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nicole Galey
9 critiques
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3,5
Publiée le 5 février 2023
Moi qui ai lu toutes les BD, apres avoir lu certaines critiques, j'étais inquiète, jen sors ravie, 2h sympas, assez drôles, des longueurs au début, puis la mayo prend, et dans ma salle il y a eu rires et applaudissements(bcp d'enfants), surtout la dernière 1/2h...Et donc, si on accepte des dialogues d'aujourd'hui dans une histoire de gaulois à l'époque de la chine imperiale d'il y a.. longtemps, avec un scenario moyen et des situations cocasses (mais c'est très, trop loin de lhumour d'un Astier av Kamelott..), le film se laisse regarder, les comédiens sont bons, sauf Cassel en Cesar, mauvais casting, et Cohen trop présent, Lellouche et Canet très presentables, qugrand public, avant que les salles ferment en majorité car le public sera devant ses plateformes, Netflix, Amazon, Ocs, etc...ant aux effets speciaux tant décriés, moi leur côté vieillot me fait penser à la BD, donc j'aime autant cette version que celle de Chabat, et il faut soutenir ce cinéma
Simplement 1 étoile. J'écris sur ce film uniquement parceque je l'ai relu afin de pouvoir le comparer à une version remonté sans les gags nuls du Brutus (PS: c'est carrément mieux). Pas grand chose ne va dans le film sorti au cinéma, les décors sont horribles, les effets spéciaux et la mise en scène aux fraises. C'est LONGGGGGGGG et ça ne raconte rien. Mention honorable : Clovis Cornillac (selon moi le meilleur Astérix et pourtant il est dans le pire film de la franchise) et les costumes (uniquement des personnages principaux, les autres sont horribles.) Bref fuyez
En 2023 je me refait tout les asterix pour le prochain de Canet est en effet celui ci est le plus mauvais les costumes ainsi que les effets spéciaux vieillissent très très mal... Mais ce film est regardable. Étant fan de l'univers des BD Asterix depuis toujours.. Ce film est regardable. Mais c'est un asterix de série B. Mais regardable... Rien de plus.
Contrairement à Astérix et Obélix Mission Cléopâtre, ce nouvel opus est beaucoup moins anecdotique et moins drôle. Une adaptation foireuse d'une BD incroyable. Clovis Cornillac n'est pas fait pour le rôle d'Asterix, Gérard Depardieu est plutôt bien, Alain Delon aussi, par contre, Benoît Poelvoorde n'est pas du tout fait pour un rôle comme ça, même si je l'aime bien, il ne joue pas bien. Malgré l'apparition de nombreux bons acteurs, Franck Dubosc, Elie Semoun et Alexandre Astier.
On m'a invité a l'époque au ciné pour voir ça.J'ai failli partir avant la fin. Nullissime de bout en bout.80 millions pour ça c'est juste incroyable,une succession de sketch,parfois très très gênants avec des acteurs,personnalités,chanteurs ect ect. A aucun moment drôle,a aucun moment intéressant,un ratage complet. Cornillac n'étais déja pas bon dans un Brice de Nice....alors lui confier le rôle d'Asterix...c'était aller droit dans le mur et vous savez quoi?Ben c'est le cas.Insipide au possible. Autre mauvais point,Delon et Poelvoorde.Ah ils sont très bon(et c'est bien les seuls tant Deupardieu a l'air d'en avoir rien a f....)mais ils bouffent tout le monde et même le sujet du film.On pourrais les mettre dans n'importe quelle production sans que ce soit signé Asterix qu'on ne verrais pas la différence.Bien écrit cela aurais pu être énorme,mais la..
