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Truman.
235 abonnés
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1,0
Publiée le 23 février 2013
Nul , scénario prévisible , acteur moyen , aucune intrigue , aucune ambiance , pas d'angoisse , un vide total . On s’ennuie du début a la fin , mou comme pas possible , bref un navet !
Dans un univers cinématographique où l’horreur passe pour un genre inférieur, Captivity s’impose comme une passionnante relecture du genre. La principale audace du réalisateur a été de reprendre les codes instaurés par les premiers grands réalisateurs tchétchènes, qui exploraient la relation de l’homme avec la peur, toujours par un cumul de subjectivités destinés à distiller un climat de tension chez les spectateurs moutons, et d’astiquation chez les critiques. Les journalistes des « Cahiers du cinéma » ont même salué cette entreprise, déclarant que voir les codes de l’horreur tournés subtilement en dérision les avait réjouis. Le point culminant du film reste sans doute la scène où l’héroïne (Elisha Cuthbert, qui pour son rôle tout en nuance, aurait mérité le prix d’interprétation à Cannes) est torturée entre tuer son chien et se sacrifier. Grande scène qui rappelle notre affection démesurée pour cette race absolument détestable que la race canine, sublimée par la contre-plongée qui met le chien en situation de pouvoir. Seule scène engagée du film, car il faut le savoir, le réalisateur vit dans un pays où le mal fait aux animaux peut entraîner des sentences inhumaines telle une amende de 250€. Enfin, on aurait pu reprocher à ce film de trop s’accrocher aux préceptes des tchétchènes, mais le film finit par trouver sa voie dans les 15 dernières minutes en insérant un procédé dont seuls les frères boukaieff connaissaient le secret… Un twist ! sixième sens n’a qu’à bien se tenir. Ce film a la dérision des tarantinos, la rigueur des Kubrick et la réflexion des Von Trier. Un chef d’œuvre !
Comment peut-on aimer ce dérivé de « Saw », c’est un total raté. Le scénario n’a rien d’original, on a l’impression d’avoir déjà vu le film 100 fois. Le seul point positif : la beauté d’Elisha Cuthbert, mais ça ne sauve pas le film, loin de là… Circulez, y’a rien à voir.
Bouuu, tu as peur....bon, c'est vraiment creux.A aucun momment, on ne rentre dedans.Je suis décu par ce film, m'attendais à mieux avec un titre accrocheur comme celui ci!
Décidemment Saw fait des émules, la créativité est en berne, pas de suspense, une fois de plus tout est prévisible. La captive n’a pas la télé ? Tant pis pour elle, parce que sinon elle aurait de suite su qui était dans le coup…
Je m'attendais a un film tel que Saw ou bien Hostel , au final je suis très déçu par ce film qui ne fait pas peur du tout , le scénario est nulissime , je met une étoile juste pour le décor c'est tout.
Radio clichés bonjour ! Pauvre jeune fille blonde à forte poitrine qui se tient la tete à deux mains et la secoue très fort. Bon alors au final Elisha Cuthbert reste correcte mais on se demande si le réalisateur à voulu mettre dans ce film tout ce qui est connu, archi connu pour faire un film d'horreur qui fait très-très peur... hum. Dommage, ça prenait une direction à la Saw, et en fait... non.
Il est fort dommage de constater que Roland Joffé est à ce point entrain de bousiller sa carrière cinématographique qui avait pourtant très bien commencé avec des films tels que La Déchirure ou encore Mission car Captivity n’a strictement rien d’un bon film. En effet, après une scène d’introduction réussie et un scénario prenant aux premiers abords, ce thriller de Roland Joffé s’enfonce inutilement à cause d’un déroulement hyper prévisible (qui ne contourne aucunement les grosses ficelles du genre), d’un manque cruel de tension psychologique (pourtant obligatoire pour narrer une telle histoire) et du thème principal complètement survolé alors qu’il était très intéressant (le syndrome de Stendhal). Ajoutons à ça une enquête policière qui ne tient pas la route une seule seconde (on se demande comment les deux flics obtiennent certaines pistes) et une dernière partie prévisible atteignant des sommets de facilité, voir même de ridicule. Alors qu’est-ce qui peut sauver Captivity ? Sans doute le charme de la bellissima Elisha Cuthbert et la mise en scène parfois élégante de Roland Joffé qui prouve clairement qu’il est toujours un bon cinéaste au service d’un très mauvais scénario (pourtant truffé d’éléments intéressants). On y croit pour le suivant Roland…
Captivity n'est pas foncièrement le film le plus mauvais du genre. Si ce film n'est clairement pas la référence absolue, le spectateur peut s'amuser et sursauter quelques fois devant ce divertissement horrifique sans trop s'ennuyer. Toutefois, avouons que la pauvreté de l'oeuvre empiète clairement sur l'éventualité d'une réussite cinématographique. La première limite de Captivity s'amorce déjà dans son scénario qui dès le début expose son anémie, qui ne fera que se confirmer tout au long de l'oeuvre. La trame se montre ainsi très mince et le fait qu'en plus, il ne soit jamais comblé par une quelconque ambition empêche clairement au spectateur de rentrer pleinement dans le film. Il ne faut ensuite guère plus de quelques minutes pour deviner tout le déroulement de l'intrigue, de même que ses soi-disant coup de théâtre tant les poncifs du genre s'accumulent au risque de passer du statut de film d'horreur à celui de parodie. Forcément, cette impression ampute amplement l'immersion du spectateur dans un univers de tension ou de réel climat de tremblement, ce qui annihile du coup le but principal du film, celui d'effrayer. Les personnages ultra-caricaturaux et leurs réactions tout aussi caricaturales et donc prévisibles ne parviennent guère à rehausser l'ensemble de ce huis-clos en manque d'adrénaline orchestré par des méchants traumatisés dans leur jeunesse. Oui, c'est d'une originalité transcendante, avouons-le. A défaut de faire frissonner, Captivity s'offre le luxe de faire sourire, ce que de nombreuses comédies ne parviennent pas à faire. En soi, c'est déjà pas si mal. Au delà de cette portée involontaire, ce film d'horreur s'avère un film du genre aseptisé aussi bien dans sa réalisation dénuée de talent et de profondeur que pour son histoire et ses éléments usant de tous les clichés du genre. Un film raté certes, mais pas forcément aussi plat et ennuyeux que beaucoup le prétendent.
