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    Docteur Folamour
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    387 critiques spectateurs

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    CritiqueCiné
    CritiqueCiné

    7 abonnés 168 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 décembre 2024
    Scénario brillant, visuel sobre mais efficace. Un film qui mérite bien plus de projecteurs.
    Theo
    Theo

    19 abonnés 901 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 avril 2024
    Stanley Kubrick, avec "Docteur Folamour", nous plonge dans une comédie noire qui défie le temps, imprégnée d'une ironie mordante et d'une critique acerbe des politiques de guerre froide. Le film dépeint avec brio l'absurdité des logiques militaires et politiques qui pourraient mener à une catastrophe nucléaire. Kubrick utilise un humour noir et un cynisme tranchant pour explorer les territoires sombres de la paranoïa humaine et de l'obsession du pouvoir.

    La performance de Peter Sellers, incarnant trois personnages clés, est une prouesse remarquable qui apporte une profondeur comique et tragique au film. Chaque personnage qu'il joue reflète une facette de la société qui, ensemble, composent un portrait caustique de l'humanité au bord de l'auto-destruction. Le général Turgidson, grotesquement va-t-en-guerre, et le Dr Folamour, sinistrement lucide, sont des caricatures brillantes de la folie qui semble régner au sommet.

    La direction artistique et la photographie en noir et blanc contribuent à l'atmosphère oppressante du film, renforçant le sentiment d'urgence et de claustrophobie dans la fameuse salle de guerre. La musique, oscillant entre le martial et le mélodique, accentue ce contraste entre la gravité de la situation et l'absurdité des réactions des personnages.

    Ce que Kubrick réussit surtout, c'est de rendre palpable le ridicule de la situation sans jamais diminuer son impact potentiellement apocalyptique. La scène culte du commandant Kong chevauchant joyeusement une bombe atomique vers sa cible est à la fois hilarante et horrifiante, un symbole puissant de la dérision de la guerre.

    Le film ne se contente pas de divertir ; il interpelle, questionne et provoque. Il demeure pertinent, rappelant les dangers toujours actuels d'une logique militaire détachée de la réalité humaine. C'est cette intemporalité, combinée à une mise en scène impeccable et à une satire incisive, qui fait de "Docteur Folamour" une œuvre majeure du cinéma, capable de nous faire rire tout en nous glaçant le sang.

    Dans un équilibre parfait entre comédie et tragédie, Kubrick nous livre un excellent film qui, à travers le rire et l'effroi, critique une humanité au bord du précipice, jouant imprudemment avec des forces qui la dépassent. Le film, sans jamais perdre de son impact ou de son actualité, demeure une référence incontournable, un miroir de nos propres absurdités.
    Alolfer
    Alolfer

    136 abonnés 1 188 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 janvier 2024
    Grandiose ! Stanley Kubrick, dans ce film de 1h30, nous donne un point de vue dystopique durant la Guerre Froide si tout se passait de la pire des manières. Entre psychotise et la Comédie, Stanley Kubrick nous tient un des plus grands films du cinéma, dénonçant le danger de la Bombe Atomique ! C est du beau travail !

    A voit absolument
    GéDéon
    GéDéon

    92 abonnés 531 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 novembre 2023
    Le septième long-métrage de Stanley Kubrick, sorti en 1964, constitue un petit bijou d’humour noir. Avec un Peter Sellers complètement hilarant (interprétant trois personnages tout plus barrés les uns que les autres), le scénario exploite le contexte de l’époque où la menace d’un conflit nucléaire entre les USA et l’URSS devient réalité. Grâce à l’absurdité des situations, le réalisateur livre une vive critique de la guerre et de l'incompétence des décideurs politiques. C’est à la fois drôle et consternant devant tant de bêtises humaines qui, bien que caricaturales, restent potentiellement envisageables. Bref, une comédie cynique et virevoltante.
    Ti Nou
    Ti Nou

    512 abonnés 3 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 novembre 2022
    Avec "Docteur Folamour", Kubrick signe une comédie féroce et grinçante, un pamphlet antimilitariste où Peter Sellers excelle dans un triple rôle à sa démesure. La caricature est à la fois drôle et terriblement effrayante.
    Ricco92
    Ricco92

