AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
3,5
4394 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Lady Vengeance ?
5
77 critiques
4
85 critiques
3
46 critiques
2
50 critiques
1
18 critiques
0
10 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
Curieux film. Le propos et l'objectif de l'héroïne ne sont pas clairs. Ça parle à la fois d'abandon, de vengeance, de manipulation, de loyauté. Tout s'embrouille, il y a beaucoup de fausses pistes et une conclusion finalement assez banale : la vengeance n'a rien de rédempteur. C'est assez inventif visuellement ceci dit
Le moins bien de la trilogie. Une histoire lente à démarrer avec une présentation alambiquée des personnages. Difficile de rentrer dans le film. La scène meurtrière du professeur est risiblement grotesque, peut être le seul intérêt du film
Lady Vengeance" conclu la trilogie de la Vengeance de Park Chan-Wook. Beaucoup de spectateurs disent que celui-ci est un cran en dessous des autres. Je suis dubitatif ... Certes l'histoire n'est pas très compliquée mais le montage réalisé avec des flash backs incessants permet de maintenir l'intérêt Comme souvent avec Park Chan-wook, une excellente BO et surtout une image magnifique avec des scènes rêvées de toute beauté. Avec parfois une pointe d'humour glauque et quelques scènes violentes, nous suivons Geum-ja (Yeong-ae Lee) de sa sortie de prison jusqu'à la conclusion finale qui d'ailleurs aurait gagnée à être légèrement plus courte.
L'esthétique du film est très belle, l'histoire prenante et bien menée. Lee Young-ae est exceptionnelle. Mais le résultat est trop froid et manque d'émotions.
Troisième et dernier volet de la trilogie de la vengeance, " lady vengeance " (2005) est à mes yeux une déception lorsqu'on evalue cet opus de PCW, au regard de sa filmographie toute entière.
Une jeune femme a été condamnée à tort de l'assassinat d'un enfant par un sérial killer. Une fois sa peine purgée, elle se venge en associant les parents des autres victimes à la vindicte.
Si la première demi-heure tient la route, le reste de " lady vengeance " n'est pas à la hauteur.
Le parti pris qui consiste à proposer un montage qui mêle les périodes passées est souvent maladroit et laisse peu à peu le spectateur en route.
La dernière demi-heure tire beaucoup trop en longueur et au final, cet opus du talentueux réalisateur sud coréen n'atteint pas ( et de très loin) le degré d'accomplissement de " old boy" le chef d'oeuvre du cinéaste.
Réflexion sur la vengeance comme facteur de délivrance de la souffrance, la démonstration de PCW comporte, me semble t il, une faille dans l'exposé de son point de vue qui reste un peu trop nébuleux.
Le film s'adresse avant tout au spectateur souhaitant connaître la filmographie complète du cinéaste.
Les autres se tourneront avec un.meilleur bénéfice en direction de la référence précitée voire vers " mademoiselle " ou " décision to leave" qui présente un degré de finition bien supérieur à " lady vengeance ".
Opus très moyen qui certes se laisse voir, d'un grand réalisateur.
Une jeune femme a été condamnée à tort de l'assassinat d'un enfant par un sérial killer. Une fois sa peine purgée, elle se venge en associant les parents des autres victimes à la vindicte.
Si la première demi-heure tient la route, le reste de " lady vengeance " n'est pas à la hauteur.
Le parti pris qui consiste à proposer un montage qui mêle les périodes passées est souvent maladroit et laisse peu à peu le spectateur en route.
La dernière demi-heure tire beaucoup trop en longueur et au final, cet opus du talentueux réalisateur sud coréen n'atteint pas ( et de très loin) le degré d'accomplissement de " old boy" le chef d'oeuvre du cinéaste.
Réflexion sur la vengeance comme facteur de délivrance de la souffrance, la démonstration de PCW comporte, me semble t il, une faille dans l'exposé de son point de vue qui reste un peu trop nébuleux.
Le film s'adresse avant tout au spectateur souhaitant connaître la filmographie complète du cinéaste.
Les autres se tourneront avec un.meilleur bénéfice en direction de la référence précitée voire vers " mademoiselle " ou " décision to leave" qui présente un degré de finition bien supérieur à " lady vengeance ".
