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gamorreen
19 abonnés
457 critiques
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3,0
Publiée le 28 août 2024
c'est donc ça un des pires film de tout les temps??? je l'ai trouvé distrayant, on sourit souvent, on rit quelques fois, et visuellement c'est très correct. Pas de quoi crier haro.
Quel gâchis… la seule scène drôle est à la fin quand Jamel arrive … Pourtant le casting était énorme , comme quoi l’humour n’est pas donné à tout le monde
Dans l'arène cinématographique où la grandeur et la déception se côtoient, "Astérix aux Jeux olympiques" semble courir une course de fond vers la désillusion. Au cœur de cette adaptation d'une bande dessinée chérie, on trouve une ambition démesurée, piégée dans les sables mouvants d'un scénario qui semble boiter sur deux pieds. À première vue, le casting ressemble à un banquet somptueux, où des talents de renom comme Clovis Cornillac et Gérard Depardieu se partagent la table avec des figures emblématiques telles qu'Alain Delon. Pourtant, la promesse d'un festin se transforme rapidement en une indigestion narrative, où les performances, bien que vaillantes, se noient dans un océan d'effets spéciaux qui, bien loin d'embellir, distraient et détournent.
L'adaptation s'égare dans un dédale d'anachronismes et de clins d'œil à la culture pop, échouant à capturer l'essence spirituelle des œuvres de Goscinny et Uderzo. Les caméos, bien que parfois divertissants, agissent comme des éclats de mosaïque détachés, n'apportant ni cohérence ni éclat à l'ensemble. La trame, quant à elle, se perd dans les méandres de sous-intrigues et de tentatives humoristiques qui manquent souvent de la finesse et de l'ingéniosité caractéristiques des bandes dessinées originales.
Sur le plan visuel, "Astérix aux Jeux olympiques" n'est pas dénué de moments de brillance, où la grandeur de la Rome antique et la majesté des jeux sont rendues avec un certain éclat. Pourtant, ces éclairs de génie sont éphémères, vite éclipsés par des décisions de mise en scène qui frôlent le kitsch. Le montage, aspirant à une dynamique moderne, se heurte parfois à un rythme haché, qui laisse le spectateur en quête de respiration.
Dans cet amphithéâtre où la comédie et l'aventure devraient régner en maîtres, "Astérix aux Jeux olympiques" peine à trouver son souffle, se perdant dans une cacophonie de tentatives grandiloquentes qui ne parviennent pas à masquer le manque d'une direction claire et inspirée. Le film, bien loin de triompher sur le podium, termine sa course essoufflé, épuisé par le poids de ses propres ambitions et la lourdeur d'un spectacle qui, malgré quelques éclairs de talent, ne parvient pas à captiver ni à transporter dans l'univers magique et intemporel d'Astérix et Obélix.
Je sais que ce film est malaimé par la plupart personnellement je l'ai trouvé assez bon. Entout cas meilleurs que les deux autres films live. Bien que le film est un problème scénaristique de la taille d'un MENHIR où du COLYSEE qui se pose dès les premières minutes. "Le gaulois Alafolix est amoureux de la princesse de Grèce Irina (laquelle l'aime également). Pour gagner sa main il doit gagner les Jeux Olympiques."
J'ai rien contre ce couple. Juste avec: spoiler: Alafolix vit en Gaule, dans un village reculé. Irina vit dans un chateau en Grèce qu'elle n'a probablement jamais quitté. Ils ne se sont jamais rencontrés. Entout cas elle ne l'a jamais rencontré, elle est tombée amoureuse de lui en lisant ses messages. Et lui s'il a un jour été en Grèce ne s'est jamais approché du chateau. Donc sur quoi leur histoire d'amour est-elle basée?! Alafolix a envoyé son oiseau Télégrafix porter un message à la plus belle fille qu'il pouvait trouver? Et ils sont devenus amis puis amoure
Comme dans l'Astérix d'Alain Chabat -bien meilleur au demeurant- où Djamel Debbouze était promu rôle principal et le comique du film déterminé par sa personnalité, c'est ici Benoît Poelvoorde, en romain, qui est le centre de cette nouvelle adaptation, au détriment de Clovis Cornillac et Gérard depardieu, Astérix et Obélix par ailleurs parfaitement insipides et insignifiants. Fils de César (A.Delon), teigneux, tricheur et arrogant comme un jeune de Funès, Poelvoorde se débat consciencieusement mais vainement dans une comédie gréco-gallo-romaine présomptueuse et ratée. Frédéric Forestier et Thomas Langman tournent une superproduction française boursouflée et tape-à-l'oeil dans laquelle le recours systématique à la technologie numérique (décors, lumière, effets spéciaux...) semble décharger réalisateurs et producteurs de toute forme de créativité. Le scénario est pauvre, l'inspiration comique péniblement terne et impersonnelle. Tout au long du film, dans le stade des Jeux Olympiques pour l'essentiel, il est manifeste qu'il manque un auteur. Inefficace et inodore, la comédie essaie d'exister par de puérils effets spéciaux et les indigents numéros de "guest stars": Alain Delon, dans une auto-caricature redondante et pas drôle, José Garcia, Elie Semoun, Djamel,spoiler: sans compter Zidane, pour le fun, et pas mal d'autres. Une coquille vide.