et bah désolé les critiques mauvaises perso j'ai adoré ce film ^^ film de mon adolescence et dans mon top 3 des meilleurs Astérix, le casting est génial je trouve , une belle introduction grecques, des jeux olympiques très drôles comme spectaculaires, des apparitions sympathiques en fin de films, l'actrice qui joue Irina est d'une beauté *_*
Après une bonne première adaptation du héros gaulois par Claude Zidi, Alain Chabat avait réussi avec Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre à signer un vrai petit bijou de la comédie. Le niveau d’exigence était donc assez élevé pour le troisième volet. Hélas, Astérix aux Jeux olympiques offre une véritable douche froide. Frédéric Forestier et Thomas Langmann (le second étant à la fois coréalisateur, coscénariste et coproducteur) semblent croire que le succès des films précédents tenait à son défilé de stars. Dans les œuvres de Zidi et de Chabat, ces choix se justifiaient soit par une certaine adéquation avec les personnages soit par une utilisation intelligente de la personnalité de ses interprètes afin de les amener dans une nouvelle direction (notamment chez Chabat). Ici, par contre, ils ne servent qu’à ajouter un nom sur l’affiche afin de servir d’argument publicitaire (on arrive à une indigestion) et à donner des blagues navrantes.spoiler: La traditionnelle séquence du repas final, qui clôt ainsi le film de manière affligeante, en est un parfait exemple : après un passage où Jamel Debbouze (qui réapparaît uniquement dans celle-ci sans autre raison que de surfer sur le succès du film précédent) fait une sorte de remake de sa dernière séquence chez Chabat tout en faisant un clin d’œil à sa célèbre prestation aux César 1999 avec Adriana Karembeu (dont le personnage semblait être resté au village gaulois mais nous ne sommes plus à une incohérence prête), nous assistons aux apparitions grotesques d’Amélie Mauresmo, Zinédine Zidane et Tony Parker.
Il n’est pas surprenant qu’en utilisant des personnalités de ce type qui ne sont en rien des acteurs (contrairement aux choix qu’avaient fait Zidi et Chabat), leurs prestations ne soient pas justes. Cependant, on peut estimer que le problème vient également de la direction d’acteurs car le surjeu est généralisé même de la part d’acteurs expérimentés (on ne croit par exemple jamais à Clovis Cornillac dans le rôle d’Astérix). Seul Gérard Depardieu réussit à tirer son épingle du jeu car il est une fois de plus absolument parfait dans son rôle d’Obélix qui semble définitivement avoir été inventé pour qu’il l’incarne (même s’il a été créé 8 ans avant son premier rôle au théâtre et 11 ans avant sa première apparition sur le grand écran). En outre, le scénario n’aide pas à remonter le niveau. Il ne se contente pas ainsi de faire des références aux œuvres précédentes mais reprend purement et simplement certains éléments de leurs récitsspoiler: (la réunion des druides et l’enlèvement de Panoramix étaient déjà présents dans le premier, la séquence de drague de Numérobis suscitée...). Il se permet même de reproduire la fameuse action de Cyrano de Bergerac de souffler le texte à un homme amoureux afin de bien souligner que Gérard Depardieu a interprété avec brio le héros d’Edmond Rostand même si cela va complètement à l’encontre de la personnalité d’Obélix qui est loin d’être un grand poète . À l’image de ce dernier exemple, les dialogues surlignent absolument tout comme s’ils pensaient que les enfants ne pouvaient pas tout comprendre et qu’il fallait bien insister. En effet, même un élément qui pourrait faire sourire au début comme l’autoparodie d’Alain Delon devient lourd à force de répétition et de manque de subtilité. Il n’est pas étonnant qu’Alexandre Charlot et Franck Magnier (qui avaient été tout de même auteurs des Guignols de l’info et qui enchaîneront directement sur Bienvenue chez les Ch’tis) semblent renier un peu le film (qui aurait été très réécrit par Thomas Langmann en fonction des possibilités d’obtenir des stars) tant l’humour est consternant et aligne les blagues tombant à plat et d’une grande lourdeur. Ainsi, même si on pourra toutefois sauver la prestation de Depardieu, la volonté d’offrir des décors impressionnants comme on pourrait l’attendre d’un film bénéficiant d'un tel budget (même si le village gaulois semble factice)spoiler: et, à la limite, la course de char qui remonte très légèrement le niveau (avec encore une fois l’idée totalement idiote de faire apparaître de manière insistante Michael Schumacher et Jean Todt) , Astérix aux Jeux olympiques est un film au final assez désolant, d’autant plus après la réussite de celui d’Alain Chabat.