Opus très moyen qui certes se laisse voir, d'un grand réalisateur.
C’est tellement illisible.
Entre les transitions, les effets visuels, la narration, la mise en scène, tout est raté.
C’est kitsch, c’est inintéressant, c’est juste en faire un troisième pour en faire une trilogie.
C’est malsain pour être malsain, sans plus.
Sympathy for mister Vengeance aussi était raté. Mais au moins il était construit.
Entre les transitions, les effets visuels, la narration, la mise en scène, tout est raté.
C’est kitsch, c’est inintéressant, c’est juste en faire un troisième pour en faire une trilogie.
C’est malsain pour être malsain, sans plus.
Sympathy for mister Vengeance aussi était raté. Mais au moins il était construit.
Conclusion de la trilogie de la vengeance qui, loin d'être un mauvais film, est sûrement celui qui me touche le moins.
Directement on est mis dans le bain : générique ultra stylisé, blanc froid teintés de sang (répondant par la suite au visage de l'héroïne), superbe musique, ça annonce la couleur si je puis dire. Oui puisqu'on voit clairement que Park Chan Wook veut nous en mettre plein la vue. Ca fonctionne souvent, mais par moment ca devient fatiguant, toujours être à la recherche de la trouvaille, du plan ou du mouvement de caméra qui va marquer. Et plus étonnant, on y trouve plusieurs scènes étrangement kitsch, assumé sans aucun doute, mais pas vraiment la bienvenue.
Côté intrigue, la première partie m'a un peu désarçonnée, peut être que je n'ai pas été assez attentif c'est totalement possible, mais je me suis un peu perdu avec les différents flashbacks et les moments en temps réel. Au bout d'un moment ca a été, et l'on y suit des moments retraçant la destinée de Geum-Ja dans une double avancée, où la musique joue un rôle plus qu'important.
Geum-Ja sera donc celle qui incarnera la vengeance. Une vengeance bien différente des 2 précédents opus, féminine cette fois, incarné par une femme à la tête d'ange dans un corps de sorcière, sorcière qu'elle est devenue en prison, elle anciennement appelée Geum-Ja au grand coeur. Park Chan Wook installe aussi une histoire mère-fille forte, pas forcément complexe, mais qui prend aux tripes. Ainsi que plusieurs scènes emouvante comme celle de la "traduction", ce dialogue mère fille interposé avec le mec qui traduit du coréen à l'anglais au milieu.
Mais c'est vrai que le scénario m'a beaucoup moins marqué. Un scénario qui paraît moins impressionnant et moins bien géré que les précédents, comptant très peu de révélations, et reprenant certains éléments déjà vu dans les 2 précédents film de la trilogie comme les kidnappings et meurtres d'enfant, ainsi que exactement la même phrase sur les bons ou les mauvais enlèvements que dans Sympathy for Mister Vengeance, et puis même l'évoquation d'une greffe de rein. Il y a aussi un certain problème de cohérence puisque l'on suit le plan mûri dans la tête de Geum-Ja depuis 13 ans, mais celui-ci évolue sans arrêt.
Et il n'y a pas grand chose de plus pour être honnête car le film créé pas mal de scènes presque contemplative, ralentissant l'intrigue. Il ne reste que ces scènes d'une violence parfois atroce, et collective en plus de cela. Car oui la vengeance s'avère aussi collective dans la fin du film (et personnel à la fois au vu des agissements du bourreau de toute ces familles), avec ce changement de photo virant au noir et blanc.
A sauver aussi l'immense casting convoquant un tas d'acteurs qu'on a pu voir dans la trilogie. Ça va de Choi Min Sik (Old Boy), à une toute petite apparition de Sang Kang Ho (Sympathy), en passant par le gars aux cheveux vert de Sympathy for Mister Vengeance. Mais Il y en a plein d'autre.
Directement on est mis dans le bain : générique ultra stylisé, blanc froid teintés de sang (répondant par la suite au visage de l'héroïne), superbe musique, ça annonce la couleur si je puis dire. Oui puisqu'on voit clairement que Park Chan Wook veut nous en mettre plein la vue. Ca fonctionne souvent, mais par moment ca devient fatiguant, toujours être à la recherche de la trouvaille, du plan ou du mouvement de caméra qui va marquer. Et plus étonnant, on y trouve plusieurs scènes étrangement kitsch, assumé sans aucun doute, mais pas vraiment la bienvenue.
