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    Le Pressentiment
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    101 critiques spectateurs

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    SYNEPHIL
    SYNEPHIL

    47 abonnés 1 134 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 septembre 2016
    Pas franchement enthousiasmant le 1er long de Darroussin dont je n'ai jamais reussi a saisir le message qu'il a voulu vehiculer a travers le portrait de cet avocat quinquagenaire souhaitant echanger sa vie bourgeoise pour une autre beaucoup modeste .La trame scenaristique est d'est floue incroyable et la lenteur grandissante qui se degage ne fait qu'accentuer l'ennui du spectateur que je suis.On imagine naivement que l'arrivée de la gamine de 13 ans qu'il recueille va veritablement lancer le film mais non au contraire ,celle ci passe son temps a pleurnicher dans sa chambre.Le tout manque cruellement d'humour et de scenes dynamisantes ,d'autant dommage que la qualité du casting (dont les trop rares Stroh et Girardot) permettait d'envisager un tout autre resultat.Allez Jean Pierre ,on fait tous des erreurs alors on te laissera une 2eme chance !!!
    Akamaru
    Akamaru

    3 090 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 octobre 2012
    Un film malheureusement très compassé,qui ne rend pas justice au roman d'où il est tiré.J'aurais voulu aimé "Le Pressentiment",tant j'apprécie Jean-Pierre Darroussin,son humilité et sa finesse de jeu.Mais pour son premier essai en tant que réalisateur,il ne prend aucun risque,se contentant d'illustrer platement ce changement de vie d'un quinquagénaire qui ne sait pas à quel milieu il souhaite appartenir.Amidonné.
    cinono1
    cinono1

    300 abonnés 2 054 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 mai 2009
    tres beau film grave. Un film terrible sur la condition humaine. La bonté qui devient suspicieuse, l'incommunicabilité. Le film n'est pas du tout lent mais pointilleux, précis tout en étant très aéré, légerement onirique. Darroussin se montre comme un cinéaste fin et subtil et Paris est pour une fois, très bien filmé. Magnifique et émouvant.
    paulusnumero1
    paulusnumero1

    5 abonnés 115 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 janvier 2007
    Prix Louis Delluc pour le premier film attribué au Pressentiment almors qu'il pouvait être remis aux "Amities maléfiques" ça c'est vraiment dommage. "Le pressentiment" n'est pas un bon film du tout. Le personnage principal ne nous intéresse pas du tout alors que son acte initial promet une personnalité forte. (il faut dire que le comédien Darroussin n'a jamais vraiment été interpellant). La caméra est placée là ou il convient pour que l'on voit bien la scène, un peu comme un téléfilm. Darroussin est pourtant un homme qu'on a envie d'aimer: genéreux, engagé et gentil. Mais on sait que malheureusement ces trois qualites font rarement un grand artiste.
    Geoffroy B
    Geoffroy B