"Astérix aux Jeux olympiques", comédie franco-italo-hispano-allemande réalisée par Frédéric Forestier et Thomas Langmann, sortie en 2008. Troisième adaptation cinématographique tirée de la célèbre bande dessinée du même nom de René Goscinny et Albert Uderzo, après "Astérix et Obélix contre César" en 1999 et "Astérix & Obélix : Mission Cléopâtre" en 2002. Un film sorti internationalement, la bande-dessinée étant traduite dans de nombreuses langues et diffusées dans de nombreux pays. Avec toujours Gérard Depardieu dans le rôle d'Obélix et de nombreux clins d’œil à "Cyrano", Clovis Cornillac dans celui d'Astérix, Stéphane Rousseau, Sim, Franck Dubosc, Benoît Poelvoorde, José Garcia, Alain Delon, Élie Semoun, Alexandre Astier, Francis Lalanne et le grand Pierre Tchernia pour la voix-off. Un peu trop d'acteurs connus pour des prestations qui ne sont pas toutes à leur hauteur. Une scène finale frisant le ridicule avec un véritable placement de produit de guest-star qui auraient dues être soit intégrées au film (comme le sont Michael Schumacher et Jean Todt ) ou bien en être totalement absentes. Un film cependant bien réalisé, avec une très belle photo signée Thierry Arbogast, un beau graphisme architectural, techniquement c'est bien fait. Ce n'est pas le meilleur film de la série Astérix et Obélix, mais le divertissement fonctionne et joue parfaitement son rôle de comédie populaire. L'esprit de la B.D n'est pas trahi. Astérix aux Jeux olympiques est le film le plus cher de l'histoire du cinéma lors de sa sortie. Une part du budget est consacrée à la promotion du film, ce qui va créer une grosse attente et aussi une grande déception. Les spectateurs sont au rendez-vous dans les salles dans toute l’Europe, mais les critiques traduisent une grande déception. Considéré comme un film "bling-bling" qui aligne trop de célébrités sans que cela soit justifié. Le film reçoit même un Gérard du Cinéma" pour le plus mauvais film de l'année.
A fuir comme la peste un Astérix sans clavier c comme un humberger sans steak la mise en scène et les dialogue son a chier et ils voulait se rattraper en mettant des guest mais ce film est l'un des pire film du monde
Ce film est super avec Clovis et Gérard. Le décor est magnifique avec du soleil. Surtout spoiler: numerobis... Meilleur que le 4 eme et le 1er pour moi. Cet asterix est le fils avec des acteurs qui étaient fait pour ces personnages là
Je me souviens être allé voir ce film en salles. J'avais passé un moment assez pénible et la salle dans son ensemble semblait plus que dubitative.
13 ans plus tard, on ne peut pas dire que le recul ait amélioré ma vision de ce film.
Les effets spéciaux faisaient déjà datés à l'époque, aujourd'hui c'est pire. Comment a-t-on pu valider ça ? C'est inconcevable que ça ne soit pas reparti en post-production, surtout qu'il a dû y avoir des séances test qui ont dû souligner la mocheté de ces effets ...
Mais il n'y a pas que les effets qui font datés. Toute la ribambelle de caméos est marqué début XXIème siècle. Aujourd'hui, qui imaginerait offrir un rôle de barde à Francis Lalanne ?
On pourra m'objecter, sûrement à raison, qu'à l'époque voir Tony Parker, Amélie Mauresmo ou Zidane c'était quelque chose. Le problème, c'est quand les caméos deviennent le principal argument de vente d'un film.
Ces derniers se multiplient en effet pour masquer l'indigence du scénario et la pauvreté des dialogues ou de l'humour.
On propose soit des running gags lourds, soit des répliques qui tombent à l'eau, soit des vannes de cour de récré.
Je pense avoir pouffé de rire une seule fois en deux heures. C'est dire !
Bref, c'est probablement la pire adaptation ciné d'Astérix et Obélix.
Un film simpliste avec seulement de rares moments drôles qui viennent principalement du personnage de Poelvoorde (de façon plus rare du duo Lalanne/Dubosc ou Semoun). Le reste des gags est lourd et fait flop ! Le scénario est vide et l'histoire d'amour nulle. Cela tourne vite à la redondance avec un enchaînement d'épreuves sans trop de saveur et un rythme plat. La fin est interminable. Un casting quatre étoiles ne fait pas tout !
Astérix (Clovis Cornillac) et Obélix (Gérard Depardieu) participent aux JO pour aider leur ami Alafolix (Stéphane Rousseau) : il pourra épouser la princesse s’il gagne les JO. On a plaisir à découvrir le casting impressionnant au fur et à mesure, avec notamment Alain Delon (Jules César), Benoît Poelvoorde (Brutus), José Garcia… La fin étonnante fait bien sûr son petit effet (spoiler: apparition de plusieurs sportifs renommés ). Globalement le film n’est pas déplaisant. Il y a quelques petits clins d'œil sympas. Pour autant, Il y a trop d’effets spéciaux et trop peu de rebondissements. De plus, il y a une baisse de rythme en 2ème partie de film, le déroulement des JO m’a semblé un peu long.