Côté intrigue, la première partie m'a un peu désarçonnée, peut être que je n'ai pas été assez attentif c'est totalement possible, mais je me suis un peu perdu avec les différents flashbacks et les moments en temps réel. Au bout d'un moment ca a été, et l'on y suit des moments retraçant la destinée de Geum-Ja dans une double avancée, où la musique joue un rôle plus qu'important.
Geum-Ja sera donc celle qui incarnera la vengeance. Une vengeance bien différente des 2 précédents opus, féminine cette fois, incarné par une femme à la tête d'ange dans un corps de sorcière, sorcière qu'elle est devenue en prison, elle anciennement appelée Geum-Ja au grand coeur. Park Chan Wook installe aussi une histoire mère-fille forte, pas forcément complexe, mais qui prend aux tripes. Ainsi que plusieurs scènes emouvante comme celle de la "traduction", ce dialogue mère fille interposé avec le mec qui traduit du coréen à l'anglais au milieu.
Mais c'est vrai que le scénario m'a beaucoup moins marqué. Un scénario qui paraît moins impressionnant et moins bien géré que les précédents, comptant très peu de révélations, et reprenant certains éléments déjà vu dans les 2 précédents film de la trilogie comme les kidnappings et meurtres d'enfant, ainsi que exactement la même phrase sur les bons ou les mauvais enlèvements que dans Sympathy for Mister Vengeance, et puis même l'évoquation d'une greffe de rein. Il y a aussi un certain problème de cohérence puisque l'on suit le plan mûri dans la tête de Geum-Ja depuis 13 ans, mais celui-ci évolue sans arrêt.
Et il n'y a pas grand chose de plus pour être honnête car le film créé pas mal de scènes presque contemplative, ralentissant l'intrigue. Il ne reste que ces scènes d'une violence parfois atroce, et collective en plus de cela. Car oui la vengeance s'avère aussi collective dans la fin du film (et personnel à la fois au vu des agissements du bourreau de toute ces familles), avec ce changement de photo virant au noir et blanc.
A sauver aussi l'immense casting convoquant un tas d'acteurs qu'on a pu voir dans la trilogie. Ça va de Choi Min Sik (Old Boy), à une toute petite apparition de Sang Kang Ho (Sympathy), en passant par le gars aux cheveux vert de Sympathy for Mister Vengeance. Mais Il y en a plein d'autre.
Le film de la trilogie que je préfère : plus de style années 70, mais des couleurs pop ; une vengeance qui a plus de fond ; des scènes arrêtées qui ne durent pas trop longtemps.
La cruauté ne se mesure plus en litres de sang mais tiens plus de la torture psychologique.
Et la bande son classique ajoute une touche finesse à l'ensemble.
La cruauté ne se mesure plus en litres de sang mais tiens plus de la torture psychologique.
Et la bande son classique ajoute une touche finesse à l'ensemble.
Pour ma part, le grand favori de la série des vengeance de Chan Wook Park. Un thème délicat, Une intrigue finement menée, une bande son magnifique.
Il m'a fallu trois soirs pour le voir à travers et même le troisième soir j'ai rapidement avancé vers la fin. C'est poétique il y a belle réalisation pour sûr et comment était la partition musicale? très gentille. Et le jeu d'acteur ?. Je suis sûr que ça allait bien aussi. Mais Histoire ?. L'histoire semble être la seule chose dans ce film qui échoue terriblement. Entre tous les plans artistiques, les flash back et les tentatives de choc il nous reste une histoire qui aurait pu être faite en 15 minutes. Surtout cela ne sert à rien. Le film ne surpasse jamais vraiment sa propre histoire ce qui ajoute seulement au fait qu'il est un gaspillage de toutes les qualités dites réductrices. Pour moi il me semblait que le réalisateur avait besoin de faire une troisième partie finale et a juste pris un numéro dans un chapeau. Cela devient douloureusement évident tout au long de la scène de la vengeance réelle qui semblait aller encore et encore échangeant l'absurdité fraîche initiale contre de la banalité...
