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Votre avis sur Captivity ?
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Thriller mou du genoux réalisé sans conviction par un Roland Joffé autrefois cinéaste (« Mission », « la déchirure »… dans une autre vie). A sauver Elisha Cuthbert, qui marche doucement mais sûrement sur les plates bandes de Scarlett Johansson. Dans un genre proche, on peut tout de même préféré et de loin à ce pâle « catpivity » l’excellent « Motel » sortis récemment.
Ce thriller sans réelle prétention aura sans doute beaucoup de mal a briller dans l'ombre de la désormais cultissime saga "SAW".
Le réalisateur innove en quelques points, mais pêche par un scénario bien trop superficiel qui rend ce film mou tant la trame est téléphonée.
La prestation d'Elisha Cuthbert ne fait pas d'étincelle tout comme ce film qui ne restera pas dans les mémoires.
Le réalisateur innove en quelques points, mais pêche par un scénario bien trop superficiel qui rend ce film mou tant la trame est téléphonée.
La prestation d'Elisha Cuthbert ne fait pas d'étincelle tout comme ce film qui ne restera pas dans les mémoires.
Très conventionnel, même si le retournement de situation peut redonner un peu de souffle, l'ensemble souffre réellement d'innovation dans le style, de rythme et de cohérence. Et l'interprétation est vraiment limite. A éviter ! 1/5
Alors là, je ne m'attendais pas à ça du tout, plutôt un film gore genre saw, en plus d'avoir elisha cuthbert dans un film d'horreur, je me suis dit bon bah on va maté, mais j'ai été très déçue, des scènes complètement absurdes, que fait une scène d'amour dans ce film ? n'importe quoi, mais je ne me suis pas emmerder pour autant donc il vaut 1 selon moi.
En partant du principe que Roland Joffé est uniquement le réalisateur de "Mission" (Palme d'or 1986),et pas celui de "Vatel" ou autres bêtises insignifiantes telles que ce "Captivity",il y a de quoi positiver sur la sortie de son nouveau film.En admettant qu'Elisha Cuthbert n'ait joué que dans l'excellente série "24 heures chrono",et que Daniel Gillies n'ait participé qu'au tournage de "Spider-man 2",alors oui,on croit en une possible grande réussite face à "Captivity".Mais c'était sans compter l'absence de Joffé derrière la caméra;elle tourne,deux paumés se demandent ce qu'ils font et si leurs dialogues sont véritablement crédibles,et la jolie fille blonde qui est évidemment une top-model (n'allez pas croire qu'il y a un discours sur la célébrité pour autant) regarde des vidéos pas jojos avec des femmes qui se font torturées,mais qui sont au moins mieux mises en scène que le film lui-même.Et comme Joffé n'est toujours pas revenu de la machine à café,la caméra continue à tourner sauf que c'est un peu trop long et que nous,on en a marre.Et puis on se dit "j'y vais,c'est nul".Mais non,parce que quand on repense au prix de la place,ce n'est pas un simple film qui va nous empécher de rester jusqu'au bout.Et pourtant si.A signaler;j'ai probablement raté un des plus grands twists de l'histoire du thriller.Ca ne fait aucun doute.D'ailleurs,par curiosité,j'irai bien revoir "Captivity" pour savoir ce qui arrive à la zolie fille blonde.Blague à part.
D'un ennui incroyable tout au long du film. Une idée astucieuse mais très mal traité. Vraiment dommage car ça commençais assez bien mais finalement ce film reste un navet...
Pourquoi une étoile!!! Ben parce que l'actrice est belle (tant mieux pour elle, elle a au moins ça) et parce que le début du film est pas trop mauvais!!!! L'ambiance s'installe pas trop mal même si ça ressemble à Saw avec quelques tortures psychologiques (la scéne de la douche)!!!! Mais le film devient inintéressant à partir du moment où on découvre qu'ils sont deux à être enfermés!!!! On a le droit à un twist à 20 minutes de la fin mais malheureusement, facile à deviner largement avant!!!! En plus à partir de ce moment, la fin devient un grand n'importe quoi blindé d'incohérences!!! Bref à vouloir surfer sur la vague, des fois on prend des belles gamelles et içi c'est le cas!!!!!