Franchement pas plus daubesque qu'un autre. Forcément si on compare à Mission Cléopâtre ... Mais c'est divertissant avec des acteurs populaires et bien dans leur personnage. Il y a des films agréables simplement, c'est déjà quelque chose. Des films pénibles (genre Barbecue ou Le code a changé) j'en ai vu et pour moi ça passe mieux.
Asterix aux jeux olympiques est la troisième adaptation, est c'est une déception. On ne retrouve plus l'esprit gaulois. Asterix et Obelix partent en Grèce aider Alafolix affronter Brutus aux jeux olympiques. Le gagnant épousera la Princess de Grèce Irina. Les personnages principaux d'Asterix et Obelix sont relayés au second plan. En effet Benoît Poelvoord dans le rôle de Brutus prend énormément de place, qu'il parvient à évincer les gaulois. Mais il n'y a pas que Poelvoord, Franck Duboscq qui interprète Assurancetourix, prend également de la place, alors que ce personnage est une juste un second rôle de base. De plus il nous fait des vannes pourries "l'armorique " avec l'air de l'Amérique de Dassin, bof. Clovis Cornillac succède à Christian Clavier dans le rôle d'Asterix, et il s'en sort pas trop mal. Jean Pierre Cassel en Panoramix ça ne lui correspond pas du tout. Depardieu est fidel à lui même. Mention spéciale pour Alain Delon en César qui se prend en autoderision à parler de lui à la 3ème personne, et sa tirade du début, avec la musique de fond du clan des siciliens. L'humour ne prend pas, la faute à trop d'effet spéciaux (certains pas toujours bien fait) , le doublage français de Michael Schumacher est une horreur. Dommage car le casting est la encore exceptionnelle, Clovis Cornillac, Gérard Depardieu, Benoît Poelvoord, Alain Delon, Stéphane Rousseau, Eli Semoun, Franck Duboscq, Alexandre Astier, Jérôme le Banner, Francis Lalane ... On retrouve Sim et Jean Pierre Castaldi le temps d'un caméo. Ensuite la fin où on a une pléiade de star qui n'apporte rien au film. Déjà Michael Schumacher avec Jean Todt à la course de char en rouge Ferrari, soit ça peut passer. Mais après Zidane, Amelie Mauresmo, Tony Parker et même Jamel Debouse avec Adriana Karembeu n'apportent rien au film, aucune plus value si ce n'est que le budget du film a considérablement augmenté. Les effets spéciaux sont pas toujours bien fait, si ce n'est le stade olympique. Néanmoins, il n'est pas un film nul en soit, mais il contient une certaine lourdeur, il aurait pu être tellement mieux. Un film qui se regarde malgré tout, mais dont la potion magique commence à s'essouffler
par rapport à toutes les critiques, j'aurai pu croire que ça serait une catastrophe mais le film n'est pas si mal que cela, même assez divertissant. les effets spéciaux sont plutôt moyen et le film a coûter peut être trop cher pour ce qu'il vaut. mais dans l'ensemble on passe un agréable moment, divertissant.
Cet opus est en grande partie une comédie sympa où les gags et dialogues arrivent par moment à bien fonctionner !! bien meilleur que les 2 derniers Astérix sortis !! Étonnant de voir dans ce film que Astérix et Obélix sont relégué au rang de seconds rôle pour faire place à un Benoit Poulevoorde en roue libre mais convaincant !! A noter également un Alain Delon exemplaire en Jules César !! Pas le meilleur de la saga mais avec du recul c'est loin d''être le plus mauvais !!
Je ne sais pas pourquoi, je me suis décidé à revoir ce pitoyable volet après avoir vu « Astérix et Obélix : l’Empire du Milieu » de Guillaume Canet, pour lequel je ne me suis pas du tout déplacé, contrairement aux autres Astérix dont celui-ci. Comme beaucoup, je m'étais fait avoir après l'incomparable et phénoménal "Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre" d'Alain Chabat...
En le revoyant, il n’y a pas eu de miracle, « Astérix aux Jeux Olympiques » restera plus que jamais bon dernier. Je retrouvais Gérard Depardieu dans la peau d’Obélix pour la troisième fois et ce rôle lui sied à merveille depuis « Astérix et Obélix contre César ». Et tout fonctionnait avec Christian Clavier comme partenaire Astérix. Cette fois, il est assisté de Clovis Cornillac. Ça ne fonctionne pas. Et d’autant plus qu’on les voit peu dans la mesure où Brutus, sous les traits de Benoit Poelvoord, prend toute la place dans cet épisode. C’est à se demander si le film n’aurait pas pu s’intituler « Brutus aux Jeux Olympiques ». Enfin, les dix dernières minutes sont imbuvables avec Djamel Debbouze et le défilé des stars sportives : Amélie Mauresmo, Zinédine Zidane et Tony Parker. Aucun intérêt. Je ne retiendrai que la prestation d’Alain Delon. Frédéric Forestier et Thomas Langmann ont réussi au moins ça : faire de Delon un Jules César. Et je dois avouer que ses répliques sont savoureuses. Ce qui justifie la demi étoile... C’est tout.
Je n'ai pas l'habitude de casser un film, mais celui ci ne m'a vraiment pas plu! Bien que les acteurs principales se donnent à fond (Bernard Poulvoorde, Alain Delon et Gérard Depardieu) le déroulement (blagues, gags,...) du film ne me convient pas. On frôle le ridicule total. L'esprit comique typiquement Français (et inégalé dans le monde) est complètement bafoué. Vraiment dommage, car les décors sont top.