    231 abonnés 2 159 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 mai 2022
    À travers sa filmographie truffée de chefs-d’œuvre, Stanley Kubrick laisse plutôt l’image d’un réalisateur froid et très sérieux soit tout l’inverse d’un auteur de comédie. Pourtant, le cinéaste a abordé le genre via le registre de la satire avec Docteur Folamour ou : comment j’ai appris à ne plus m’en faire et à aimer la bombe spoiler: (on comprend le registre du film dès le générique de début où le ravitaillement d’un avion en vol est filmé avec des connotations sexuelles)
    . Sans être hilarant, ce film cynique possède de nombreux passages très amusants grâce au regard critique et méchant qu’il possède sur ses personnages, sur le patriotisme excessif spoiler: (c’est à cause d’un nationaliste paranoïaque que le monde va vers sa destruction)
    et sur la course à l’arme nucléaire. Ce n’est pas étonnant, avec cette vision, qu’un militant d’extrême-droite tel que John Wayne y ait refusé un rôle ! La réussite de cette adaptation libre (le roman étant une œuvre d’anticipation sérieuse) de 120 minutes pour sauver le monde de Peter George bénéficie de l’excellente prestation de Peter Sellers qui n’incarne pas moins de trois rôles à l’écran (un accident sur le tournage l’ayant empêché d’en tenir un quatrième : celui du Commandant T.J. "King" Kong). On notera notamment qu’un de ceux-ci (le docteur Folamour ou doctor Strangelove en V.O.) donne même son nom au long-métrage alors que le personnage n’apparaît que très peu à l’écran. Une fois de plus, le cinéaste offre une réalisation à la précision implacable tout à fait caractéristique de son style et une histoire prenante de bout en bout. On pourra juste regretter que le réalisateur ait choisi de supprimer la scène qui devait clore le film spoiler: (une séquence d’une dizaine de minutes où les membres du centre de commandement s’affrontent dans une bataille de tartes à la crème)
    car la fin choisie paraît incomplète et coupe de manière trop abrupte (chose d’autant plus surprenante que cela n’aurait pas été le cas s’il avait décidé de terminer son film sur la séquence précédente spoiler: où la bombe chevauchée par le commandant T.J. "King" Kong est larguée
    !). Malgré ce petit bémol, Docteur Folamour ou : comment j’ai appris à ne plus m’en faire et à aimer la bombe reste une œuvre passionnante toujours autant d’actualité. Une fois de plus, une grand film signé Stanley Kubrick.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 15 mars 2022
    Kubrick vient dénoncer avec "Docteur Folamour" l'absurdité de la guerre froide par la satire. Le comique est apporté par des personnages caricaturaux et loufoques à souhait, nous allons du gag brut à la critique du système via des situations complètement absurdes qui renforcent cet idée que la guerre n'est rien d'autre qu'un ensemble de malentendus, d'égocentrisme et d'ignorance. On retrouve toute la maniaquerie du réalisateur optant pour un noir et blanc froid et déstabilisant, qui réussit avec brio à nous faire rire de la fin du monde.
    TUTUR29
    TUTUR29

    35 abonnés 1 134 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 février 2022
    Dr. Folamour est un très bon film ! Les enjeux sont juste grandioses et le rythme du film est parfait, les dialogues sont extrêmement bien écrits. Tout ceci fait de Dr. Folamour un très bon divertissement, en plus de nous donner un point de vue très pertinent sur la guerre froide de l'époque, qui ne pouvait au final mener à rien de bon, si ce n'est l'autodestruction des États-Unis et de la Russie. Bref, une petite merveille de scénario et de rythme, je recommande !
    Charlotte28
    Charlotte28

    130 abonnés 2 046 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 octobre 2021
    Critique acerbe de la politique et surtout de l'aveuglement militaire portée par des dialogues satiriques burlesques ainsi que par la triple prestation virevoltante de Peter Sellers, cette comédie amère porte son message avec conviction, d'autant que la mise en scène de Stanley Kubrick, impeccable, en redouble le sens. Cependant le didactisme l'emporte sur l'émotion mais la volonté réflexive justifie quelque peu ce choix de mise à distance. Marquant.
    Matéo Benoit
    Matéo Benoit

    3 abonnés 214 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 décembre 2020
    Kubrick renoue avec l'humour noir avec cette satire politique sur la guerre froide entre les Américains et les Soviétiques le tout avec des dialogues qui font mouche, des situations drolatiques et de bons acteurs, en particulier Peter Sellers ( sa voix est doublée par l'immense Roger Carel -RIP-).
    jerome s.
    jerome s.

    5 abonnés 84 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 novembre 2020
    Sympas comme film de Stanley Kubrick. il parle de la guerre froide avec un côté comique plutôt absurde avec la représentation caricaturé d'un général avec son cigare à la bouche comme un patron ou encore le côté peu discret des attentions du docteur Folamour qui se trouve être le dernier espoir de la civilisation américaine qui font confiance à un ancien nazi pour survivre dont laquelle il a dû mal à se cacher. On est dans une œuvre assez caricatural qui joue son aspect comique avec ses caricatures, une comédie à l'anglaise.
    Nicolas S.
    Nicolas S.