Trop prévisible...loin du niveau de SAW...dommage
Yannickcinéphile
Ne tournons pas autour du pot, Captivity m’a déçu. Aux commandes un réalisateur éclectique, mais qui a quelques bons et même très bons films à son actif, je me dis que le résultat ne doit pas être mauvais, d’autant que le budget est très correct (17 millions si je me trompe pas). Malheureusement il y a Courtney Salomon dans la liste des producteurs, mais enfin, passons.
Je commence par les acteurs. Plutôt bon, ils remontent le niveau, surtout Elisha Cuthbert. Elle est étonnante dans son rôle, livrant une prestation remarquable de justesse, de précision. Elle porte le film sur ses épaules, et arrive parfois à faire oublier la relative médiocrité de ce dans quoi elle joue. Dommage d’ailleurs qu’une si belle partition se trouve au milieu d’un ensemble si peu digne. Daniel Gillies est moins bon, mais enfin c’est correct.
Coté histoire, Captivity par contre s’enfonce lamentablement. L’idée de base est agréable sans être originale. Mais le déroulement n’est pas à la hauteur. Toute la partie centrale est lente, quasiment dénuée d’intérêt, les séquences totalement banales des deux prisonniers alternant avec une enquête franchement pas terrible. L’ennui arrive vite. Sur la fin, le rythme s’installe, mais malheureusement on a droit aux poncifs habituels (le type pas mort qui se réveille...). C’est du vu et revu, il n’y a pas de surprise, et au final le coup de théâtre de Captivity fait un peu pschitt, se révélant très idiotement.
Visuellement le film est moyen. La mise en scène n’a rien de transcendant, surtout venant de la part d’un réalisateur éprouvé qui a quand même fait des choses plus audacieuses et souvent plus difficiles à mettre en valeur (je pense à Mission notamment). La photographie et les décors sont laids, digne d’un petit téléfilm basique. L’ensemble est assez pauvre et ne convainc pas du tout. Captivity ne dégage du coup aucune atmosphère, la tension ne s’installe pas, je suis pour ma part resté de marbre devant le film. Je note d’ailleurs l’absence de musique de manière générale, ce qui n’aide pas là encore à créer une immersion.
Grosse déception donc, puisque ce Captivity n’est ni un film d’ambiance, ni un film gore (oublié les horribles sévices du résumé, il y a que dalle !). Mou, sans originalité, assez laid, il donne la curieuse impression d’un éléphant (réalisateur connu, bon budget, deux têtes d’affiches jeunes qui montent) essayant de jouer au milieu des souris. Seulement ces dernières sont plus agiles, plus malines, plus libres aussi de leurs mouvements, et avec beaucoup moins, arrivent à faire la même chose ou mieux.
Je commence par les acteurs. Plutôt bon, ils remontent le niveau, surtout Elisha Cuthbert. Elle est étonnante dans son rôle, livrant une prestation remarquable de justesse, de précision. Elle porte le film sur ses épaules, et arrive parfois à faire oublier la relative médiocrité de ce dans quoi elle joue. Dommage d’ailleurs qu’une si belle partition se trouve au milieu d’un ensemble si peu digne. Daniel Gillies est moins bon, mais enfin c’est correct.
Coté histoire, Captivity par contre s’enfonce lamentablement. L’idée de base est agréable sans être originale. Mais le déroulement n’est pas à la hauteur. Toute la partie centrale est lente, quasiment dénuée d’intérêt, les séquences totalement banales des deux prisonniers alternant avec une enquête franchement pas terrible. L’ennui arrive vite. Sur la fin, le rythme s’installe, mais malheureusement on a droit aux poncifs habituels (le type pas mort qui se réveille...). C’est du vu et revu, il n’y a pas de surprise, et au final le coup de théâtre de Captivity fait un peu pschitt, se révélant très idiotement.
Visuellement le film est moyen. La mise en scène n’a rien de transcendant, surtout venant de la part d’un réalisateur éprouvé qui a quand même fait des choses plus audacieuses et souvent plus difficiles à mettre en valeur (je pense à Mission notamment). La photographie et les décors sont laids, digne d’un petit téléfilm basique. L’ensemble est assez pauvre et ne convainc pas du tout. Captivity ne dégage du coup aucune atmosphère, la tension ne s’installe pas, je suis pour ma part resté de marbre devant le film. Je note d’ailleurs l’absence de musique de manière générale, ce qui n’aide pas là encore à créer une immersion.