Ca commence fort. Très vite on pense à Saw ou à Hostel, et les premières scènes de tortures confirment la ressemblance. Mais progressivement le film devient tout autre chose. Lentement cela commence à s'enliser et à ne plus faire peur du tout. Très vite aussi on arrive à deviner ce qui va se passer. L'intérêt retombe totalement lorsque l'on voit le vrai visage des tortionnaires jusqu'à là toujours masqués. Le scénario n'est donc pas très innovant, dans le genre enlèvement/torture/meurtre on a déjà vu beaucoup mieux et bien plus effrayant. La fin est vraiment bâclée et tirée par les cheveux. Quant à la réalisation elle n'est jamais à la hauteur non plus. Roland Joffé nous avait habitué à de grandes fresques historiques où toute la maestria de sa mise en scène éclatait à l'écran -La déchirure, Mission ou Vatel- ainsi que dans l'hilarant Goodbye lover. Rien de tout cela ici, son essai dans le film de genre n'est pas vraiment convaincant, le thriller horrifique ne semble pas fait pour lui ! L'interprétation est honnête sans plus. Elisha Cuthbert, star de la télé et surtout de 24 heures, s'en sort plutôt bien, elle est assez convaincante. Daniel Gillies et Pruitt Taylor Vince, au physique si particulier, sont passables sans plus. Un film d'horreur que vous pouvez éviter. Préférez en ce moment Motel bien plus angoissant ou l'excellent Hostel Chapitre II bien plus horrifique...
Si le film avait fait grand bruit aux Etats-Unis avant sa sortie en salle (à cause de sa campagne marketing, due aux affiches « dégradantes » placardées en pleines rues), on s’attendait à ne pas être déçu de la part de celui-ci. Manque de pot, Captivity n’innove pas, non il brasse du vent en réutilisant ce que l’on connaît tous, grâce à ses prédécesseurs, tels que la tétralogie Saw ou encore le diptyque Hostel. Ici, on y retrouve la sympathique Elisha Cuthbert (The Girl Next Door - 2004) confrontée à un serial killer à la fois sadique et en manque d’imagination. Le film peine à avancer, s’enlise dans d’innombrables retournements de situation avant d’arriver sur une fin calamiteuse et qui nous laisse sur notre faim. Même la présence de Pruitt Taylor Vince n’arrange rien, on espérait plus de sa part, dommage … .
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1,0
Publiée le 21 novembre 2009
Surfant sans grande originalitè sur la mode des films d'horreur à la sauce "Saw" et "Hostel", "Captivity" est à la fois un thriller et une histoire d'amour qui parle de la peur d'aimer, de la dècouverte de l'amour en un temps, un lieu et des circonstances inattendus! Sous-tendu par un èrotisme latent, le rèalisateur Roland Joffè communique un sentiment croissant de danger physique et psychologique dans une première partie intense et nerveuse! Malheureusement dans sa seconde partie, "Captivity" n’est pas à la hauteur de la mècanique qu’il veut dèfendre avec des pèripèties aussi crèdibles qu'invraisemblables! Le joli minois d'Elisha Cuthbert tire tant bien que mal son èpingle du jeu dans des sèquences de tortures abominables en abordant nos phobies quotidiennes sans rèelle intensitè! Reste au final un thriller èprouvant mais qui, curieusement, ne fait pas vraiment peur! Bonne B.O avec le superbe "Caesars" de Jerk It Out...
Un très mauvais torture-porn, un scenario loin d'etre original, des scenes de tortures copier sur Saw et Hostel cela se voit directement. Les personnages ne sont pas mieux, une femme c**** comme un manche à balais, emprisonnée pour rien. Une seule envie: de sortir...sur ?? on ne dirait pas, la femme essaie plus chercher ce qui lui arrive plutot que de tenter de s'échapper. Quant au tueur, on ne peut meme pas etre effrayé on ne voit que son buste et ses mains, et c'est quoi ces idées de tortures à la cartoon ?? on se croierai devant une connerie comme Saw 4 ou Saw 5 ! La femme doit tuer son petit chien pour ne pas etre tuée...Woah quelle souffrance ! Elle doit se sortir d'un cube qui se remplit de sable au fur et à mesure...STOOOOP arretez tout c'est débile, stupide, honteux ! Ou est la torture dans tout ça ? La violence ? La peur ? Tout est incoherent surtout lors de la fin vraiment tiré par les cheveux pour ressemblé à un rebondissement qui n'en est pas un. Pitoyable, meme les nullissime Saw 4, 5 et 7 valent plus le coup que ce pétard mouillé où il n'y a aucun message à en tiré. 1/5 pour une bonne rigolade forcée.