    83 abonnés 51 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 janvier 2007
    Un film bouleversant de platitude et d'ennui!
    Une étoile quand même pour Jean-Pierre Darroussin que j'apprécie beaucoup en tant qu'acteur, rôle auquel je pense qu'il devrait se limiter...
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 9 octobre 2006
    Jean-Pierre Darroussin passe de l'autre côté de la caméra mais conserve tout de même son statut d'acteur. Le Pressentiment est en effet son premier film, un film où on ne l'attendait pas surtout après le savoureux Ah ! Si j'étais Riche. Dans Le Pressentiment, adapté du roman de Emmanuel Bove, il campe le premier rôle, celui d'un homme qui a presque tout perdu, qui souffre inconsciemment et qui va se sentir renaître. Certes, le résumé n'est pas très accrocheur. Malheureusement, le film non plus. Durant les cent minutes que dure le film, le spectateur regarde environ une dizaine de fois sa montre. Pourquoi ? Parce que la lenteur endors le spectateur, à l'inverse des films de Michael Haneke qui rendent le spectateur mal à l'aise. Jean-Pierre Darroussin n'a pas perdu son talent de comédien, au contraire, il joue très bien, mais sa façon de réaliser, ses plans ne reflètent pas quelque chose de passionnant. Le scénario est présent mais pas assez mis en valeur et, au final, on se sait pas vraiment où le réalisateur a voulu en venir. Décevant.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 699 abonnés 12 420 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 juin 2016
    Jean-Pierre Darroussin ne dira pas le contraire mais on relativise complètement son travail d'acteur quand on devient metteur en scène! Passant pour la première fois derrière la camèra en 2006, il choisit d'adapter un roman d'Emmanuel Bove, "Le pressentiment". Dans ce film dèdiè à ceux qui l'on fait, Darroussin est un avocat parisien qui tente de remonter la pente de ce qui lui a ètè « contraint » , et de la prèdestination dans laquelle il se trouve! En milieu de projection, une chose surprend Charles Benesteau, c'est qu'il a pu atteindre à l'âge de 47 ans sans se rendre compte de toutes les faveurs dont il a bènèficiè! Quand il voit le nombre de gens qui souffrent, tout ce qu'ils doivent surmonter pour simplement vieillir, et qu'il pense à sa vie, il est confondu! Non pas que la vie de Charles se soit dèroulè comme dans un rêve mais c'ètait disons des peines prèvues auxquelles il avait ètè prèparè! Comme si il y avait eu toujours quelqu'un qui avait veillè à ce que les malheurs inèvitables de sa vie prennent tout de suite leur place tranquillement dans le passè! Le spectateur est en plein coeur de Paris, au-dessus du pont de Bir-Hakeim, au quai de l'horloge avec en point de mire la Conciergerie, aux alentours de la Grande Roue de la Concorde ou au Parc des Buttes-Chaumont! il faut attendre le dènouement pour que "Le prèssentiment" devienne le Prix Louis-Delluc du premier film qu'on espèrait! Valèrie Stroh, Nathalie Richard et Hippolyte Girardot (presque une figuration) complètent la distribution de cette oeuvre ètrange qui sort des sentiers battus...
    Maxime P.
    Maxime P.

    66 abonnés 226 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mai 2007
    Le pressentiment est un film assez étonnant , qui nous emmène la ou on ne s'y attend pas. En effet , ce récit d'un homme ayant fuit le monde mondain et bourgeois de Paris pour un quartier de la même ville beaucoup plus pauvre et simple nous emmène dans un film mélancolique aérien , à l'humour pince-sans-rire , ou se croisent des personnages basiques mais justes , ou cette homme incarné avec beaucoup de simplicité par Jean-Pierre Darroussin est un peu comme une bête de foire qui vient en aide comme il le peut à ses nouveaux congénères. Malheureusement , ses bonnes actions lui vaudront bien des malheurs et Darroussin dénonce dans ce premier film la méchanceté des gens , leur fausseté , leur goût des médisances. Le discours est présenté de façon simpliste mais il fait tout de suite son effet. La fin est absolument innatendu et la dernière phrase de Didier Bezace nous éclaire tout d'un coup et résume à elle seule la portée de ce film minimaliste mais riche de sens.
    LB_66
    LB_66

    6 abonnés 161 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 mars 2007
    Un film agaçant, le genre de film qui m'énerve, l'histoire de changement de vie n'a aucun intérêt, bref tout cela pour vous dire que j'ai dormi....
    C'est un film politiquement correcte avec de bonnes critiques pour faire beau.
    Niais et ridicule, ce film ne doit pas se voir
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 9 octobre 2006
    Ca partait d'une bonne intention, et avait un vrai message à faire passer, celui de montrer que la générosité n'a plus vraiment sa place aujourd'hui, et que tout homme qui aide son prochain cherchera toujours à en retirer un bénéfice.
    Mais voilà, le film est d'une lenteur...Long et franchement ennuyeux, j'ai vraiment cru etre resté dans la salle près de 4heures...
    Les comédiens sont plutôt corrects, dans l'ensemble, mais il n'y a rien qui accroche le spectateur...
    Bref, même en cette période de fête du cinéma, gardez vous sous.
    Stéphane D
    Stéphane D

    119 abonnés 2 118 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 août 2018
    Le film est assez mineur mais sympathique néanmoins malgré la profusions de clichés et d'acteurs moyens.
    halou
    halou

    118 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 octobre 2012
    Daroussin en tant qu'acteur n'a plus rien à prouver. Homme talentueux devant la caméra, il semble avoir une certaine intuition derrière. Bien inspiré du scénario du bouquin il arrive à le transposer de la manière la plus franche et la plus touchante malgré un manque d'originalité de mise en scène. Un joli premier essai.
    Cluny
    Cluny