    100 abonnés 1 554 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 mai 2020
    Le titre original révèle déjà l'esprit du long-métrage : "Docteur Folamour ou comment j'ai appris à ne plus m'en faire et à aimer la bombe". Sarcastique, corrosif, efficace.

    La critique de la position américaine durant la Guerre Froide est tellement virulente qu'il faut relire plusieurs fois la date de sortie pour s'assurer que l'on n'a pas halluciné. Oui, "Docteur Folamour" est sorti en 1964, soit en pleine Guerre Froide, 2 ans après la crise des missiles de Cuba ! Et encore, ce film aurait dû sortir quelques mois plus tôt, fin 1963 mais sa sortie a été repoussée à cause de l'assassinat de JFK.

    Il faut avoir un courage énorme pour oser sortir une comédie qui tourne tant en ridicule le président des Etats-Unis, les russes ou les militaires américains, à peine un peu plus d'un an après le pic des tensions entre les 2 blocs et 6 ans après le Maccarthysme.

    Pourtant, Stanley Kubrick a eu ce courage et nous a livré une satire très intelligente de l'état du monde à ce moment-là.

    Quel régal que les expressions ahuries de George C. Scott lorsqu'il entend les propositions du Président des Etats-Unis qui vont à l'encontre de toutes les règles de la stratégie militaire.

    J'ai ri de très bon coeur à de nombreuses reprises devant "Docteur Folamour" mais j'ai aussi beaucoup réfléchi.
    En effet, le scénario est basé sur un livre de Peter George, "120 minutes pour sauver le monde", terriblement efficace. L'auteur s'est basé sur des faits historiques : la théorie du complot de la fluoration de l'eau a réellement existé par exemple, tout comme les russes ont vraiment réfléchi à mettre en place une Machine Infernale.

    Du coup, comme l'histoire semble crédible, on oscille entre être horrifié par cette histoire dans laquelle les rouages sont bien huilés et être amusé par le côté comique de la situation. Réussir à concilier ces deux sentiments, c'est un exploit.

    Alors lorsque la mise en image de ce scénario est en plus très belle et livre des plans à l'impact très fort, que peut-on attendre de plus ?

    C'est pourquoi "Docteur Folamour" mérite sa place dans le Panthéon du cinéma.
    Criticman17
    Criticman17

    7 abonnés 238 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 avril 2020
    Chef d'oeuvre du cinéma réalisé en 1964. Docteur Folamour est une comédie noir exceptionnelle. Stanley Kubrick a effectué un énorme travail de recherches, il s'est énormément documenté sur la guerre et le nucléaire et le résultat est grandiose. Le plan en contre plongée sur le général Ripper est parfait, les échanges entre le général et Peter Sellers sont captivants. Peter Sellers réalise une véritable prouesse en incarnant 3 grands rôles dans le film dont celui du Docteur Folamour qui est un personnage clivant et drôle. Peter Sellers fut le seul acteur à avoir été nommé pour un seul et unique Oscar, alors qu'il jouait 3 personnages dans le film. La force de ce film c'est de réussir à nous faire rire sur des thèmes comme la guerre et le nucléaire dans un contexte totalement imprévisible qui conduit à la destruction. La bande sonore se familiarise parfaitement aux images. Très bon film qui conserve toute sa force malgré les années. A voir absolument
    Thomas Lallement
    Thomas Lallement

    1 abonné 18 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 février 2020
    Un film qui fait son humour noir au beau milieu d'une crise majeure qui va plonger le monde dans une guerre nucléaire.

    Un film qui glorifie et embellie la guerre, la mort, la folie...

    DOCTEUR FOLAMOUR.
    Comment j’ai appris à ne plus m’en faire et à aimer la Bombe
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    136 abonnés 1 634 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 septembre 2019
    Stanley Kubrick se la joue comique pour son 7ème film ; d’un bouquin sérieux, il livre un script à l’humour plus que caustique et dénonce par la farce la folie guerrière des hommes. Ici pas de gentils, ni de méchants : que des abrutis. Soviétiques et américains dans le même panier quand il s’agit de montrer les gros bras, quitte à envoyer tout le monde dans le mur. Une belle parodie de l’escalade à l’armement, à la dissuasion…
    Et derrière la comédie et la dénonciation de la guerre dont Kubrick s’est souvent fait le porte-parole, il y a aussi des piques cinglantes sur la patrie de l’Oncle Sam dont ce scientifique nazi embauché par les ricains. Aucun scrupule à l’image de nazis embauchés par la Nasa pour envoyer le premier homme sur le Lune
    Et maintenant une critique : « Au moment où les relations États-Unis/ U.R.S.S. se calment un peu, Kubrick lance un gros pavé dans la mare avec la farce acide la plus grinçante de l'histoire du cinéma.