Park Chan Wook frappe fort. Esthétiquement irréprochable,une œuvre froide et calculatrice où le sadisme et la folie n'a d'égal que du talent génial de ce metteur en scène.
Une œuvre forte et touchante, fortement maîtrisée.
Une œuvre forte et touchante, fortement maîtrisée.
Bien en deçà de "Old Boy", "Lady Vengeance" reste tout de même bon. Comme son titre l'indique, ainsi que la "Trilogie de la Vengeance", on suit un personnage en quête de vengeance. A vrai dire, je n'ai pas grand-chose à dire. Les musiques sont belles, les acteurs sont corrects et l'histoire est sympathique. Le genre de film ni très bon, ni mauvais. Une fois qu'on l'a vu, on l'a vu, mais c'est tout. En revanche, la fin est bien réussie, ce qui est essentielle dans un film.
Déception... et meme si on est forcé de faire la comparaison avec Old Boy, qui est prodigieux (en plus j'ai compté au moins 5 acteurs qui jouaient dans Old Boy et qui se retrouvent aussi dans ce film), mon esprit objectif sait faire fi de Old Boy pour évaluer ce Sympathy for Lady Vengeance, et le plus important quand on regarde un film est de se sentir captivé soit par le scenario, soit par le charisme d'un ou plusieurs personnages, dans l'idéal le tout en meme temps.... et dans notre cas et bien on s'ennuie.
La premiére partie du film est réalisée de maniere etrange avec des flashback incessants mais surtout tres rapides et tres nombreux, ce qui donne une impression de brouillon.
Ensuite, l'actrice principale Lee Young-ae s'en sort bien et je ne renie pas son talent, mais il faut avouer qu'on ne s'attache jamais à elle, elle n'inspire pas grand chose au final.
Et puis la derniere partie du film, le dénouement bien trop long et finalement sans grande surprise. Je me souviens avoir apprecié Mister Vengeance, on peut donc en conclure que ce 3e volet de la trilogie nous laisse malheureusement bien sur notre fin.
La premiére partie du film est réalisée de maniere etrange avec des flashback incessants mais surtout tres rapides et tres nombreux, ce qui donne une impression de brouillon.
Ensuite, l'actrice principale Lee Young-ae s'en sort bien et je ne renie pas son talent, mais il faut avouer qu'on ne s'attache jamais à elle, elle n'inspire pas grand chose au final.
Et puis la derniere partie du film, le dénouement bien trop long et finalement sans grande surprise. Je me souviens avoir apprecié Mister Vengeance, on peut donc en conclure que ce 3e volet de la trilogie nous laisse malheureusement bien sur notre fin.
De forts partis pris esthétiques dans la première partie du film qui déroutent et intriguent ! Première partie un peu fouillis et (inutilement?) compliquée pour l'histoire mais qui derrière permet un questionnement de la vengeance : s'aider des ordre pour se venger ou aider les autres à se venger ?
C'est purement subjectif et sans doute lié à mon propre visionnage, mais Lady Vengeance m'a profondément désintéressé, la deuxième heure ne fut qu'un long, très long moment d'ennui. Je retiens tout de même quelques moments forts, notamment la scène où Choi Min-sik est torturé par tous les parents, et cela ajoute encore un aspect nouveau à la vengeance par rapport aux deux films précédents de la trilogie de la vengeance : la capacité au simple individu de se faire sa propre justice, sans quête de vengeance sanglante, simplement quand la possibilité de se venger leur est offerte. Le film m'a tout de même bluffé techniquement, c'est toujours aussi magnifique, même si je ne comprends pas exactement la signification du passage au noir et blanc dans la deuxième partie. J'ai cru comprendre que certains y voyaient une métaphore de l'état d'esprit du personnage, perdant son humanité au fil du film, mais Park Chan-wook aurait dans ce cas pu l'utiliser dans les deux films précédents, alors est-ce simplement une idée qui lui est venu après coup ? Mais j'aurais bien du mal à exprimer mon désamour pour ce film, il mérite d'être vu, et je le reverrais pour me faire un avis définitif.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse