors du braquage s'aplanissent ensuite pour ne soutenir qu'une enquête policière quelconque, dont on connaît le ripoux en plus... Heureusement, la musique sauve ce film par quelques classiques des années jazzy américaines (Ô délicieux Louis Prima !) que l'on retrouve dans le générique de fin pour notre plus grand plaisir. Un film sympathique et cynique aux premiers abords, qui se disperse par la suite, pour aboutir sur une fin étonnamment facile.
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