    Confortablement blotti dans le rôle de spectateur du XXIème siècle, difficile de mesurer l'ampleur de la provocation qu'était Dr Folamour, comédie acerbe sur le nucléaire. Film dont la sortie fut repoussée pour cause d'assassinat du président Kennedy, ce Folamour porte en lui la trace du souffre et du rire grinçant. En 1964, date de sortie du film, la crise de Cuba marque encore tous les esprits et la seule révolution pour communiquer s'appelle le téléphone rouge. Ironiquement, Kubrick l'utilise pour que le président américain explique à son homologue russe ivre mort la gravité de la situation. Alors que les relations bipolaires tendent à se détendre dans le monde réel, le pavé dans la mare de Stanley choque autant qu'il amuse. Film sur le complot politique, l'asservissement de l'Homme selon la hiérarchie et l'apocalypse nucléaire, Dr Folamour détonne rien que par son titre intégral (« ou comment j'ai appris à ne plus m'en faire et à aimer la bombe »).

    Les éclats de rires provoqués par le triple jeu du grand Peter Sellers illustrent trois facettes. D'abord, il y a le fameux Dr Folamour, ancien dignitaire Nazi, hilarant surtout dans la scène finale à base de complot pour repeupler la terre. Kubrick égratigne évidemment la tolérance des États-Unis à l'égard de scientifiques ayant servis le régime d'Hitler, souvent impliqués idéologiquement mais qui -pour des raisons « scientifiques »- bénéficient d'un accueil privilégié. Sellers incarne aussi un président des USA débordé et soumis au diktat militaire. Troisième rôle et troisième nationalité : le colonel britannique, confronté au général fou ayant enclenché l'attaque nucléaire. Kubrick le filme comme un homme plus loyal mais impuissant. Sa négociation le place de fait en position de faiblesse face à la folie totale du général. Sellers a beau se tenir debout, les contre-plongées sur le général fumeur de cigare le rendent d'autant plus menaçant.

    Dr Folamour travaille évidemment l'espace afin de confiner cette histoire aussi dingue que cruellement crédible par un jeu architectural dément. La fameuse salle de conseil de guerre, froide comme la mort, accentue l'écho des voix. Une sonorité ironique tant le film travaille l'incapacité à se comprendre, à s'entendre et à éviter le pire d'arriver. Buck (immense George C. Scott, presque plus impressionnant que Sellers) mâchouille à n'en plus finir ses chewing-gum. Il balbutie son autorité. A défaut de se cacher derrière sa barbe, il se masque par la nonchalance patriotique et détestable du personnage. L'occasion d'en mettre plein la tronche au milieu de l'armement (« vous n'allez pas condamner tout un programme sur UNE erreur ! » lance crétinement Buck) et la subordination. Une thématique en complément des Sentiers de la gloire.

    Reste le cœur du problème : l'avion en mission. Là encore le confinement des lieux resserre l'intrigue sur des soldats persuadés d'agir pour le bien, se rêvant déjà couverts d'honneurs. Leur sacrifice va jusqu'à ce rodéo dément sur une ogive en train de tomber. Kubrick y utilise en fil rouge une marche militaire When Johnny Comes Marching Home Again, morceau issu de la Guerre de Sécession. Déjà utilisée dans le dictateur de Chaplin, cette musique faussement belliqueuse serait en fait un ode à la fin des hostilités. L'isolement total subit par ces soldats bien intentionnés traduit aussi un goût des destins tragiques pour l'Homme, simple rouage dépourvu de porte de sortie. L'équipage ne fait que répondre à un ordre crypté. Leur amusement devant le kit de survie (« on pourrait passer un bon week-end à Vegas avec ça » déconne l'un d'eux) les montre comme étant les plus humains de tous les protagonistes de cette histoire. Même la secrétaire ou le soldat qui fait prisonnier le colonel britannique sortent moins des clous que cette bande de guerriers enfermés dans un microcosme à devenir fou. S'il n'y avait pas ces innombrables plans de vols, on les croirait cloitrés dans un sous-marin. Manière bien claire de montrer à quel point l'humain se coupe de tout. Les explosions nucléaires de fin ne montrent jamais la catastrophe, les pleurs, les morts ou une quelconque image anxiogène. C'est par la petite musique We'll meet again ( relevez encore la terrifiante ironie de Kubrick) que la force d'épouvante se met en valeur. »
    tout-un-cinema.blogspot.com
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