    74 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 octobre 2012
    "Le Pressentiment" est une adaptation du roman d'Emmanel Bove, auteur mort en 1945 à 47 ans, et qui n'est réédité que depuis quelques années, grâce à l'opiniatreté de certains admirateurs dont Peter Handke. Jean-Pierre Darroussin a choisi de situer l'action de nos jours tout en conservant les principaux événements du roman ; ce double choix donne un côté légèrement rétro à l'ensemble, et le dégoût surjoué des membres de la famille (on croit voir la belle-mère de la pub Toyota) devant le 11° arrondissement est bien peu crédible, à l'heure où même les bobos cherchent à s'y loger.

    Mais l'essentiel de ce film finalement plus complexe qu'il n'y paraît n'est pas là. Il est dans la description de cet homme qui rejette le confort et les conventions de sa classe pour s'immerger dans un anonymat favorable à la création ; très vite cet anonymat vole en éclats, et Charles devient la plaque tournante de la petite communauté de cet immeuble vers lequel convergent toutes les sollicitations. Prisonnier de son éducation et de sa générosité, il passe son temps à répondre aux demandes des autres : son ex-épouse, ses frères, ses voisins. Comme il le dit dans un long monologue, Charles n'a jusqu'à présent été confronté qu'aux malheurs programmés ; il ne voit donc pas venir la médisance et les petits complots de son nouvel entourage.

    Pour son premier film, Darroussin lorgne du côté de Truffaut : la cour d'immeuble, les vis-à-vis évoquent "Domicile conjugal", et les longs travelings en contreplongée dans les rues de Paris pour suivre la silhouette à la Hulot de Charles sur son vélo renvoient au générique des "400 Coups". Mais l'influence du maître de la Nouvelle Vague ne se limite pas à ces hommages ; on retrouve aussi une écriture littéraire (le narrateur en voix off, ou le journal de Charles qui ponctue l'avancée du récit), ainsi qu'un jeu des acteurs marqué par une diction à la Jean-Pierre Léaud.

    Certes, Darroussin n'évite pas toujours le piège des films montrant l'ennui, et la lenteur du rythme alliée à l'opacité contemplative de son personnage peut entraîner un décrochage du spectateur. Mais il fait mouche dans de nombreux scènes, comme celle où il a sa première attaque dans la Parc des Buttes-Chaumont et où il est secouru par une femme africaine qui lui offre un biscuit, ou celle de la discussion d'intellos sur Gustave Moreau et Matisse, avec un clone de Bob Dylan particulièrement insupportable. Parfois maladroit, souvent hors du temps, "Le Pressentiment"est quand même un film attachant et prometteur.


    http://www.critiquesclunysiennes.com/
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    36 abonnés 2 360 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 janvier 2024
    Charles est avocat mais a cessé d'excercer depuis peu pour se lancer dans l'écriture. Surtout, il s'est installé dans un quartier populaire de Paris, au grand dam de sa famille, afin de fuir son univers bourgeois.
    Jean-Pierre Darroussin réalise un film intimiste, attachant et candide, à l'image du personnage qu'il incarne, ce nouveau Charles dont on devine seulement l'existence antérieure à laquelle il renoncée: superficielle, égoiste, facile, si l'on en croit son jugement sans concession. Charles se confronte désormais à la "France d'en bas, démunie et précaire.
    Par sa modestie, son humanisme élémentaire, le film, comme le personnage de Darroussin, échappe au populisme et à la démagogie. La gentillesse et l'altruisme de Charles ne sont pas une posture et résultent d'une prise de conscience. Taciturne, l'air hébété, Charles semble découvrir un sens à la vie. La mise en scène sans éclat et la minceur de l'intrigue, où l'ancien avocat recueille une ado esseulée, donnent au film une apparence un peu terne et indolente, conforme peut-être, à la nature ou au tempérament de son interprète principal. On se laisse gagner néanmoins par la sincérité du postulat qui n'est ni démonstratif ni snob.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 7 juin 2007
    Daroussin, économe, ne s'étale pas mais n'en oublie pas pour autant de raconter l'essentiel : sa petite histoire évite malicieusement tous les pièges redoutés, et le résultat est bien au dessus de la moyenne. Félicitations à ce jeune réalisateur !
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