Grosse déception donc, puisque ce Captivity n’est ni un film d’ambiance, ni un film gore (oublié les horribles sévices du résumé, il y a que dalle !). Mou, sans originalité, assez laid, il donne la curieuse impression d’un éléphant (réalisateur connu, bon budget, deux têtes d’affiches jeunes qui montent) essayant de jouer au milieu des souris. Seulement ces dernières sont plus agiles, plus malines, plus libres aussi de leurs mouvements, et avec beaucoup moins, arrivent à faire la même chose ou mieux.
la jolie blonde, le psychopathe, du gore en veux tu en voilà... et vous obtenez "captivity" ! des scènes et un scénario inspiré de "saw" sans toutefois arriver à ses chevilles, du n'importe quoi de temps en temps (la fille qui couche au bout de 3 jours et pourtant détenue dans des conditions horribles, et sous l'oeil des caméras du psychopathe).. on mettra une étoile pour ce film uniquement parcequ'il peut occuper un après midi pluvieuse...
Assez consensuel et plat pour un film d'horreur. L'histoire est un peu quelconque et Elisha Cuthbert essaie de faire ce qu'elle peut. Bon, malgré ces défauts criants, ça se regarde...
Enorme déception que cette parodie de film, tout juste bonne à regarder entre deux zapping ou pendant les publicités de Secret Story (c’est dire !). Le problème majeur de Captivity réside dans le REmontage qui en a été fait. En effet, Roland Joffé, le réalisateur, n’a pas eu le contrôle sur le final cut, celui-ci étant laissé à un producteur, Courtney Solomon (auteur de l’ignoble Donjons et dragons). Du coup, alors que le film devait être un thriller, il s’est transformé en un espèce de "Saw" raté où le scénario passe après les scènes de torture. Mais en plus d’être dénaturé, le résultat est également totalement incohérent et n’offre aucun intérêt si ce n’est de voir la ravissante Elisha Cuthbert. Même le twist final est ultra prévisible…et je passe les nombreuses erreurs disséminées ça et là (la poursuite dans la maison avec la porte qui s’ouvre à l’envers…magique !). Bref, une bonne daube qui, j’espère, servira de leçon aux grandes pontes d’Hollywood : changer de réalisateurs en court de route, monter et remonter un film par plusieurs personnes, oublier l’importance d’un scénario au profit d’images chocs…toutes ces choses n’amènent qu’à une issue, l’échec !
Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
On perd beaucoup à vouloir absolument s'approprier la qualité de films qui ont marqué leur temps. Ici, je pense évidemment à Saw, référence numéro 1 de ce Captivity réalisé par un producteur qui ferait certainement mieux de rester à la production...
En fait, le film souffre premièrement d'une qualité scénaristique assez peu intéressante (si tu fais pas ça, je tue ton chien...), mais surtout de son final cut et du foutoir qui a eu lieu en post-prod'. Un second réalisateur est venu pour filmer des séquences qui n'étaient pas présentes originalement, le film a été monté, remonté, et l'organisation est devenue un tel bordel que le rendu final n'a presque plus aucun intérêt que de voir une blonde à forte poitrine séquestrée et violentée par un détraqué autour duquel se prépare un twist final. Bref, la bande à éviter très clairement, même si je continue à apprécier Cuthbert.
En fait, le film souffre premièrement d'une qualité scénaristique assez peu intéressante (si tu fais pas ça, je tue ton chien...), mais surtout de son final cut et du foutoir qui a eu lieu en post-prod'. Un second réalisateur est venu pour filmer des séquences qui n'étaient pas présentes originalement, le film a été monté, remonté, et l'organisation est devenue un tel bordel que le rendu final n'a presque plus aucun intérêt que de voir une blonde à forte poitrine séquestrée et violentée par un détraqué autour duquel se prépare un twist final. Bref, la bande à éviter très clairement, même si je continue à apprécier Cuthbert.
Bof bof, un film lent , une idée de départ plutôt bonne mais le film ne décolle qu'à la toute fin...
On peut passer son chemin ...
On peut passer son chemin ...
Je vais être bref, une étoile pour la bonne idée de départ, qui est malheureusement transposée à l'écran de façon misérable
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